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Commentaires de livres faits par MissViBi

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Commentaires de livres appréciés par MissViBi

Extraits de livres appréciés par MissViBi

— J’étais seule. Tu es arrivé et j’ai pensé que tu comblerais ce vide. Mais en fait, non. Tu ne suffisais pas. Tu ne suffiras jamais. Tu es faible et beaucoup trop centré sur toi-même.Ça ne lui plut pas trop. L’éclair de colère dans ses yeux fut le premier signe de force intérieure que je vis chez ce type.
— Et toi ? demanda-t-il d’une voix un peu plus aiguë que d’habitude.
— Je ne suis pas faible. Le reste est peut-être vrai, mais je vis avec. Je me connais. Toi… Tu fais comme si tu étais parfait. Tu penses que ton physique suffit. Tu n’es pas parfait. Tu es... agaçant.
Il sembla déstabilisé. J’étais plus maligne que lui. Encore un bon point pour moi.
— Mais tu es faible, Nan. Sinon, tu n’aurais pas besoin d’un homme pour te compléter. C’est ça, ta faiblesse, Nan.
J’encaissai le coup, parce qu’il avait raison. Un point pour Major.
— Dans ce cas, on est pareils. N’as-tu jamais entendu dire que les contraires s’attirent ? Nous, on est si semblables qu’on risque de s’entretuer.
Et voilà. Qu’il essaie seulement de se dépêtrer de celle-là. Je ne niais pas mes défauts. Je les connaissais mieux que personne. Autrefois, je me trouvais des excuses, mais c’était fini. Ça m’agaçait trop. Je m’agaçais trop. Major, lui, ça ne devait pas lui arriver souvent. Il lui suffisait de se regarder dans un miroir, de se recoiffer et d’admirer son minois pour oublier tous ses défauts horripilants.
— D’autres m’ont averti de ta froideur, mais je ne les ai pas crus. Je me disais qu’une fille aussi belle que toi ne pouvait pas être foncièrement mauvaise. Il devait bien y avoir en toi quelque chose de digne d’être aimé. veines. Et ça, toute la beauté du monde ne pourra jamais rien y faire. Tu mourras seule, Nan. Sans enfants ni mari pour t’aimer. Parce que tu es une garce. Une garce cruelle et furieuse, tellement aigrie que tu ne sais plus reconnaître un type bien quand tu le vois.
Son visage devenait de plus en plus rouge et le ton montait au fur et à mesure qu’il parlait. Si ça continuait, il allait se mettre à hurler. Pensait-il vraiment me blesser ? Que d’autres que lui ne m’avaient pas déjà dit exactement la même chose ? Peut-être ignorait-il que, malgré mes faiblesses, je n’étais pas une serpillière. J’avais une armature solide qui ne tremblait pas dans la tempête. J’avais encaissé ce genre d’attaques verbales toute ma vie, en commençant avec ma mère.
— Tu as vidé ton sac ? demandai-je en dégustant une cuiller de yaourt.
J’adorais vraiment ce truc. Il y avait un coulis de fruits au fond qui donnait à l’ensemble un goût de tarte Tatin à se damner. Seulement cent trente calories par portion. On ne pouvait rêver mieux pour la ligne.
— Ouais, Nan, j’ai terminé, répondit-il d’une voix normale. J’en ai fini avec toi.
Merci pour la précision. Il pensait me blesser, mais c’était raté. Imbécile. Il ne connaissait rien.
— Tu sais où se trouve la porte. La bonne s’occupera de ranger ta tasse.
Je levai enfin les yeux de mon yaourt et souris. Il me regardait fixement. Eh oui ! Je pouvais être aussi froide assez stupide pour tomber amoureuse de lui. Il n’aimerait jamais quelqu’un d’autre autant que lui-même. Et s’il savait le boulot qu’il avait à faire au lit ! Rien que d’y penser, ça me faisait bâiller.
— C’est tout ? demanda-t-il. C’est comme ça que tu veux que ça finisse ?
— C’est fini depuis longtemps. Il t’a juste fallu plus de temps qu’à moi pour le comprendre.
Il secoua la tête comme s’il n’en croyait pas ses oreilles.
— Sale garce, marmonna-t-il.
Bon, j’en avais assez de me faire insulter dans ma propre maison. S’il voulait me traiter de tous les noms, pas de problème ! Mais pas chez moi, merci bien. À se demander où ce gosse avait été élevé…
— Insulte-moi encore une fois sous mon toit et je te balance une poêle à frire en pleine tronche pour arranger ton profil d’Apollon, l’avertis-je d’un ton calme, presque ennuyé.
Puis je repris une cuiller de yaourt, parce que vraiment c’était trop bon. Je le vis ouvrir la bouche, mais je lui lançai un regard appuyé pour lui faire comprendre que je ne plaisantais pas. Il leva les yeux vers un coin du plafond, haussa les épaules et s’en alla.
J’attendis que la porte d’entrée se referme pour pousser un gros soupir.
— Ouf, il est parti. Bon sang, quel drame ! J’ai bien mérité un autre yaourt.
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Nan :

Malgré tout ce qu’il avait fait la veille, il avait suffi de rêver de Gannon pour me rappeler tout ce qui manquait à Major. La liste était longue comme le bras. Peut-être que la plupart des filles adoraient ce genre de beau gosse, mais tant qu’elles n’auraient pas rencontré un type capable de parler d’autre chose que de lui-même, alors elles ne savaient pas ce qu’elles rataient.
Major s’aimait beaucoup. Il parlait de lui tout le temps. Ça me rendait dingue. Je ne l’avais jamais remarqué auparavant. Je souriais en hochant la tête. Oui, ses cheveux avaient poussé. Oui, le bleu lui allait bien. Oui, ses biceps s’étaient développés.
Bla bla bla.
Argh. Achevez-moi tout de suite.
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Nan :
"Tu ne m’intéresses plus, Major Colt. Ton bouquet à la con, ce n’est pas de l’amitié. La prochaine fois que tu as envie de me voir, appelle avant. Ne te pointe plus comme ça, à l’improviste.
Elle se tenait là, le visage impassible, tandis que le vent du large soufflait dans ses cheveux roux. Le feu que je voyais autrefois brûler dans ses yeux avait disparu. Il ne restait plus rien de l’attirance qui crépitait entre nous quand qu’on était ensemble. Elle était sincère. Elle ne cherchait pas à me blesser ou à me faire réagir.
— Je veux rentrer chez moi, reprit-elle. Je veux prendre une douche et regarder la télé. Toute seule. Alors, pars, s’il te plaît. Je passe à autre chose. Je n’ai plus le cœur à ça. Je suis prête à vivre sans toi, suis enfin arrivée.
Elle commença à fouiller dans son sac pour trouver ses clés.
— Profite bien de la vie et va faire ton numéro à une autre que moi. Tu ne devrais pas avoir de mal à dégoter une nana assez bête pour t’adorer sans rien attendre en retour. C’est ce dont tu as besoin pour flatter ton ego, alors va le chercher ailleurs, parce que je ne suis plus prête à fournir.
Elle passa en trombe à côté de moi, sembla hésiter, puis revint vers moi pour me prendre le bouquet des mains.
— C’est vraiment un cliché pitoyable pour se faire pardonner, fit-elle avec un sourire pincé. La prochaine fois, essaie de te comporter comme un grand garçon et ne gaspille pas ton argent en fleurs qui ne veulent rien dire. Bon sang, qu’est-ce que je pouvais bien voir en toi ?
Sur cette insulte finale, elle laissa le bouquet tomber par terre et rentra chez elle.
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date : 21-05-2016
Nouvel extrait
J’ai tourné le dos au public en espérant que les gens tendraient les bras pour me réceptionner. Les musiciens continuaient de jouer. J’ai croisé le regard du chanteur. Il a froncé les sourcils et je lui ai souri… avant de me jeter en arrière. Quelque chose s’est débloqué en moi et j’ai poussé un hurlement d’excitation. J’ai atterri en douceur, au milieu d’une forêt de bras levés, puis je suis passée de main en main, soulevée par la foule. La musique résonnait tout autour de moi tandis que les gens criaient quand je passais au-dessus de leurs têtes. Je ne distinguais plus qu’un halo de lumières colorées. Après avoir traversé la salle, portée à bout de bras par le public, j’ai été doucement reposée au sol. Il m’a fallu quelques instants avant de comprendre où j’étais et voir avec netteté les visages qui m’entouraient. La foule continuait de chanter et de bouger et l’énergie qu’elle dégageait m’enveloppait comme du coton. Après avoir repris mes esprits, entraînée par les autres, j’ai recommencé à hurler les paroles et à scander le rythme de la musique en levant la main, happée par la puissance et l’enthousiasme qui régnaient.
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date : 21-05-2016
Nouvel extrait
Tandis que les gens quittaient la salle, nous sommes montées nous effondrer sur notre canapé préféré, épuisées et en nage. Le sourire ne quittait pas mes lèvres, j’étais euphorique, exaltée, transportée. La salle tournait autour de moi et les images défilaient devant mes yeux, comme un feu d’artifice ininterrompu. J’ai dû faire un effort pour reprendre mes esprits. — Je vais essayer de trouver James et nous chercher un peu d’eau, a dit Serena. J’ai probablement hoché la tête. En tout cas, j’ai voulu le faire. Quelques instants plus tard, le canapé a bougé, à côté de moi. Affalée contre le dossier, j’ai tourné la tête, et ai découvert un grand type maigre, avec des cheveux roux coupés très court et une barbe de trois jours.
J'ai souri.
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[spoiler][/spoiler]
Le Faël avait repris Erylis dans ses bras et la berçait doucement contre son coeur en lui murmurant à l'oreille une mélopée qu'elle n'entaidrait plus jamais. Des larmes qu'Ewilan ne chercha pas à retenir roulèrents sur ses joues, à l'image de celles qui embuaient les yeux des autres témoins du désespoir de Chiam. Le regard du Faël semblait déconnecté de la réalité, pourtant une flamme s'y alluma lorsqu'il se tourna vers ses compagnons. Edwin ouvrit la bouche, Chiam le fit taire d'un geste.
- Ne pas parler. Mon âme être morte aujourd'hui et il me rester juste assez de forces pour ramener Erylis chez nous. Je être incapable de supporter votre chagrin ou votre amitié puisque l'unvivers être vide désormais.
Ellana tendit sa main vers lui. Il ne la prit pas.
- Laisse moi partir. Seul. Pour toujours. Cela être le seul geste que je pouvoir accepter.
A regret la marchombre recula.
Erylis dans ses bras, ils'éloigna.
Sans un regard en arrière. Pendant un long moment aucun mot ne fut échangés. Les compagnons étaient perdus dans les méandres de leur monde intérieur, leurs coeurs sognants au rythme de la douleur de Chiam, puis un sanglot rauque secoua les épaules d'Ewilan. Elle s'abattit dans les bras de Salim, lachant la bride à sa peine, oubliant la souffrance ui irradiait désormais de tout son corps. Oubliant sa peur.
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