Mitterrand et les quarante voleurs...
Auteur
- Jean Montaldo (Écrivain)
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Classement en biblio - 10 lecteurs
extrait
Corruption : le mot est lancé. Des rapporchements se dessinent. A force de persévérance - ici le patient travail de magistrats résolus, là l'opiniâtreté de journalistes ou homme politiques de tout bord est sans état d'âme -, le cancer qui ronge notre société trouve sa nouvelle victime. François de Grossouvre dit vrai quand, en privé, il accuse le président de la République qui, sicemment, a laissé le mal se répandre... "alors qu'il savait tout".
L'affaire du prêt vient nourrir un dossier que j'ai ouvert il y a une dizaine d'années. Je dois ici en rappeler les grandes lignes, pour mettre en perspective les événements ultérieurs, ceux qui, petit à petit, empoisonnent littéralement les rapports entre le président et son ami.
C'est au début des années quatre-vingt que Grossouvre a commencé d'éveiller mon attention sur les agissements de "Monsieur le vice-président". Au fil des ans, dans mes rayonnages, les classeurs sur le tandem Mitterrand-Pelat ont sensiblemnt grossi. Mis bout à bout, des éléments, apparemment sans liens, deivennt les révélateurs d'un réseau politique et d'affaires qui a pris corps bien avant 1981.
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Ce livre apporte des réponses à ces questions.
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Ce personnage, que fut notre président de la république, fut la duplicité, le mensonge et ........... Je ne sais quel qualificatif proposer, tant cette personne fut à mon avis, vile, pour arriver à ses fins et utiliser le bien des autres à son seul profit !! Quelles bassesses que la politique !!!!!!!!!!!!!!
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Date de sortie
Mitterrand et les quarante voleurs...
- France : 1994-06-21 - Poche (Français)
Activité récente
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Editeurs
Résumé
7 avril 1994 : François de Grossouvre est retrouvé mort, suicidé dans son bureau à l'Elysée. Nouvelle affaire d'Etat.
Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis trente-cinq ans l'éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l'abri des regards. Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d'inquiétantes confidences sur les coulisses de l'Etat PS, les réseaux de l'affairisme politique et les "40 voleurs..." que le président de la République tolère autour de lui, encourage parfois, protège toujours.
Conformément à ses voeux, je révèle dans ces pages pourquoi François de Grossouvre s'est senti trahi par le président. Pourquoi, jusqu'à la fin, il a porté à son encontre les plus graves accusations.
A la suite de mon précédent livre, Lettre ouverte d'un "chien" à François Mitterrand au nom de la liberté d'aboyer, j'ouvre ici de nouveaux dossiers. Ils donnent la clé du système pervers qui, après avoir désespéré le Premier ministre Pierre Bérégovoy, a fini par tuer François de Grossouvre".
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