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Commentaires de livres faits par Mizy

Extraits de livres par Mizy

Commentaires de livres appréciés par Mizy

Extraits de livres appréciés par Mizy

« Alors sans prétention, sans grands mots qui donnent beaucoup de points au Scrabble et sans jugement, j'ai envie qu'on jase un peu, juste toi et moi. »
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date : 02-04-2017
Je suis au Kingdom, coin Saint-Laurent Sainte-Cath. Mindy et Trevor analysent mon corps avec leurs mains en glu. Nikky est belle. Plus belle que moi. Plus fluide que moi. Je tombe partout. Je ferme les yeux, j'ouvre les yeux. On est le 6 juin 2012. Je suis à l'hôpital Notre-Dame. On m'apprend que j'ai une tumeur en nuage dans mon tronc cérébral. Je ferme les yeux, j'ouvre les yeux. Je suis à New York. Devant la cage des fennecs, au zoo de Brooklyn. J'obtiens une permission spéciale pour pouvoir les flatter. Je ferme les yeux, j'ouvre les yeux. Je vois l'Autriche, je rencontre Ulrich Seidl. Il me parle de son prochain film. Je ferme les yeux, j'ouvre les yeux. Je suis dans un show noise avec les dudes de Granular Synthesis. Je ferme les yeux. Je garde les yeux fermés longtemps. Je ne ferai rien de tout ça. Dimanche je vais aller au Beautys avec les amis boire un milkshake Cookies & Creme. Ça, je le ferai. Les yeux ouverts, grands.
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date : 01-04-2017
Je suis en route pour les chantiers mythiques où c’est qu’y’a l’air de faire toujours frette: Mont-Wright, Eastmain, La Romaine… Du pareil au même quand j’étais ti-cul. Pis encore aujourd’hui… Des pays lointains qui nous transforment tranquillement de l’intérieur. Je suis en route vers le mur qu’il a construit et qui nous sépare encore, vers là où il a sauvé notre peau. Parce que l’absence c’était notre méthadone pour passer au travers.
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date : 01-04-2017
Je fais de la poésie qui chauffe le cœur un peu parce que ça fait vingt-ans au-dessus que chaque fois que mon père revient du Nord, il traîne un grand vent avec lui, un grand vent frette de février qui t’engourdit la gueule pis t’empêche d’ouvrir les yeux.
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date : 03-03-2017
St-Edmond, 1946. Au cœur d'un bucolique village de l'Outaouais, Délia, neuf ans, s'apprête à vivre un autre été de vacances et de bonheur : campagne chatoyante, fruits champêtres, baignades, candeur et innocence. Puis l'impensable survient, et sa vie bascule. Délia assiste impuissante à la mort violente de sa jeune cousine, Rosemarie, tombée de la fenêtre de la maison de ses parents. Crime odieux ou bête accident ? Une enquête policière s'enclenche, plongeant tout le petit village dans l'abîme du drame de la mort d'une enfant. Dans un Québec rural gangréné par l'omniprésence et la puissance des religieuses, le filet se resserre lentement sur une famille aux secrets troubles, jusqu'au dénouement tragique, amené par une minutieuse reconstitution des événements. Plus de cinquante ans après la tragédie, la mémoire de la narratrice est aussi vive que sa blessure est douloureuse.
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date : 10-10-2015


Cauchemar

Dans l’appartement glacial de Montréal-Nord, je grelotte encore. Des vautours m’ont prise en otage. Une bande de rapaces traînasse chez nous, sous l’œil attentif de M.

Quand je rentre du boulot, ils sont tous là à squatter l’appartement que JE paie, à manger la bouffe que J’AI achetée et à flamber l’argent pour lequel J’AI durement travaillé. Parti en fumée, cet argent.

Le monstre en M devient plus grand que nature lorsqu’il consomme du pot, du haschisch ou du free base. Un ogre sans limites qui laisse des démons s’infiltrer et hanter ses tourments.

Dès que je passe la porte, M m’attrape par les cheveux au bas de ma nuque et, bestialement, il me traîne dans la chambre. La surprise est telle que ma réaction reste coincée en travers de ma gorge. Je n’ai pas le temps de me défendre ni de comprendre ce qui se trame.

Mon regard balaie l’appartement et je vois quatre hommes gelés et soûls, affalés à même le sol de la salle à manger, ensevelis sous des bouteilles de rhum, des boîtes de pizza vides, des sacs de croustilles, des canettes de bière et des cendriers pleins à craquer. Leurs yeux noirs, leur peau basanée et leurs sourires en coin m’effraient.

Je les connais à peine, car ils sont tous de nouvelles fréquentations de M; des connaissances du café où il passe parfois des journées entières, jouant aux cartes et fumant des clopes. Tremblement. Angoisse. Mon cœur veut sortir de ma poitrine tant il martèle contre mes os.
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date : 13-07-2015
En Somalie, nous savions apprécier les choses simples de la vie. Nous fêtions la pluie parce que cela signifiait que nous aurions de l'eau. Qui, à New York, se soucie de l'eau ? On la laisse couler en faisant autre chose dans la cuisine ; il y en a tant qu'on en veut, il suffit de tourner un robinet. C'est lorsqu'on est privé des choses qu'on les apprécie, et quand on n'a rien, on apprécie tout.
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Bientôt, le long convoi atteignit le cimetière de la paroisse. À
peine protégé par l’immense parapluie noir qu’un diacre tentait
vainement de maintenir au-dessus de sa tête, le prêtre, debout
devant le cercueil d’un bleu virginal, récita gravement sa
dernière prière avant qu’on ne procède à l’inhumation.
— Saluons une dernière fois notre soeur Anne-Sophie, rappelée
bien trop tôt auprès de notre Seigneur. Puisse-t-Il l’accueillir
en son royaume éternel et soulager la tristesse de ceux qui
l’aimaient. Notre Père qui êtes aux cieux…
Aux derniers mots du prêtre, un violent coup de tonnerre
retentit, comme si le ciel laissait exploser sa colère devant une
disparition aussi inattendue que prématurée.
Les fidèles se dispersèrent très rapidement lorsque le prêtre
termina sa prière. En effet, le vent redoublait d’ardeur, et ce qui
n’avait été jusque-là qu’une averse, se transformait en un
véritable déluge. Seule la famille de la défunte brava les intempéries,
répugnant sans doute d’abandonner définitivement la
jeune fille. L’employé du cimetière, toujours en service dans de
telles circonstances, assista à ces derniers moments et retira
même une rose blanche de la gerbe qui tenait en équilibre sur le
couvercle de la tombe, afin de la remettre à la mère d’Anne-
Sophie. Quelques minutes plus tard, le père parvint à arracher
son épouse à la tombe de leur fille pour la guider vers une
voiture garée non loin de là. Après le départ des derniers
membres de la famille, les fossoyeurs commencèrent à recouvrir
le cercueil de terre. Curieusement, une dizaine de personnes
postées à une distance respectueuse, afin de ne pas gêner le
travail des employés, ne quittèrent l’endroit que lorsque l’ensevelissement
fut complètement terminé.
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Chers lecteurs,

Quelle joie de vous retrouver ! Il me semble à des années-lumière, le temps où je vous ai offert mon tout premier livre, Les morts nous donnent signe de vie.
Mon but premier, lorsque j'avais écrit ce livre, était d'aider au moins une personne à comprendre les phénomènes de percevoir autre chose que notre vie terrestre et matérielle. De faire en sorte que cette personne ne se sente pas seule avec ce qu'elle vivait. D'aider au moins une personne à comprendre les signes venus d'un monde parallèle au nôtre. Eh bien, j'ai largement dépassé cet objectif, pour mon plus grand plaisir ! Vous êtes nombreux à avoir trouvé dans ce premier livre des réponses à vos questions ou une confirmation de vos croyances actuelles. Je suis aussi heureuse de savoir que cela a ouvert l'esprit de certains sceptiques.
Vos visites et vos témoignages ont su m'inspirer une suite à ce premier livre. Car, depuis sa sortie, plusieurs personnes ont été dirigées vers moi par des esprits voulant faire comprendre leurs messages et voulant établir une communication concrète. De ces communications, j'ai moi-même appris beaucoup de choses. Certaines de mes connaissances se sont trouvées approfondies et de nouvelles expériences m'ont été offertes.
Mais j'ai aussi découvert qu'encore beaucoup de gens se questionnent sur la communication avec l'au-delà et sur ce que devient l'esprit de ceux qu'on a aimés, après leur mort. Voici donc le but de ce nouveau livre : vous expliquer les communications que l'on peut avoir avec l'au-delà, comment s'y préparer et à quoi on doit s'attendre. Je reviendrai sur les étapes abordées dans le premier livre, sur ce que les esprits doivent vivre lorsqu'ils arrivent dans leur nouveau monde. Grâce aux nouvelles communications reçues, j'approfondis encore plus ces étapes de passage vers l'au-delà.
Je ferai aussi un bref retour sur les mythes et les croyances. À ce sujet, les esprits ont été directs : peu importe la croyance que l'on a, mais avoir une croyance en quelque chose devient de plus en plus important. Sans oublier les croyances que nous entretenons envers notre façon de communiquer avec les esprits.
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Près du portail, dame Beathag était entourée d’une cour particulièrement animée. Le révérend et le secrétaire s'étaient isolés dans un coin, en grande conversation. L’intendante Anna tournait autour du fauteuil de son vieux maître d’un air désemparé. J’aurais aimé la féliciter pour la conduite du repas, mais j’étais trop loin d’elle et pouvais difficilement me libérer.
Bientôt, je ne pus réprimer des signes de fatigue. Heureusement, le seigneur Baltair se retira assez tôt, se contentant de me saluer d’un signe de tête. Je lui rendis son salut en soupirant : j’allais pouvoir regagner ma chambre. Je fis rapidement le tour de mes gens et de mes hôtes, leur souhaitant une bonne nuit. Quand je quittai enfin la salle avec mes servantes, Iain MacNèil n’avait pas paru. Il ne rentra pas de la nuit. Ni cette nuit ni les deux nuits suivantes.
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date : 17-01-2014
« Elles étaient au nombre de sept ou huit, toutes des hôtesses de l’air. Elles avançaient rapidement. Vêtues de blazers bleu marine, elles parcouraient les grandes allées de l’aéroport en fauchant tout sur leur passage. Une des blondes a attrapé un garçon qui n’avait pas plus de douze ans par les épaules et l’a projeté contre un agent de sécurité. […] Au bout du couloir, une autre blonde a attrapé une vieille dame par les cheveux. Je la regardais tirer la femme derrière elle par à-coups. »
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date : 17-01-2014
http://www.editionsalto.com/depots/Blondes-Ext.pdf
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date : 26-07-2013
Cole se força a garder les yeux au sol pendant qu'il désignait les cadavres.
Le Dr.Crowe se retourna. " Il y a quelque choses par la? Qu'est-ce que c'est? Je ne vois rien.
-Ne Bouge plus, dit Cole. Parfois on a l'impression de tomber très vite alors qu'on est debout sans bouger...Est-ce que ça t'est déjà arrivé que des choses te chatouillent dans la nuque?
-Oui
-Et quand les petits poils de tes bras se dressent tout seuls.
-Oui?
-Eh bien, c'est eux. Et quand ils se mettent en colère, il fait froid."
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date : 18-06-2013
« Du fond de la salle, j'ai aperçu Dédé qui glissait dans l'allée principale comme un joueur de curling. Au bout de sa glissade, il remontait l'allée en courant, puis il la redescendait sur les genoux en criant : ON A SIGNÉ! ON A SIGNÉ! Il était beau comme Jean-Louis Barrault dans Les enfants du paradis. Il était survolté. Toute la salle était branchée sur lui. Il générait une telle énergie qu'il aurait pu ramener la moitié des filles chez lui et enrôler la moitié des gars dans son armée personnelle s'il l'avait voulu... »
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Pas de Tango : Un couple danse le tango et en même temps s’affronte en une scène de ménage.

(durée : 30 minutes - 2 hommes / 1 femme)

Les Rats : Deux rats se battent pour la possession d'un territoire et d'un enfant. Une pièce terrifiante dont le suspense est à couper le souffle.

(durée : 30 minutes - 2 hommes / 1 femme)

Stand de tir : Un couple au stand de tir. Lui ne cherche qu'à réussir ses tirs et elle veut comprendre leur vie...

(durée : 30 minutes - 2 hommes / 1 femme)
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PENDANT L'ÉTÉ, je décide de trouver un logement plus près de la centrale, pour ne plus avoir à faire soixante kilomètres tous les matins. Les miliciens me proposent de dormir dans une école maternelle abandonnée. Elle a un joli nom: elle s'appelle Skazka, « Conte de fées ». Là vivent les hommes chargés de mesurer la radioactivité dans chaque partie de la centrale: les dosimétristes. Ils s'occupent tout particulièrement d'aller sur le toit du réacteur n°3 où l'explosion a projeté une grande quantité de déchets hautement radioactifs. Entre nous, nous les appelons Krychnye Koty, les « Chats du toit ». Ils élaborent des plans. Ils cartographient progressivement toute la centrale. Ainsi, au moment d'envoyer des machines ou des troupes, on sait précisément à quelles doses de radioactivité ils vont être exposés. Ils travaillent par périodes de quarante secondes, parce qu'ils vont là où personne ne va, là où les radiations sont les plus fortes.
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date : 29-03-2013

« La folie, c'est le propre des hommes, non des animaux. »
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Une brise fraîche pénétra par la fenêtre à mene au près de laquelle je travaillais et souleva légèrement la feuille qui séchait devant moi. Je me redressai, le dos raide, déposai ma plume à côté de la corne d'encre et souris au vieux clerc qui continuait à dicter d'une voix traînante. Voilà bien deux heures que j'étais attablée au-dessus du manuscrit de la bible en gaélique, cette traduction inédite que ma tutrice, dame Euphémia, comtesse de Ross, avait commencée pour l'évêque.
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Même si cela ne relève pas directement des superstions et des présages, le languages des fleurs et des plantes a originalement été élaboré au Moyen Âge où offrir et recevoir des fleurs correspondait à un message précis qui protégeait à la fois l'expéditeur et le destinataire. À cette époque, on composait littéralement des bouquets pour livrer des messages assez élaborés.

Après s'être estompée, cette pratique revint dans les moeurs, plus tard, à l'ère victorienne; les jeunes femmes s'en servaient alors pour faire connaître leurs amours et leurs passions, sans pour autant risquer de se faire surprendre à enfreindre la morale de l'époque.

Jetons un coup d'oeil aux significations prêtées aux différentes fleurs, herbes et plantes...

Acacia: Lorsqu'on donne cette fleur à quelqu'un, cela signifie qu'on a des sentiments pour cette personne...

Amandier: La signification courante de l'Amandier est l'espoir.

Chèvrefeuille: Il indique la fidèlité.

Houx: Le houx est symbole des voeux.

Iris: Cette fleur évoque un message d'amour. Donner un iris, c'est avouer de doux sentiments.

Jasmin: Voila une invitation à une nuit d'amour!

Lavande: La lavande annonce que l'on est prêt à répondre à des questions auxquelles on avait refusé de répondre auparavant.

Lierre: Des feuilles de lierre indiquent l'envie d'une amitié.

Lilas: Lorsqu'il est offert, le lilas indique un amour chaste s'il est blanc, une proposition de mariage s'il est mauve ou violet.

Lys: Symbol universel de la pureté, il signifie un amour chaste et noble.

Oeillet: L'oeillet signale notre admiration pour une personne.

Pensée: Les pensées indiquent l'état d'esprit de la personne ou qu'une personne pense à vous.

Primevère: Les sentiments de la personne restent constants.

Rose blanche: Une rose de cette couleur signifie un amour pur et dévoué.

Rose jaune: La rose jaune indique un fort sentiment d'amitié, une amitié profonde et durable.

Rose rose: La rose rose symbolise des sentiments tendres.

Rose rouge: D'un homme à une femme, elle indique l'amour. Lorsqu'une femme donnait une seule rose rouge à un homme, il s'agissait d'une réponse à ses avances...
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date : 17-03-2013
C'est ce qu'il y a de pire dans une séparation, pensai-je en éteignant la lumière. Cela oblige les enfants à cacher ce qu'ils ressentent. Cela leur apprend à naviguer entre deux mondes opposés. Cela les transforme en petits diplomates. La vraie tragédie est là. Le divorce transforme les enfants en tricheurs précoces.
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date : 14-03-2013
Accusée par son maître, le chevalier Dormicourt, de vol, ivrognerie et libertinage, la "sauvagesse" Marie Marguerite sera-t-elle exilée aux Antilles et y aura-t-il des voix pour dénoncer la pratique de l'esclavage dans la Nouvelle-France de 1740? Sur la question, le clergé est partagé mais les Jésuites sont hostiles au trafic des humains.
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date : 14-03-2013
-Ah, mes petits Pecks, vous ne le regretterez pas. Sûrement pas! Madmartigan n'oublie jamais ses amis. Et quant a cette jeune personne, vous n'aurez plus a vous soucier d'elle. Je vous le garantis.

L’enfant poussa un cri de joie quand il la souleva en l'air.

-Vous voyez? Elle m'aime, n'est-ce pas, ma petite chérie?
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-Tu les vois? S'exclama-t-elle.

-Oui, des fois, je les vois..., dit-il d'un calme déconcertant.

-Qui tu vois,qui as-tu vu?

-Eh bien, le grand-père de mon ami a l'école. Je ne t'ai pas raconté, mais c'est arrivé pendant que deux amis se battaient. Le grand-père était la, a côté de mon ami et il a dit quelque choses mais personne ne l'entendait, ni le voyait, juste moi. Alors, j'ai dit le message a mon ami.
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date : 14-03-2013
« Plus la situation est mythique, moins on accepte que les personnages de nos romans publics s'en tirent sans mystère. »

« Bienheureux les riches ! Car ceux qui sont riches, vraiment riches, n'ont jamais à savoir le prix des choses : il y a toujours quelqu'un qui passe derrière eux régler l'addition. »


« Les villes sont la nature façonnée par l'homme, à son image et à sa ressemblance. »
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date : 14-03-2013
"Elle eut le sentiment qu'il voulait l'insulter, par son dédain, par son silence, par ce qu'il y avait de détachement dans son attention. Pourtant il la désirait tout à l'heure, maintenant encore il la désirait,...Que ne la prenait-il, fût-ce pour la blesser ! O se détesta de son propre désir, et détesta Sir Stephen pour l'empire qu'il avait sur lui-même. Elle voulait qu'il l'aimât, voilà la vérité : qu'il fut impatient de toucher ses lèvres et de pénétrer son corps, qu'il la saccageât au besoin, mais qu'il ne pût devant elle garder son calme et maîtriser son plaisir."
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date : 13-03-2013
Vêtu de pantalons vert foncé et d’une chemise blanche assortie à ses cheveux gris peignés vers l’arrière, Shawcross portait des bottes noires qui ressemblaient à celles des policiers, à embout d’acier. Des poils de poitrine sortaient du col de sa camisole. Seuls les sourcils révélaient encore un peu la chevelure brune de sa jeunesse. Ses lèvres minces formaient un sourire prononcé dans son visage doux et amical au nez volumineux. Il avait les dents mal alignées, jaunies par les années. Son langage corporel exprimait clairement la joie de me voir.

«Bonjour, Nadia.
– Bonjour, Arthur. Enchantée d’enfin vous rencontrer!
– Moi de même!»

Nous nous sommes serré la main.
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