Bon. Je ne suis que déception. Et ma déception me déçoit. Mes proches ne tarissaient pas d’éloge sur ce roman, il a été récompensé par des prix reconnus et il semblait être un devenu un classique contemporain si je peux dire. J’avais déjà vu le film avant cette lecture et avait été premièrement déçue : je n’avais pas été emballée et avais trouvé le scénario trop long, avec une fin trop précipitée, soit un rythme maladroit. Ainsi, j’abordais cette lecture avec espoir : le livre est toujours mieux que le film, n’est-ce pas ? Et bien, pour ma part ici, je ne saurais le dire. De même que le film, le rythme du roman m’a paru mal maîtrisé, ne parvenant à m’entraîner dans une ronde captivante. De plus, les personnages ne m’ont pas séduite mais je ne formule pas là un reproche : je pense que c’était la volonté de l’auteur de ne pas glorifier ses personnages, les rendant banalement et prévisiblement humains. De même, l’écriture n’a pas suscité un emballement pour mes yeux et mes émotions. J’ai attendu tout au long de ma lecture un des rares événements qui m’avait enthousiasmée pendant le film : maudite réadaptation, il ne vint jamais !
En bref, je suis passée à côté de quelque chose, ce qui est une véritable déception pour moi. J’aurais plus que tout souhaité me prendre de passion pour cet ouvrage. Tant pis, il y a des livres qui nous plaisent, d’autres non, sans nécessairement de majeures raisons.

Un ouvrage efficace et nécessaire ! Très accessible, j’en recommande la lecture à chacun et à, j'espère, des intéressés non nécessairement végétariens ou vegans. Moi-même végétarienne, je connaissais déjà certaines des problématiques évoquées dans ce livre mais l’auteur nous apporte des informations supplémentaires et cruciales. Frédéric Lenoir n’étant pas encore végétarien, je considère que ses pensées peuvent résonner dans la tête de ceux qui ont encore des doutes vis-à-vis d’une approche beaucoup plus éthique des animaux. Très sensible à la cause animale, j’ai eu du mal à contenir mes larmes pendant la lecture ; bien que les faits évoqués soient complètement véridiques et non fait pour sangloter, c’est dans ce détachement cruel d’un quotidien qui prend les animaux pour des moyens acquis que l’affliction réside. Merci Frédéric Lenoir d’avoir donné une voix à ces êtres formidables trop souvent inconsidérés, niés comme tels.

Une magnifique lecture ! A travers ce roman, nous voyageons au Japon du XIXème siècle, traversé par les crises et les guerres, découvrant l'univers souvent méconnu des geishas et des okiya. L'histoire de Sayuri m'a tout bonnement happée : étant amoureuse de l'Asie de l'Est, je me suis plongée avec délice à travers ces pages et ces mots aux arômes de fleurs de cerisier. Le monde des geishas et toutes les règles qu'il suggère sont fascinants : cette part de la culture japonaise s'érige entre charmante et répugnante, dirigée par des femmes qui n'en subissent par moins le système pervers que peut prendre ce monde, sans cesse prêt à se transformer en cage.
Les personnages de Mameha et Nabu m'ont énormément plu. D'un côté, la femme forte et fascinante qu'incarne Mameha est indispensable à cette intrigue, lui ajoutant tout son piquant avec son esprit brillant. Quant à Nobu, son histoire m'a attendrie et son caractère quelque peu bourru a trouvé écho en moi.
Au niveau de l'histoire de Sayuri, il est absolument délicieux de la suivre, de la voir grandir, d'une enfant terrifiée par Hatsumomo à une femme endurcie et capable de penser par soi-même.
La fin m'a malheureusement déçue, laissée avec un goût de trop peu. Je l'ai trouvée légèrement bâclée et relativement trop simple pour une oeuvre jusqu'alors brillante.
Néanmoins, cette lecture fut une incroyable découverte qui me laissera encore longtemps rêveuse du pays du soleil levant qui, parfois, se noie dans les saveurs âcres du matcha...

Un puissant témoignage qui nous rappelle l'immense chance qui nous est offerte à travers l'éducation. Le récit de Malala force l'admiration : une enfant si jeune, faisant preuve d'une si incroyable maturité, se battant avec une incroyable force pour ses convictions. Personne ne devrait ignorer ses mots.

Si ce livre m'avait intriguée par son titre, à mes yeux charmant, son contenu fut bien loin de satisfaire mes attentes. Après un début apprécié, nous nous embarquons dans de longues descriptions lourdes et interminables. Le style de l'auteur n'est certainement pas fait pour moi : les dialogues s'emmêlent à la narration, à perdre le fil du récit et l'implicite apparaît trop présent et dénué de poésie. La fin est tout autant abrupte qu'absurde ; j'ai dû feuilleter les dernières pages plusieurs fois pour m'assurer ne pas avoir loupé des passages. Je suis bien déçue de cette lecture que j'ai traînée sur de longs mois, ne pouvant me motiver à la reprendre tant l'intrigue était plate. Dommage, pour un livre qui se déroule dans le Nord, à Lille, ma ville ; mon horizon d'attente n'a absolument pas été satisfait.

Je dois avouer que je suis un peu déçue par cette histoire. Je l'ai pourtant attaquée avec grand enthousiaste, en tant que passionnée de la Corée du Sud. Malheureusement, je ne me suis pas trouvée particulièrement entraînée par le récit. Les histoires contées par Bitna m'ont même plus intéressée que l'intrigue en elle-même. De plus, les personnages me sont restés très antipathiques ; aucun n'a éveillé quelconque émotion particulière en moi. Quant à Bitna, elle m'est apparue très déplaisante, son caractère assez égoïste et égocentrique. Néanmoins, ce fut une lecture qui accompagna mes trajets de métro sans trop d'ennui.

Un témoignage poignant conté avec des mots cruels mais justes. J'ai particulièrement apprécié le fait que Primo Levi relate l'attente de la libération des camps qui est une partie de l'univers des camps de concentration que je connais moins bien. De plus, de par son expérience, nous pouvons découvrir sans tabou la vérité crue du quotidien dans les camps de concentration : la loi du plus fort, le commerce permanent s'y déroulant, construisant comme une micro-société entre les murs de l'horreur. Un incontournable.

Un ouvrage très poétique, brouillant la frontière entre le réel et l'imaginaire par ses mots poétiques. En effet, au sein de ces pages l'encre s'écoule en des tâches bucoliques et mélancoliques. Ces teintes abstraites et implicites peinent parfois à décrire l'environnement dans lequel se trouvent les personnages. Si j'avais pensé en découvrir plus à ce sujet durant ma lecture ce ne fut malheureusement pas le cas.

Un livre court mais très fort ! L'auteur installe une ambiance particulière dès les premières lignes, mêlant l'insouciance de l'enfance à la pesante atmosphère de menace surveillant le '' petit pays''. Les émotions arrivent, inattendues, imprévisibles et bouleversantes.

Alors que, à ma grande surprise, le premier tome m'avait beaucoup plu, ce second volet ne m'a pas convaincue ! Et pour cause, on n'avance pas de tout le roman ! Constamment, dispute puis réconciliation, dispute puis réconciliation ! Les personnages deviennent exécrables et il me manquait ce frisson d'adictivite du premier tome. Honnêtement, à mes yeux, ce sont 850 pages où on tourne en rond et on se tire les cheveux. Vraiment déçue.

Que d'émotions ! Ce récit m'a bouleversée ! Malgré le fait qu'on connaisse l'issue de la fuite de Jang Jisung, je n'ai pu m'empêcher de frissonner et de me laisser envahir par des sentiments oscillants entre panique et soulagement. Ce témoignage prend vraiment aux tripes, passée la première moitié, les pages défilent d'elles mêmes. La fin m'a laissée en larmes et je ne peux que vous encourager à lire cette histoire chamboulante. De plus, l'auteur nous livre la vérité sur la Corée du Nord, nous ouvrant les yeux sur ce pays qu'on ne connaît qu'avec une vision extérieure et beaucoup trop faussée.

Un livre empreint de charme, nous dévoilant une petite ville haïtienne où s'entremêlent sentiments et une once de sorcellerie. Le récit, narré à travers les yeux d'un jeune garçon peut paraître langoureux, car assez dépourvu de dialogues. On se perd souvent, se demandant qui parle, dérouté par le grand nombre de personnages. Cependant, la deuxième moitié du livre suscite un frisson grandissant, aboutissant sur une fin brutale laissant un goût amer.

Je crains que ce genre de livre ne résonne pas en moi. Le message reste beau : il faut suivre ses rêves et c'est en sortant de sa zone de confort que l'on découvre les plus beaux trésors.

J'attendais beaucoup de ce roman, considérées les éloges qui en étaient faites. Malheureusement, je fus très déçue. A mes yeux, lorsqu'un auteur écrit un roman fantastique ou fantasy, il est d'autant plus important de décrire l'univers dans lequel on se retrouve afin de pouvoir en sentir l'ambiance et se perdre entre les pages. Ici, je trouve la description de Nevermoor bâclée, beaucoup de traits sont suggérés mais pas clairement expliqués ce qui est dommage. De plus, le schéma de l'intrigue est très basique et sans surprise. Je ne suis donc pas sûre de lire la suite, car la lecture de c epremier tome fut pour moi laborieuse et quelque peu irritante.

J'ai étrangement davantage apprécié cette oeuvre à la pièce qui lui a donné naissance. La critique du jugement sans pitié des personnes méprisant le peuple et le parterre fut très intéressante, et lire Molière défendre ses idéaux à travers le personnage de Dorante m'a plus transportée que les émois de AGnès et Horace.

Malheureusement, pour ma part, je n'ai pas su apprécier cette lecture. Cela est sûrement dû au fait que ma découverte de l'oeuvre s'est faite en cours de français peu dynamiques et que le personnage d'Antigone m'est on ne peut plus antipathique.

Un livre étudié en classe que j'ai apprécié. Il m'a plu de découvrir la tragédie classique à travers cette oeuvre au personnage torturé inspirant à la fois la pitié et le dégoût.

Je ne suis malheureusement pas une grande fervente de théâtre classique,et Molière ne fait pas exception à la règle. L'intrigue ne m'a pas transportée et je n'ai pas été spécialement amusée par les personnages ou les péripéties. C'est tout simplement une affaire de goûts personnels : j'ai du mal à apprécier le théâtre en le lisant et préfère le voir.

Une lecture agréable, bien qu'un peu longue à démarrer. J'ai apprécié découvrir les différents caractères des personnages, dans une ambiance estivale et fruitée.

J'ai souvenir d'avoir lu ce livre en été, saison se prêtant parfaitement à l'intrigue qui se déroule, comme l'indique le titre au mois d'août. Je me rappelle d'une lecture plaisante et agréable, facile et sans prise de tête, tout en restant intéressante et pleine de sentiments.

Un roman que j'ai beaucoup apprécié lire. Contrairement à ce que j'appréhendais, ma lecture n'a pas été longue et laborieuse, il suffit de bien se mettre dedans, de s’immerger dans l'univers superbement décrit par Zola et de se perdre dans le temps. Une belle lecture !

Une lecture qui rappelle la série, qui est d’ailleurs ma préférée. Ainsi, j’ai retrouvé un univers de trahison, de secrets et de mystère propre à Gossip Girl. Un régal qui n’a duré que quelques heures enchaînées, tant il était addictif.

Ce livre ne m’a pas spécialement marquée étant donné que je ne me rappelle plus vraiment de son contenu, pourtant je me rappelle avoir passé un agréable moment avec ces petites nouvelles.

Un superbe premier tome ! L’univers nous happe et nous fascine ! J.ai juste un peu de mal avec le personnage de Tara, qui, je trouve, représente un peu l’héroïne clichée, parfaite et admirée de tous. Cela la rend un peu insupportable à mes yeux car trop parfaite. Les autres personnages pourtant présentent tous de différentes couleurs et sont très intéressants.

Un dernier tome qui conclut en beauté cette superbe saga. J’ai beaucoup aimé decouvrir les rouages de la série qui m’ont surprise. J’aurais cependant aimé que les relations entre les personnages secondaires soient davantage approfondies. Il me tarde déjà de relire cette série !

Un livre tout aussi passionnant et addictif que le premier ! L’univers me fascine et les péripéties ne cessent de me surprendre.