Moi, Milanollo, fils de Stradivarius
Auteur
- Jean Diwo (Écrivain)
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Classement en biblio - 36 lecteurs
Commentaire le plus apprécié
Franchement, j'ai vraiment adoré ce livre. Je suis violoniste et pianiste et j'ai vraiment aimé.
On suit la vie d'un violon au cours des siècles, on voit ses émotion, sa vie, ses tristesses....
Ce livre est vraiment à lire, et je suis vraiment étonnée de la note qu'il a, carrément trop basse par rapport à sa qualité...
Recommandé ( surtout aux musiciens !! )
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J'ai adoré ce livre. On suit la vie de ce stradivarius à travers le temps, de sa fabrication à ses nombreux propriétaires, ses émotions.. Je vous encourage vivement à le lire et sans être musicienne je pense que ce livre est un petit trésor.
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J'ai lu ce livre car j'avais lu, il y a quelques temps "les violons du roi" du même auteur et que cela m'avait beaucoup plu. Je n'ai pas été déçu de celui-ci non plus. On découvre la vie de ce violon comme si c'était un personnage de roman, on sent que ce violon vit à travers ces pages. On a toujours envie d'en savoir plus sur la vie de cet instrument. J'aime beaucoup le style de Jean Diwo. Ce livre m'a donné envie de lire "la suite de la vie de cet instrument" le livre écrit par Pierre Aymoral propriétaire de ce violon. Très bon livre.
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Franchement, j'ai vraiment adoré ce livre. Je suis violoniste et pianiste et j'ai vraiment aimé.
On suit la vie d'un violon au cours des siècles, on voit ses émotion, sa vie, ses tristesses....
Ce livre est vraiment à lire, et je suis vraiment étonnée de la note qu'il a, carrément trop basse par rapport à sa qualité...
Recommandé ( surtout aux musiciens !! )
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Date de sortie
Moi, Milanollo, fils de Stradivarius
- France : 2009-12-08 - Poche (Français)
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Résumé
"Si je vous dis que je m'appelle Milanollo, né en 1728 et fils d'Antonio Stradivari, serez-vous étonné ? Peut-être pas. Mais si j'ajoute que je suis un violon doué de parole, de souvenirs, d'émotions, sans doute plus. J'en ai connu des aventures, en presque trois siècles d'existence : d'abord baptisé Coucher de soleil par Jean-Sébastien Bach, puis offert au Régent, j'ai fait vibrer la Pompadour comme Marie-Antoinette... Si les plus grands artistes m'ont permis d'être ovationné dans le monde entier, il m'est arrivé - hélas! - de vivre des moments douloureux. On a tué pour me dérober. La Révolution m'a fait fuir dans les bagages du virtuose Viotti vers l'Angleterre, où son confrère Dragonetti m'a ensuite envoûté, suivi par Paganini et la grande Teresa Milanollo. Plus récemment, j'ai appartenu encore aux fameux virtuoses Christian Ferras et Pierre Amoyal. Et aujourd'hui ? Eh bien, moi qui ai pleuré aux drames que mes maîtres ont vécus et éprouvé des bonheurs indicibles, je vous laisse savourer mes derniers chants, dans la magie du coup de théâtre qui referme ce livre."
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