Ajouter un extrait
Liste des extraits
Qu’y a-t-il à envier dans le fait de pouvoir s'imaginer des dizaines de solutions réelles et fonctionnelles à de nombreux problèmes qui se présentent, combiné au fait que la plupart des autres ne voient pas les problèmes en question (même s’ils en souffrent eux-mêmes), et donc encore moins n’accepteront les solutions en tant que telles ? De percevoir des dangers graves, réels et très menaçants se présenter à l’horizon, se rapprocher à grande vitesse, tandis que ses proches ne les voient pas, ni ne s’intéressent à ces choses, et se moquent de soi quand on sonne l’alarme ? (On appelle cela communément le « complexe de Cassandre » mais moi je revendique un nouveau nom : le « complexe de Troie ». Parce que ce n’est pas Cassandre qui a un grave problème dans cette histoire, ce sont bel et bien les habitants de Troie).
Afficher en entierJe vis, je vis. Ça, avec une force quasi véhémente. Jamais je ne mourrai. De toute façon, on ne peut pas mourir. La disparition n’existe pas dans cet univers, par définition, par observation et par compréhension. Où iraient les choses, où iraient les vibrations de nos pensées, de nos sensations, de nos émotions? Vers où disparaîtrait-on ? Vers un endroit hors de l'univers, qui ne serait plus alors l'univers ? cela n’a pas de sens, il n’y a que recombinaison, réorganisation, à plein d’échelles, à plein de vitesses, toutes inévitables. À part cela, rien d’autre.
Afficher en entier