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L'histoire, un puzzle dont on ne cesse de replacer les morceaux, est celle de personnages interchangeables, jeunes gens dorés sur tranche, désoeuvrés et la tête enfarinée. L'un s'ennuie à mourir dans son loft de deux cents mètres carrés, l'autre cherche désespérément un endroit ou passer la soirée et tout ce joli monde de dix-huit ans à peine se téléphone et se retrouve dans les lieux les plus chics de Los Angeles. Pour méditer, bien entendu, sur les dernières fringues à la mode ou le meilleur plan dope de la ville. Et les parents dans tout ça ? Ils sont trop occupés et stressés par leurs boulots, leurs maîtresses ou leurs psychiatres pour voir ce que devient leur charmante progéniture.
J'ai trouvé ce roman excellent car il traite d'un mal vivre toujours d'actualité. Le bonheur n'est pas dans l'argent et le succès professionnel dans une Amérique qui a perdu ses valeurs, celle de la famille.
Une lecture étrange, vide d'un réel sens, mais c'est ce que ressent le personnage principal Clay. On est perdu comme lui semble perdu dans sa vie, et pourtant son histoire et le roman avancent. Il est des fois compliqué de trouver la motivation pour continuer sa lecture, mais je finissait toujours par revenir à cette lecture.
A 21 ans, Bret Easton Ellis sort son premier roman. Un coup d'éclat qui débarque donc en 1985, et s'étale sur à peine 200 pages...
Au cours desquelles on suit Clay, jeune adolescent qui passe de fête en fête, de ligne de coke en ligne de coke. de quoi en faire un roman au message anti-drogue ? Non, c'est bien plus. Parceque Clay ne trouve aucuns sens à tout ça. Il est en couple avec Blair. Ou pas d'ailleurs. En fait, tout est brumeux dans le roman. Comme Clay, c'est à travers la chaleur et la fumée des joints qu'on suit l'histoire. Les événements se déroulent, se suivent, les "et" font de longues phrases dont on a oublié le début en arrivant à la fin... et tout cela sert magnifiquement le propos même du livre : soit le vide de jeunes existences dont on se demande comment elles vont avancer.
Un snuff movie ? Bof, on change de piéce dans même sourciller. le viol d'une gamine de 12 ans ? Clay se dit que ce n'est pas bien mais semble à peine plus choqué que ça. Que son ami se prostitue pour rembourser une dette ? Idem. Il est là, il observe, mais ne sait pas où ça va mener. Et pendant les 200 pages, on est comme lui, on regarde tout ça de haut, on commence à se perdre, et on se dit que ces existences sont bien vides, entre fêtes, drogues, et... rien d'autre ?
Bret Easton Ellis, à 21 ans à peine, a compris comment mettre son lecteur dans le même état que son personnage, et rend par là même son roman d'autant plus intéressant, et même important sur certains aspects. Et il en fait donc une lecture indispensable !
J'ai enfin terminé ce livre, j'y retournais chaque fois à contrecoeur juste dans le but de le terminer et de pouvoir passer à autre chose. Heureusement qu'il n'est pas long. Je ne sait pas si c'est parce que je ne suis pas le public visée mais je n'ai rien compris. Je me suis accrochée pensant que la fin pouvait apporter quelque chose mais non...
Des phrases qui ne veulent rien dire pour moi, des dialogues sans intérêts, beaucoup trop de personnages dont on ne sait rien
Bref bien contente de l'avoir terminé et de quitter cet univers bien trop sombre, morbide et malaisant.
Ce que j’ai aimé : L’auteur a soigné sa bande son, le petit Clay, il écoute de la bonne zik d’époque. Le style est facile à lire, ça se survole même.
Ce que je n’ai pas aimé : Qu’est-ce que je me suis emmerdée, c’est pas Dieu possible! Un peu comme Clay, et je crois que c’était la volonté de l’auteur : histoire de nous faire passer le côté désabusé de la première génération post-trente-glorieuses. Sur l’internette, les gens ont adoré ou détesté, comme bien souvent avec cet auteur. Moi j’ai surtout beaucoup baillé… Je ne sais pas si j’aurais un jour la force de m’attaquer à la suite.
L’auteur a écrit avec une certaine dynamique cette histoire plutôt malsaine. J’ai vraiment aimé mais alors je ne m’attendais pas à cette fin.
En fait j’ai trouvé l’histoire plutôt flou, on comprend pas trop où l auteur veut en venir . Ça ne m’a pas dérange jusqu’à lire les dernières lignes... je vais lire la suite car ça m’intrigue et que j’ai aimé‘ suivre les’ personnages
Le début est vide. Il met en avant le néant qui règne dans la vie des jeunes personnages de ce roman. Je ne me réjouissais pas du tout de lire un livre sur l'alcool, le sexe, la drogue, mais la fin, poignante, m'a beaucoup fait réfléchir. La psychologie des personnages est très intéressante, et si leur vie semble a priori enviable, le lecteur est bien content de ne les rencontrer qu'à travers un roman...
J'ai vraiment eu du mal à entrer dans ce roman pour ne finalement jamais vraiment accrocher. Je suis peut-être passée à côté de quelque chose mais ce livre ne me paraît pas fait pour moi.
Le quatrième de couverture m'avait attirée, mais j'ai vraiment été déçue. Bonne idée de départ, mais qui tombe à plat. J'ai quand même lu la suite mais sans grand espoir
Résumé
L'histoire, un puzzle dont on ne cesse de replacer les morceaux, est celle de personnages interchangeables, jeunes gens dorés sur tranche, désoeuvrés et la tête enfarinée. L'un s'ennuie à mourir dans son loft de deux cents mètres carrés, l'autre cherche désespérément un endroit ou passer la soirée et tout ce joli monde de dix-huit ans à peine se téléphone et se retrouve dans les lieux les plus chics de Los Angeles. Pour méditer, bien entendu, sur les dernières fringues à la mode ou le meilleur plan dope de la ville. Et les parents dans tout ça ? Ils sont trop occupés et stressés par leurs boulots, leurs maîtresses ou leurs psychiatres pour voir ce que devient leur charmante progéniture.
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