Mon journal grave nul, Tome 6 : Le problème, c'est que je suis d'ici
Auteur
- Jim Benton (Écrivain)
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Classement en biblio - 85 lecteurs
extrait
Lundi 2
Cher journal,
Bon, j'ai compris. Tout le monde aime mieux Angeline. Es-ce que c'est seulement parce qu'elle est blonde, grande et mince ? Les balais aussi sont grands et minces. Mais as-tu déjà vu quelqu'un perdre la tête pour un balai ?
Quoique... À l'école primaire, j'ai déjà vu un concierge faire quelque chose qui me fait encore frémir quand je vois un balai. Pour faire une histoire courte, disons que les concierges sont humains, eux aussi, et qu'on peux parfois se sentir très seul à la Saint-Valentin.
Afficher en entierCommentaires récents
Encore un tome sympathique, où on espère que la rédactrice de ce journal trouvera enfin un équilibre et se sente heureuse (après tout à cet âge-là on se fait tout un monde de ce qui arrive, alors qu'on en vient à regretter cette période plus tard...).
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Un bon souvenir de ce livre, plein d'humour. A conseiller aux plus jeunes.
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Super BD très drôle dont on a pas besoin d'avoir lu tous les tomes pour comprendre l'histoire.
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Hilarant!! Les dessins sont super drôles et aide à la compréhension de l'histoire. A lire seulement étant jeune sinon vous risquez quelque peu de vous ennuyer.
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Très très chouette ce livre !!! Très marrant aussi il a beaucoup de qualité !!!
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La couverture est belle, ce qui nous donne envie de lire le livre. Les histoires sont vraiment bien.
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Superbe collection avec beaucoup d'humour !!
La couverture est super belle !!
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C'est genre bizarre comme livre xD Mais c'est quand même bon tout de même! Les personnages sont très attrayants.
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Résumé
Isabelle se méfie des élèves de Deloin. Elle pense qu’ils vont probablement nous voler nos affaires. Isabelle a des grands frères très méchants, alors elle a grandi dans la crainte perpétuelle de se faire voler ses affaires ou de se faire lancer des crottes de nez.
C’est peut-être pour ça qu’Isabelle s’imagine que partout ailleurs, c’est pire qu’ici, alors que je sais, moi, que c’est mieux partout. (Sauf là où il y a des lois bizarres qui interdisent de danser avec un singe ou de porter des talons hauts. On est toutes les deux d’accord pour dire que ces endroits-là sont pires qu’ici.)
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