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Extrait ajouté par mabiblio1988 2010-08-01T20:43:20+02:00

« Il y a des hommes qu’on oublie dès qu’on les a rencontrés. »

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Extrait ajouté par Milka2B 2021-05-11T23:22:26+02:00

Brigitte, Brigitte. Pourquoi le prénom d’une fille qui n’utilise que son prénom m’agace-t-il au-delà de l’imaginable? Elle n’utilise probablement que ce prénom parce que tout nom qu’on y accolerait paraîtrait ridicule.

Brigitte Smith ? Brigitte Conklin ? Brigitte Jones ? Brigitte Couche-toi-là ? C’est un nom idiot, qui sonne faux, prétentieux, qui crie sur les toits que vous êtes une aspirante Bardot.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-14T20:11:23+02:00

Le repas s’achève dans un silence tendu, comme lors d’un premier rendez-vous raté. Je sais qu’il a envie de m’en dire plus sur Paris mais je ne l’encourage pas. Je ne veux pas savoir ce qui s’est passé. Pourtant, il paraît difficile de repartir de zéro sans parler d’abord de toute cette histoire. Mais je n’ai pas la force de lui poser des questions, et il comprend que je ne suis pas prête à entendre les réponses.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-14T20:11:07+02:00

Ellen repart voir Elan dans les Adirondacks et m’invite à me joindre à elle. Je pense refuser. Je n’ai aucune envie de jouer la cinquième roue du carrosse. Malgré tout, j’ai très envie d’y aller. Nous ne nous sommes pas vues depuis un moment… Et ces derniers temps, je travaille dur, sans m’accorder le moindre break. Quelques jours hors de New York vont m’éclaircir les idées. Je verrai comment ça se passe, et je peux toujours aller me promener toute seule si je sens qu’ils ont besoin de rester seuls.

Séjourner dans un endroit au froid si mordant tient aussi un peu du défi. C'est une façon de se mesurer à la nature. Et de sortir de l’appartement de Chris. Mes songeries amères m’ont amenée à décider que, jusqu’à l’approbation de mon assemblée de copropriétaires, je ne bougerai pas de chez lui. Si ça n’arrange pas ses affaires, tant pis. Qu’il aille chez Brigitte prendre son mal en patience.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-14T20:10:58+02:00

Le lendemain matin, je m’arrête pour prendre un café à emporter chez Starbucks, puis je fonce au bureau, plus tôt qu’à l’accoutumée. Les lieux sont calmes, presque déserts. Tant mieux! Je ne suis pas d’humeur à bavarder avec mes collègues ou écouter leurs conversations téléphoniques pendant que j’écris. Nous ne disposons d’aucune intimité. Personne n’a un vrai bureau, juste un cube cloisonné. Difficile d’empêcher des voix de se détacher du brouhaha général. Si le gosse de quelqu’un échoue à un examen, ou si votre voisin veut renégocier son prêt immobilier, non seulement vous êtes aucourant, mais vous suivez en direct les discussions et analyses de la situation, ressassées par la personne concernée à ses correspondants. J’ai une fois rédigé un article en suivant pas à pas le déroulement d’un accouchement, jusqu’à l’étape « dilatation à neuf centimètres » suivie de « la tête est engagée ».

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-14T20:10:55+02:00

Je rentre à la maison de bonne heure, pour prendre une douche et me changer avant mon rendez-vous avec Reilly. Au lieu de la jupe dépareillée de chez Banana Republic enfilée ce matin, je choisis un tailleur Armani noir et des chaussures à talons. Pas pour me faire belle, mais pour projeter l’image d’une professionnelle sûre d’elle, alors que face à un manipulateur de cette envergure, je fais figure de poids plume. Je suis en train de me brosser les cheveux quand j’entends une clé dans la serrure. C'est étrange. Chris m’avait prévenu qu’il ne rentrerait pas dîner. Quand la porte s’ouvre, il paraît aussi surpris que moi.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-14T20:10:45+02:00

Cette obsession doit cesser. L'univers de la presse ne connaît pas de répit, et j’ai du travail. Les journaux ne cessent pas de paraître durant les fêtes. Pas de vacances de Noël ou du jour de l’an pour nous, pauvres journalistes. Non seulement on ne ralentit pas le rythme – alors que tout le monde est chezsoi en famille, ou parti skier dans le Colorado – mais on met les bouchées doubles. Car comme les nouvelles se font rares et que le journal tourne avec la moitié de son effectif, c’est aux reporters présents de trouver des sujets d’articles.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-14T20:10:29+02:00

En fait, Jack Reilly a raison. J’ai bluffé, et il m’a prise en flagrant délit. J’ai tout compris, mais je ne peux rien prouver – pas encore. L’ordinateur de l’hôtel a confirmé ce que je soupçonnais, mais je ne peux pas le mentionner dans mon article. Et si je me trompe dans le moindre détail, une fois l’article publié, je nous expose, moi et le journal, à une juteuse poursuite en justice. Je sais que Jack a offert ce voyage, mais je n’ai aucune preuve tangible. Ce qu’il me faut, c’est sa facture American Express, ou un reçu s’il a payé cash, ou n’importe quelle explication justifiant l’absence de numéros de cartes de crédit, pour lui et les membres du département audiovisuel.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-14T20:10:20+02:00

Sous le choc, j’esquisse un mouvement de recul, afin de me soustraire à leurs regards. Je suis tentée de m’asseoir aussi loin que possible et de me contenter de les observer à distance. Un peu comme si je regardais un film muet, et tentais de comprendre leur conversation d’après leur langage corporel. Slaid et Reilly sont-ils de vieux amis ? Ou bien viennent-ils de faire copain-copain ? Slaid a-t-il fait la connaissance de Reilly par l’entremise de quelqu’un du département audiovisuel? Je n’ai jamais vu Slaid en action. Je veux l’étudier, saisir sa technique. Et plus que tout, je veux découvrir comment, par tous les diables, il a appris que Reilly se trouvait ici!

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-14T20:10:16+02:00

Une tempête de neige s’est abattue sur New York avec une force inattendue. Difficile de croire qu’à notre époque, avec toutes les nouvelles technologies à leur disposition, les météorologues sont autant à côté de la plaque. Ils avaient prévu au pire une légère chute de neige – avatar d’une perturbation venue du Canada, qui n’était pas du tout censée avoir un impact sur le temps à New York. Quand la tempête a cessé, la couche de neige atteignait trente-cinq centimètres, et dix de plus sont attendus.

Quand je me suis suffisamment réjouie à l’idée de nager dans les eaux turquoise des Antilles pendant que mes collègues, chaussés de bottes épaisses, pataugent dans la neige et affrontent un froid polaire, une autre pensée m’assaille. Chris va disposer d’encore davantage de liberté. De nombreux employés de l’agence vivent en dehors de la ville et ne parviendront pas à atteindre New York. Refusant de m’appesantir sur ces pensées négatives, j’appellemon bureau pour me renseigner sur ce que mijote mon concurrent direct.

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