Commentaires de livres faits par Mondaye
Extraits de livres par Mondaye
Commentaires de livres appréciés par Mondaye
Extraits de livres appréciés par Mondaye
Un style splendide, déroutant, séduisant... indescriptible.
Un personnage plein de finesse, d'une grande profondeur que l'on suit avec plaisir... non avec exultation au fil de ces pages.
Une intrigue juste passionnante, riche en détours, surprise et découverte.
Un univers riche et fascinant, qui tout en utilisant quelques classique du bestiaire de la fantasy (sorciers, elfes...), parvient à les réinventer à sa manière.
Une fin... mais une fin! Un délice! On en frissonne de frustration, et quelque part l'auteur doit bien ricaner...
Que dire de plus? L'essentiel est là. Ah si... à lire absolument!
Très différent des romans policiers à la Agatha Christie dont je tends à faire mon ordinaire, il a néanmoins un charme certain.
Il y a quelque chose de quasi oppressant qui se dégage de ses pages... cette maison coupée du monde, imprégnée, empoisonnée par ses secrets et mensonges semble une ombre planant sur tout le roman.
L'intrigue se déroule tout doucement, levant mille zones d'ombres sans parvenir à les chasser.
Quant au dénouement... Le comment se trouve, le qui, c'est une autre histoire.
Comment en parler sans tout dévoiler?
Je crois que je me contenterai d'ajouter qu'il vaut pleinement la peine d'être lu, et plus encore.
Certes l'intrigue est assez bien ficelée, le style relativement fluide, mais il lui manque quelque chose...
En un mot je l'ai trouvé fade.
Pourquoi? je ne saurais le préciser, mais il n'a pas assez de caractère à mon gout.
Peut-être est-ce cette sensation d'irréalité, ce quasi manque d'implication du détective quand son propre frère est assis au banc des accusés.
Dommage.
Certes il n'y a pas grand mystère sur la fin en elle-même... n'est-il pas d'ordinaire dans ce type de roman que le bien triomphe et le mal reçoive son juste tribut? Non le mystère c'est d'observer les machines en actions, les fils des destinées se mêler dans cette grande lutte.
Si certains personnages (voir presque tous) sont assez typés, ils le sont pour la plupart avec assez d'humour ou de profondeur pour que cela ne pèse pas.
Petite mention pour Fanchette, qui reste mon personnage préféré, et pour Similor et Echalot, si drolasses et bons-mauvais bougres.
Pour le style il est riche et fluide, un vrai plaisir.
Frissons et sourires nous viennent aisément dans cet ouvrage que je recommande vivement.
Quelques petites révélations, juste de quoi nous tenir en haleine... et c'est reparti pour un tour.
Mais ce livre ne m'a pas déçue.
Certes, le style n'est pas aussi flamboyant que dans d'autre de mes dernière lectures (surtout auprès de Gagner la guerre), mais il est fluide, équilibré et rythmé. Pas trop de précipitation dans l'histoire, même si les choses s'enchainent sans laisser le temps de languir.
Et puis le concept de base sur la "magie des runes" est assez intéressant... une sorte de développement poussé à l'extrême de la féodalité du moyen-âge, puisque les Dédié qui offrent leur vue, leur ouïe, leur intelligence en perdent la totalité.
Les autres formes de magie ont elles aussi leur cout... et cet équilibre est bienvenu.
Quant aux personnages, même si je n'ai pas ressenti une empathie aussi vive que pour d'autre, on ne peut que les aimer et compatir. Car pas de cadeau, pas de miracle, ceux qui meurent au détour des pages ne se relèveront jamais, et les changements qui transforme nos héros s'impriment en eux pour toujours.
Non vraiment, un très bon roman, et j'ai hâte d'en découvrir d'avantage. J'investirai dans la suite sans tergiverser cette fois.
Il n'y a pas d'autre mot. L'amie qui m'avait conseillé ce manga m'en avait chanté les louanges, et c'est donc avec enthousiasme que je l'ai emprunté.
Mais quelle déception. Certes les graphismes restent sympathiques, le postulat de base est intéressant, mais les personnages sont d'un plat. Et bon, mon avis est dur car or CLAMP, et Les arcanes de l'Aube ne suis pas trop shojo, mais c'est mièvre... on voit tout venir.
Après j'ai peut-être passé l'âge auquel on apprécie réellement ce type de manga. Mais j'ai lu les deux suivants uniquement parce que je les avais empruntés en même temps, et ce qui suit ne m'a pas du tout donné envie de poursuivre.
J'avais peur que mon long arrêt (cela fait plus de six mois que j'ai englouti le premier tome) ne m'empêche d'apprécier celui-ci. Il n'en est rien.
Dès les premières pages, me voilà de nouveau replongée dans la boutique, et quelques-unes de mes (nombreuses) interrogations recevant une réponse appelant à d’autres questions...
Ce tome m'a d'autant plus marquée par la "morale" qui s'en dégage. Car apprentie marmiton,
Bref un excellent tome, c'est un plaisir de se replonger dans cet univers.
Car à mon sens la relation Tylendel/Vayel se construit trop vite. Il n'y a pas d'évolution nette. Tout arrive quasiment d'un coup. Et ne tient donc pas la comparaison de la finesse de celle de Nightrunner.
Et de plus le monde est un peu trop... manichéen.
Le "mage maléfique" de plus semble sortir de nulle part. Les choses s'enchainent trop vite à mon gout.
Mais le livre n'est pas mauvais du tout, et le style fluide. Quant à Vanyel, même s'il est proprement insupportable par moment à geindre sans raison, cet auto-apitoiement le rend très réaliste (eh oui, j'ai un exemplaire de 16 ans à la maison, les jérémiades d'ado "mal-aimé" je connais :/).
Pour Tylendel, il est au début assez peu développé, mais
Bref un livre que je n'ai sans doute pas su apprécier à sa juste valeur...
C'est la voix de Watson (ou d'un personnage ressemblant un peu à ce bon vieux docteur) que nous entendons tandis que nous suivons ce personnage faisant face à une enquête passionnante.
L'univers dépeint est sombre, et sombre est l'énigme, et de fait la résolution finale. Surprenante. Tragique.
Je n'ai pas été déçue car je ne suis pas partie dans l'idée d'un "authentique" Sherlock Holmes. Cela m'a permis d'apprécier ce livre à sa juste valeur.
Bref une lecture dont je garderai un bon souvenir.
Le petit bémol est que la vérité nous apparait trop vite à mon gout. Le lecteur comprend bien avant la révélation finale ce qui a pu se passer ce jour-là.
Sinon une atmosphère délicieuse, un petit quelque chose qui me rappelle Gosford Parck (un film), par ce monde de la domesticité en opposition avec celui des "maîtres".
Et puis un style tout simplement superbe, d’une très grande fluidité, malgré la traduction.
Je n'ai pas été déçue.
Toutefois j'ai moins aimé ce roman que Le jardin des secrets, du même auteur.
Autant les autres tomes se terminaient de manière relativement... calme, autant celui-ci.
Et c’est pile le tome ou ces charmantes (hum) éditions Bragelonne décident de stopper la traduction. Réjouissez-vous amis lecteur, votre agonie ne connaitra pas de fin.
Sinon que dire de ce tome? Il est juste... Bam. Autant le tome précédent n'était pas particulièrement mouvementé, autant celui-ci nous balance dans un tourbillon d'action, de révélation, et d'expectations. Des pans de passé qui resurgissent, un emprisonnement, de la magie obscure, et des prophéties qui prennent leur sens. Et bien plus que cela. Alec et Seregil séparé l'un de l'autre. Perdus. Prisonniers. Esclaves. Tous deux devant faire face à leur propre situation, et tacher de se retrouver sans y perdre leur vie, mais bien d'autre chose.
Et puis que dire... sans spoiler, je ne peux pas parler DU détail majeur. Celui qui fait que ce tome nous laisse assoiffé au milieu du désert. Sans espoir de source, sauf changement d'opinion de la part de nos "amis" (tortionnaires oui!) de chez Bragelonne.
Je n'arrive pas à regretter d'avoir lu ce tome-ci. Je regrette juste de ne pas manquer de morale au point de kidnapper le directeur de ces fameux "amis" afin d'obtenir la suite de la publication.
Sinon quelque petite mise en bouche sur les origines d'Alec, beaucoup de révélation sur la vie passée de Seregil. Et une relation Alec-Seregil mouvante que l'on suit avec plaisir.
Bref un tome qui s'il n'est pas le meilleur, est très loin d'en devenir mauvais pour autant.
Nous revoilà sur ls traces d'Alec et Seregil, nos deux héros tout simplement uniques. Les choses laissées en suspend dans le tome précédent refont enfin surface, et les projt de Mardus, tout comme la prophétie sont de nouveau d'actualité...
Un régal. On tremble on frémit, chaque pages est tournée à la fois vivement et lentement, vivement car on est pressé de connaître la suite, mais lentement car ... une page tournée est une page de moins, et le livre menace trop vite d'en manquer.
La relation Alec Seregil évolue beaucoup dans ce tome... en dire plus gacherait la surprise ;)
Et pour finir la fin est tout à fait satisfaisante, et pour rassurer les lecteurs s'inquietant de savoir si oui ou non la série commencée il faut la lire jusqu'au bout, et être frustrée par le retard de l'édition française, la réponse est ...non! On peut s'arrêter après ce second tome sans problème. (sauf à la rigueur le violent désir d'en lire plus)
Les personnages sont intéressants, en particulier le prêtre même s'il a le mauvais rôle (surtout pour cela en fait), et vraiment attachant.
L'intrigue est bien construite et assez originale, et l'univers riche et passionnant.
Pour finir l'écriture est fluide, pas de problème à ce niveau.
Bref pour moi, une vraie friandise à dévorer sans crainte d'indigestion ou allergie :)
On est immédiatement captivé, capturé même par l'univers de Lynn Flewelling, que les lecteurs de Royaumes de Tobin reconnaîtront.
L'histoire ce passe quelques six cent ans plus tard, donc on ne retrouve évidement aucun des personnages d'alors, même si certains éléments y revoit
Les personnages... qu'en dire? Alec, assez naïf au début, et toujours si... innocent? Seregil et ses 58 ans de fay qui aux yeux de son peuple, le font à peine sorti de l'enfance, mais qui a pourtant déjà tant vécu.
Tous les deux dans leur relation mouvante d'élève et maîtres, père et fils (au sens figuré), amis, et qui sait... peut-être encore plus que cela.
Et puis complot sur complot, une intrigue passionnante.
On dévore ce livre de la première à la dernière page, et notre seule envie celui-ci refermé, est de se jeter sur la suite.
Car j'étais partie pour le lire en pensant qu'il n'y avait pas suite. Et arrivé à la fin... je ne vous fait pas de dessin, mais je ne comprenais pas. Ce n'était pas une fin. C'était un mystère entier implacable et une sensation d'inachevée.
Mais passons. Outre un final qui tient en haleine pour les suivants, ce premier tome est intéressant et bien construit.
Certains se plaignent du peu "d'action". Mais l'action ce n'est pas seulement des coups de fusils à droite à gauche, des épées qui s'entrechoquent. Et avec tout un univers, celui de Londres sous les bombes dans lequel se trouvent plongés nos héros venus observé l'héroïsme, il y a tout une angoisse montante qui compense largement ce manque "d'action.
Un roman très intense qui ne m'a pour ma part pas déçue, encore que j'aimerais bien savoir ou il va nous mener...
De nombreux personnages font leur apparition, pas tous très sympathiques...
On retrouve un peu de l'œuvre de Lewis Carol, et celle des autres auteurs introduit et adapté avec adresse pour le roman. Le mélange qui aurait pu être dangereux passe plus que bien.
La fin par contre... j'avais déjà envie de kidnapper les auteurs à la fin du précédent, mais là c'est sûr, si je leur mets la main dessus, ils ne sortiront pas de ma cave avant le suivant. (ni celui d'après s'ils récidivent).
Car la fin du troisième tome... mais quel besoin de vous parler de cela. Vous la connaissez tout aussi bien que moi.
Le livre reprend peu de temps après ce "coup de feu" de nos deux version Pierre face à face.
Comme de juste, rien à faire, impossible de trouver le bon.
Et Jules se jette tout droit dans le piège (heureusement les yeux ouvert) qui consiste en retrouver la feuille de Fowl.
Mais hélas pour eux, le machiavélique Fowl a de nombreux alliés, et certains biens placés pour porter un coup au moral de nos héros.
Bref un quatrième tome riche et palpitant, et ma seule hâte est de lire le suivant... dont on devine un peu la teneur... globalement, car je pense que les auteurs ont encore bien des surprises en réserve.
Une série tout simplement passionnante, un véritable coup de cœur. A lire et relire.
PS: J'adore Jules et Arthur évidement, mais Black Fowl a aussi... de la classe? En tout cas un quelque chose qui en fait un personnage très intéressant à suivre, tout méchant qu'il soit.
Et le final... en un mot j'adore cette "fin" et déteste les auteurs. Car pour un rebondissement... terrible!
Bref je suis devenue littéralement fane de cette série, depuis death note aucune série ne m'avais autant transportée. (ERt même Death Note, sur la fin, passé vous-savez-quoi, je n'ai plus autant accroché.)
Tout d'abord nous rencontrons Houdini, personnage charismatique pour le moins, quoiqu'assez... fuyant. On sent qu'il en sait bien plus qu'il n'en dit.
Ensuite Mary Shelley... et bien sur "la créature" (son papercut évidement).
La situation est tendue dans ce tome, tandis que l'on sent un des pièges du terrible Fowl étendre son ombre sur Jules et ses proches.
L'intrigue évolue, se développe pour notre plus grand bonheur, et ce second tome n'a fait que confirmer mon attachement à la série. Et oui je m’inscris moi aussi au fan club.
Je suis restée malgré moi très froide, et bien qu'ayant emprunté la suite, je l'ai rapporté sans la lire à la médiathèque (ce qui est assez rare chez moi).
C'est dire du peu d'intérêt qu'a éveillé chez moi ce roman.
Lorn est un personnage dont on sait en fin de compte peu de chose. On en vient à s'attacher à lui mais notre ignorance sur de nombre face d'ombre ne nous rend pas complice (ce qui est dommage). L'intrigue promet d'être en revanche intéressante, même si les choses commencent tout juste à se mettre en place.
Sinon on retrouve le style de Pevel fluide et agréable, et un univers bien construit à sa sauce.
Pour ma part j'ai hâte de lire la suite.
Même si dans les grandes lignes, notre première idée est celle du "déjà vu" il n'en est rien.
Tout d'abord car ce n'est pas l'ordinaire opposition bien/mal que l'on trouve généralement dans ce type de roman.
Non c'est deux "Aspects" deux voies possibles pour le monde qui s'affrontent, le progrès et la nature sauvage. (on sent le diplôme et la fibre écologique de l'auteur)
Ces deux Aspects, Le Père et l'Autre ne s'affronte pas de manière directe, mais comme de juste à travers des personnages.
Et là aussi originalité, ce n'est pas les jeunes héros merveilleusement gentil et idéaliste de l'un et les méchant fanatique et cruel de l'autre...
Du côté dont le lecteur souhaite (normalement) la victoire, celui des "héros", doute, refus, ambition ne sont pas absent.
De l'autre, certes il y a bien deux personnages assez noirs, mais aussi un personnage qui n'a pas de libre arbitre et une jeune fille persuadée d'être du bon côté et qui n'est pas mauvaise en soit... ( qui est d'autant plus sympathique qu'il y a une belle histoire d'amour tragique à la clef, mais bref, je n'en dirais pas plus.)
Bref de nombreux points font de ce roman un roman qui se démarque du reste, et la fin notamment est vraiment bien pensée et tout à fait inattendue.
L'écriture est fluide, ce qui ne gâche rien, et l'intrigue riche en péripéties sans exagération.
Bref pour moi, un excellent roman, j'en lirais volontiers d'autre de cet auteur.
Le concept est vraiment intéressant. Comme le dit Feanor, quand on pense "steampunk" on pense "époque victorienne" "Jules Verne" et tout le reste...
Mais là ce sont les machines de Leonard de Vinci qui prennent corps, dans ce livre qui tout en fournissant une Uchronie sympathique, traite religion, politique et art...
Et on reconnait l'atmosphère qu'on est en droit d'attendre à l'époque avec cette conjuration, ou l'ennemi prend le visage de l'ami, ou les familles s'entredéchiraient.
Après, comme je l'ai dit, je n'ai pas réussi à m'immerger dans l'histoire. Ou plutôt, j'ai réussi sur disons, un bon tiers, et puis, faute d'identification, et d'autre chose, j'ai perdu pied.
Après ce n'est pas un "mauvais" livre, mais bon les promesses étaient peut-être trop élevées. Et certaines choses auraient méritées d'être plus approfondies.