Commentaires de livres faits par Mondaye
Extraits de livres par Mondaye
Commentaires de livres appréciés par Mondaye
Extraits de livres appréciés par Mondaye
Même si l'action pure n'occupe qu'une relativement petite partie de l'œuvre, la richesse de l'univers, l'envoutante atmosphère et la délicate complexité des machinations politiques réussissent sans peine à nous faire oublier notre propre monde pendant les hélas trop courtes heures que durent cette lecture.
A lire.
même si définitivement j'ai moins d'attaches pour l'héroïne que pour mille personnages scondaires.
L'intrigue se divisent en deux parties assez différentes, et le point de vue se dédouble... ce qui est notemment pour nous l'occasion d'en apprendre plus sur Danny.
On fait aussi la rencontre de Derrin, le fils de Rothen, et croyez moi, vous l'adorerez ^^.
Tout s'assemble assez vite par moment, pas le temps de s'ennuyer mais sans brusquer les choses.
On passe un très bon moment et le livre refermé on n'a qu'une hâte: lire la suite.
J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher ou d'identifier aux personnages sur le début et ce n'est que vers la fin que j'ai vraiment réussi à entrer dans l'histoire.
Je dis "juste"? C'est plutôt injuste, car le style fluide, l'univers remplis de clin d'œil, l'humoir parfois corrosif et Sylvo font de livre une vraie bouffée d'air.
Mais mais mais... car il faut bien pointé ce qui a pu rebuter mon cœur... les choses s'enchaînent trop vite sur la fin et certains points sont de l'ordre du prévisibles.
Toutefois ces légers défauts ne gachent nullement l'ouvrage et on ne s'ennuie pas une seconde, loin s'en faut.
Et ma curiosité est bien assez titillée pour que j'envisage un second tome avec plaisir.
J'ai lu ce livre dans la cadre de l'opération « lire avec Booknode » et sans elle je serais sans doute passée à côté. Car ce livre n'entre pas vraiment dans la catégorie des livres qui me sont habituels (donc d'un autre côté je n'ai pas eu le temps de devenir très critique à leur égard)
Mais poussée par la curiosité, je suis partie dans une lecture que je n'ai pas regrettée.
Le livre se divise en trois axe.
Le premier centré sur la fameuse « expédition vengeresse », nous introduit Margo, ou du moins une des faces de Margo. Une expédition parfois loufoque, et à d'autre un peu plus « inquiétante » pour nos héros qui frôlent les limites de la légalité. Elle nous permet aussi de nous attacher à Quentin, notre héros, un garçon plutôt rangé et calme, un peu désemparé d'être fourré dans une tel histoire, et pourtant ravi d'avoir été choisi. Car après tout Margo, … et bien n'en est il pas amoureux depuis des années ?
Le second… le second évidemment c'est cette disparition inexplicable de Margo, la reine du lycée, et celle du cœur de Quentin. Et de la quête désespérée de Quentin pour la retrouver, cette chasse aux indices, parfois enthousiasmante et d'autre fois décourageante qui en plus de cette tourmentante question de Ou est Margo ? Commence également à se demander « Qui est Margo ? »
Le troisième… pour ne pas trop en dire et gâcher la surprise je dirais qu'il s'agit d'un road trip avec juste assez de manque d'organisation pour qu'il en devienne jubilatoire… pour nous comme pour nos héros.
La vérité sur Margo n'est pas vraiment celle que l'on imagine aux premiers instants, et s'est avec plaisir qu'on reconstitue petit à petit cette jeune fille en compagnie de Quentin.
Certes la fin est peut-être un peu trop pleine de bons sentiments, mais le livre reste un excellent moment à passer, tout en détente et clefs de réflexions proposées sans brutalité.
Certes nous n'avons qu'une envie c'est qu'elle soit autre... mais en même temps, nous savons qu'elle ne pouvais finir autrement.
L'heure est venue pour les masques de tomber... celui du Corbeau, mais aussi celui de tous les autres protagonistes... et nul n'en ressortira intact.
One ne s'ennuie pas un instant dans ce tome mouvementé, et le livre refermé, on regrette que nulle page ne suivra la dernière... quoique...
J'ai hâte de suivre les autres œuvres de la plume de nos auteurs pour des aventures qui sans nul doute seront merveilleuses.
Trop d'ailleurs à mon goût, et même si ma curiositée piquée aurait pu me donner envie de lire la suite, cette noirceur m'a convaincue du contraire.
Le style est fluide, l'intrigue plaisante et plausible ( autant qu'elle peut l'être quand la magie y a sa place), et les personnages attachants. (sauf les méchants mais bon ca tombe sous le sens).
Certes, c'est assez manichéen, avec quelques personnages plus que noir, mais pas au point d'en devenir pesant.
Et le livre refermé la suite se fait fortement désirer.
Les affaires, tout juste esquissées, sont déjà classées, et à peine à t'on le temps de jouer les enquêteurs et d'en aprécier l'intrigue.
Toutefois c'est un bon livre à lire quand on sait avoir peu de temps devant soit.
Certes je ne m'attendais pas à quelque chose de très commun en ouvrant un tel ouvrage, mais il est toutefois trop bizarre à mon gout. Trop éloignés des snetiers battus peut-être mais pas que, car je ne déprise pas la différrence et la nouveauté.
Non juste ... bizarre. Trop.
Je ne l'ai pas detesté, mais je ne l'ai pas non plus vraiment aimé, donc je ne saurais vous le recommander.
On pourra ensuite le reprocher d'être "lent". Mais cette lenteur permet réellement à l'auteur de nous proposer un cadre précis et creusé, ne se contentant pas d'un esquisse posée à la va-vite.
Mais ce premier tome, ces "défauts" que lui trouveront passé, on en passe pas moins un excellent moment, et il parvient à nous intriguer assez pour nous donner envie de lire la suite.
Nous faisons donc un détour au Nord pour rencontrer Teia personnage qui, autant vous l'avertir va prendre son importance, donc ne commencez pas à lire très vite le début de son passage car il va manger à lui seul presque la moitiée du roman. Outre cet "intermède" qui n'en est pas un, nous avons droit à quelques petits passages mettant en scène Savin d'un point de vue quasi interne.
Quand enfin nous retournons aux côtés de Gair, c'est un Gair encore endeuillé que nous retrouvons, et pour le moins haineux. Et peu convaincu par les arguments d'Alderan sur la meilleure manière de guérir son chagrin. Mais bon gré mal gré le voilà parti dans le sud (il me semble, faute de carte, j'ai du mal à m'y retrouver) à la recherche de la Graine d'Etoile qui permettrait de réparer le Voile.
Bref un tome parfois un peu "lent" mais mettant en jeu pas mal d'élément qui vont avoir de l'importance en divisant son intrigue sur plusieurs personnages.
Mon léger reproche outre cette lenteur est le côté un peu "manichéen" de la série, mais bon, c'est un défaut assez commun dans le genre, et le reste est plaisant assez pour qu'on le pardonne à l'auteur.
Sinon avertissement aux âmes délicates, il y a quelques scènes de viol assez... crues. Voir plus que cela. Donc à prendre avec des pincettes.
Pour la première nouvelle... c'est celle qui ouvre le reccueil et pourtant parmis celle qui m'ont le moins marquée. Une bonne atmosphère toutefois, et une fin assez surprenante, à mille lieus de ce que l'on attendait
On retouve dans la seconde Benvenuto et sa terrible verve qui nous a charmé (ou si le lecteur ne le connait pas encore va le charmer) dans Gagner la guerre. (que le lecteur doit s'empresser d'aller lire sitôt ce livre refermé) pour son entrée pour le moins mouvementée au service de vous-savez-qui.
Mais ce n'est là qu'une seule des nouvelles, aussi éclatante soit-elle, et elle ne peut résumer à elle seule l'œuvre.
la troisième nouvelle nous parle d'honneur, et comment celui-ci peut être détourné et utilisé à mauvais escient.
Même si elle ne m'a pas émue comme d'autre on pu le faire, on reste prisonnier de l'intrigue, ou le vent de la fatalité se fait sentir.
La quatrième nouvelle est assez prenante aussi à sa manière, et le fond est assez touchant. C'est une des seules qui propose une fin optimiste.
Pour le conte de Suzelle (cinquième nouvelle), c'est une nouvelle assez cruelle que nous offre l'auteur, qui ne lasse pas de nous émouvoir.
Dans la sixième nouvelle nous faisons la rencontre de Calame, un copiste malchanceux atteint du syndrome de Palimpeste... quand à connaître précisément quel est ce fameux syndrome, je laisse au lecteur le soin de le découvrir... en même temps qu'un excellent moment à passer ou le sourire pourra bien le surprendre au détour des pages... et se transformer en rire incontinent.
La dernière nouvelle qu'est le confident... est bien, j'ai peur de trop en dire. Je me contenterais de dire qu'elle est troublante, terriblement troublante.
Certes, on pourra se dire que la "course-poursuite" est un peu longuette. Mais de mon côté ça ne m'a pas gênée, ça m'e permis de mieux prendre connaiassance des personnages.
Ceux-ci ne sont pas trop stéréotypés. Pour ma part je dois avouer préféré Rthen à l'héroïne, même si celle-ci reste attachante.
L'auteur prend le temps de poser le décor, et laisser un élément qui lui servira pour rebondir par la suite sans être trop lourd dessus lors de l'intrigue de ce tome-ci.
Par contre le "méchant" de ce tome m'a paru un rien caricatural... ce qui est dommage.
Sinon une intrigue dynamique qui m'a fait passer un bon moment.
Je serais incapable de dire si je l'ai aimé ou non. Trop étrange, trop différent.
J'ai été perdu un bon moment avec les chapitres dans le désordre et la manière dont l'auteur maltraite la chronologie de l'œuvre. Du coup je n'ai pas réussi à rentrer à temps dans l'œuvre.
Mais la lecture a néanmoins été relativement agréable sur la fin, donc je ne sais que penser.
Malgré un résumé prometteur, je me souviens avoir été déçue par l'intrigue, et plus encore par la façon dont il était écrit qui avais gêné ma lecture.
Certes, on a pas mal d'élément "classique"... demoiselle en détresse, chantage, enlèvement, action d'éclat, complots et compagnie... mais la plume est légère et vive, et on ne s'ennui guère.
Pour ce qui est des personnages... Pardillan est évidement assez attachant, avec sa franche volonté de ne pas se méler de ce qui ne le regarde pas et de ne pas voler au secour de chacun... et son incapacité total à obéir à cet objectif. Son père aussi est assez amusant.
Mais le personnage qui m'a le plus touché est sans doute Alice de Lux. Autant Jeanne et Loise sont plutôt "faible", autant elle dispose d'une volonté assez farouche pour ne pas hésiter à combattre qui s'oppose à son bonheur.
Après il y a des endroit ou il s'est tout de même fait plaisir, en prenant un point de vue interne. La voix du cardinal, pas de doute c'est la sienne. (ne serait-ce que par la façon dont il parle de Robert d'Artois).
En tout cas, si au niveau du style il reste fort bien écrit, il lui manque ce petit quelque chose qu'avait les précédents. Une forme d'enthousiasme qui a disparu, remplacé par une désilluion moqueuse plus marquée.
car hélas, ce tome est découpée en deux parties, et si le voile du mystère commence à se lever, tout est loin d'être dit, et nos héros ne sont pas encore tiré d'affaire.
Un univers toujours aussi passionant, et une intrigue qui ne l'est pas moins.
Un excellent moment à passer.
Malgré une intrigue de prime abord assez conventionelle, l'auteur arrive rapidement à se démarquer, d'une part par son univers steampunk depayasant, ensuite par des détournements de situations qui ne sont pas aussi prévisibles qu'on le croit. Ou plutôt, on voit arriver quelque chose, et c'est une autre qui advient, nous prenant de cours.
Mon seul regret est que si au début la relation entre Yukiko et Buruu évolue avec la lenteur qui convient, sur la fin les choses se précipitent un peu. Mais bon, je chipote, je chipote.
Ah oui aussi j'ai bien aimé la manière dont l'auteur fait comme le dit si bien Caly, un pied de nez à certains détails qui m'horripile chez les romans jeunesse. Au début quand ce fameux shéma qui me porte sur le système a commencé à se dessiner, j'avoue avoir eu peur.
En bref un roman rafraichissant par son originalité et très prenant.
Certes, les massacres des huguenots, la guerre de religion, les trahisons et autres complots sont bien présents, mais malgré un point de vue interne, on s'en sent moins proche et horrifié que par les atrocités qui habitent l'œuvre de Druon.
Et de même, l'œuvre est plus manichéenne, en ce sens que le héros étant personnage de l'Histoire, il est tout de même partie pris, et considère par conséquent ses rois comme les meilleurs, et les méchants sinon noirs comme suie, du moins suffisement pour qu'on ai du mal à les dire gris.
Mais sinon, un plaisir que de suivre notre héros vieillisant, mais toujoura alerte dans ses nouvelles aventures.
Du moins pas a un habitué de la série, car il est vrai que comme le dit Feyrise, il est plus accessible que d'autres pour les gens ne la connaissant pas.
Peut-être est-ce juste parce que je n'adhère pas tellement au Slitheen, (créature alienne présente dans cette histoire) ou parce que Rose m'a agaçée grandement.
Toujours est-il que j'ai pris bien moins de plaisir dans cette lecture que dans mes précédentes découvertes.
Ce qui ne veux PAS dire que j'y ai pris aucun plaisir. Le rythme est vif, l'intrigue bien construite, et le tout assez divertissant. Mais pas assez immersif à mon goût.
Certes on peut reprocher aux personnages de sembler un peu... "épais" pour ce qui est de la comprenette et du raisonement, surtout Tazendra, ce qui en tant que seul membre féminum de notre quatuor m'a fait un peu grincer des dents... mais aucun ne manque en courage.
Après je pense qu'il faut avoir lu pas mal de roman de cape et d'épée à l'ancienne pour trouver le charme dans ce roman.
C'est une des aventures du neuvième Docteur que nous suivont là, et son carractère parfois... rugueux est bien présent, et vraiment bien rendu.
L'intrigue est sympatique et bien construite, les personnages également.
Un bon moment à passer.
Les personnages sont encore plus fouillé que par le passé si cela était possible, pour leur ombre comme leur lumière, même si à mon sens la première affirmation est la plus présente.
J'espère vivement que la suite ne tardera pas, la fin étant assez... alarmante. Et tant de questions restent sans réponses.
Certes la reflexion de fond est interessante, et l'auteur n'est pas dénué d'humour mais je m'attendais à quelque chose de... différent. Plus entrainant. Là je ne me suis jamais sentie au cœur de l'œuvre mais un peu trop à distance.
Mais on passe tout de même un bon moment, et comme je l'ai dit, les pistes sur la manière dont la construction du langage influence le comportement sont interessantes.