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Commentaires de livres faits par MorganeDmsnl

Extraits de livres par MorganeDmsnl

Commentaires de livres appréciés par MorganeDmsnl

Extraits de livres appréciés par MorganeDmsnl

— Tu sais ce que je vois quand je te regarde ? Une beauté unique. Tu es belle quand tu pleures, tu es belle quand tu râles, tu es belle quand tu ris, tu es belle quand tu dors. Tu es belle tout le temps !
Casey relève son visage en évitant son reflet et en se concentrant sur le mien à la place. Peu convaincue, elle ricane en secouant la tête. Cette idée d’être moche est si ancrée en elle, qu’elle est incapable de comprendre qu’elle a tort.
— Et moi, tu sais ce que je vois ? Une fille déformée par des cicatrices ignobles. Il y en a tellement qu’elles sont impossibles à compter. Qu’on les voie, ça ne me dérange pas. J’ai appris à les assumer en public. Mais pour moi, c’est autre chose. Ça me répugne parce que c’est un rappel de tout ce qu’il m’est arrivé.
— Laisse-moi te montrer et te prouver, s’il te plaît, que tu n’as pas à avoir honte de ton passé, à te culpabiliser de ce qu’il t’est arrivé.
Ses lèvres se ferment dans une moue boudeuse et perplexe.
D’un geste tendre, ma main se déplace, mes doigts pincent le bas de son tee-shirt et, avant de faire quoi que ce soit, je l’interroge du regard. Muette, elle répond d’un simple hochement de tête. En douceur, je lui retire son haut. Pour m’aider, elle lève les bras en gardant ses yeux ancrés aux miens. Une fois enlevé, je l’observe.
Il n’y a rien qui me dégoûte en elle. Casey est sublime. Elle a quelques rondeurs comme beaucoup d’autres femmes, qui sont loin d’être déplaisantes. Et puis il y a ce qu’elle considère comme des défauts : ses cicatrices présentes en grand nombre sur sa peau. Au-dessus de ses seins. Sur son ventre. Sur ses cuisses et ses mollets. Puis le dos aussi, sans oublier sa joue.
Ma paume vient effleurer son épiderme. Un frisson se forme sur son corps sous ma caresse. La respiration de Casey s’arrête puis reprend en un souffle hachuré. Là, ses pupilles se baissent et suivent le parcours de ma main.
J’approche ma bouche de son oreille et murmure :
— J’aime la douceur de ta peau et les petites aspérités que j’y rencontre. J’aime tes lèvres et ta voix, tantôt muette, tantôt râleuse. J’aime tes yeux expressifs, qui racontent toute une histoire. J’aime tes cheveux sauvages, qui ont leur propre vie. J’aime ton corps, qui n’est pareil à aucun autre. Tu es différente, tu es unique, tu es toi dans ton entièreté. N’aie jamais honte de cela. Et si un jour tu doutes, mon cœur, observe mes yeux, tu n’y verras aucun dégoût à l’intérieur. Bien au contraire.
À mesure de mes paroles, mes doigts ont cheminé sur les parties que j’ai citées. Casey n’a pas quitté du regard la trajectoire de mon toucher. Son pouls est devenu irrégulier alors que ses pupilles s’embuent peu à peu. Maintenant que mes paumes reposent sur son ventre, elle détaille son visage en silence. Elle refait connaissance avec son nouveau corps. Elle n’est plus Cassandra, cette adolescente qu’elle a quittée il y a un moment. C’est une tout autre personne.
Cinq ans sans se voir, sans même prendre une photo, c’est long. Très long. Combien de temps se serait-il écoulé si je ne l’avais pas convaincue que c’était le moment pour cesser de reculer ? Si cela ne tenait qu’à elle et son entêtement, je ne doute pas un seul instant qu’elle n’aurait jamais passé ce cap qu’elle pensait infranchissable.
— Est-ce que tu comprends pourquoi tu me plais ? lui demandé-je en plaquant un léger baiser sur son cou.
Elle quitte son reflet du regard pour trouver le mien et me lance un sourire ému qui m’atteint en plein cœur.
— Non, pas encore, répond-elle en toute franchise. Mais ça va venir, grâce à toi.
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Je suis tel un funambule, qui déambule sur un long fil. Celui de ma vie. Il est esquinté par endroit, si bien que le traverser est très dangereux pour moi. Mais je n'ai pas le choix, si je veux retrouver la lumière et laisser l'obscurité derrière.
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Cassangras. Ce surnom me revient. Pour tous leur plaire, je voulais me rendre plus légère. Fondre toute cette graisse, qui n'existait que dans ma tête.
Manger. Se peser. Se mesurer. Recracher. Tout recommencer.
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Engloutie par les ténèbres, je ne vois aucun échappatoire. La chimère qu'était notre relation a ses débuts, à laissé place à une réalité bien trop sombre. J'ai essayé de m'en sortir, en vain. Ses promesses ont laissé place aux menaces.
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Je préfère la vérité de l'imperfection au mensonge de la perfection.
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Si je me casse, personne ne me croira. Si je me casse, il égorgera le chat qui se balade dans sa cour. Si je me casse, il fera en sorte que ma famille et moi vivions un enfer. Si je me casse, je crève.
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Ça me bouffe déjà de continuer d'exister dans un monde qui semble ne pas vouloir de moi. Je suis obligée d'être consciente les trois quarts du temps. Je suis une éternelle insatisfaite, je veux, j'obtiens et je regrette.
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Sa souveraine lui semblait vulnérable, nue et à sa merci. Pourtant, il savait qu’il n’en était rien, et même s’il portait habits et armes, sa simple présence à Versailles, voire en France, ne dépendait que de son bon vouloir. Même nue, elle avait tout pouvoir sur sa vie.
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date : 08-06-2018
Sa personne dévaste mon esprit et mon cœur. [...] Plus rien n’existe autour de nous, seule la musique est encore présente dans mon esprit. Nos corps se cherchent et se trouvent. Ses regards enflamment chaque parcelle de ma peau. Ses mains sont des caresses brûlantes qui stimulent tout mon être, un plaisir partagé rien qu’en dansant.
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date : 08-06-2018
Je sens le sol sous mes pieds, l’air qui entre dans mes poumons, ma respiration qui s’allonge, à chacun de nos pas.
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date : 08-06-2018
Je veux qu’elle apprenne à transmettre ses émotions avec son corps. Je désire juste qu’elle se laisse mouvoir et émouvoir par ses sentiments. Qu’elle danse avec ses peurs, ses colères, ses joies, son amour. Qu’elle les ressente, les traverse et les laisse évoluer. Qu’elle accepte de s’en remettre à la vie, aux mouvements, là où les émotions passées et refoulées se sont cristallisées, afin qu’elle se libère dans cette chorégraphie spontanée. Qu’elle ne bouge pas qu’avec ses membres, mais qu’elle danse de tout son être.
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date : 08-06-2018
Mes cheveux vénitiens virevoltent dans les airs, tels l’air et le feu, deux éléments qui se mélangent en harmonie.
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date : 08-06-2018
Tout mon corps palpite d’un besoin urgent de bouger en même temps que lui et de le rejoindre. Je goûte à la liberté à travers sa création, il brise les règles, il n’y a plus aucunes normes, mon esprit est dicté par son corps qui s’exprime.
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date : 09-04-2018
- Endy suit le cycle de la lune ! En fait, c'est comme s'il avait ses règles, quoi ! Il devient irritable comme une nana avant ses règles ! Hé ! Endy ! Tu veux qu'on parle de ton cycle menstruel ?
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date : 09-04-2018
Mais cela leur importait peu, car Louis était le royaume de Juliette et Juliette était le refuge de Louis.
Ils se suffisaient.
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date : 09-04-2018
Elle court loin, loin, loin... Elle court, martelant le sol de ses pattes légères.
Elle laisse la meute derrière elle et s'enfuit dans la montagne.
Elle court, loin, loin, loin.
Les hurlements des mâles s'évaporent dans leurs échos affaiblis.
La liberté sauvage imprègne sa fourrure.
La lune, complice, se reflète dans ses yeux d'or.
Elle hurle sa joie !
Et elle court loin, loin, loin...
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date : 09-04-2018
La jeune femme sent comme un parfum de volupté qui plane dans l'air nocturne, un appel à l'amour. La magie du printemps est puissante.
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date : 09-04-2018
Le vent se mêle à leur fourrure. Leurs yeux dorés brillent dans la nuit blanche.
Vitesse....course...lune...
La louve grise hurle sa joie féroce.
Vitesse...course...nuit...Libres.
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date : 09-04-2018
Elle est devenue une étrangère pour celui qui était son univers.
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La solitude est mauvaise conseillère, dit Graham, assis sur le bord de son lit. Elle est toxique et mortelle la plupart du temps. Elle pousse les gens à croire qu'ils sont mieux lotis avec le diable lui-même qu'en restant seuls, parce que, quelque part, être seul signifie qu'on a échoué. Quelque part, être seul signifie qu'on n'est pas assez bien. Alors, le plus souvent, le poison de la solitude s'insinue en vous et vous fait croire que le moindre geste d'attention équivaut à de l'amour.
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