A propos des livres
JANE AUSTEN
Parce qu'elle était bien trop en avance sur son temps et qu'elle avait déjà tout compris du bonheur
RICK RIORDIAN
Pour sa plume agile d'humour et de suspense.
PIERRE BOTTERO
Pour son Gwendalawir mystique et ses aventures sans fin
JAMES FREY
Pour qui le mot "apocalypse" a pris tout son sens
CHARLIE HIGSON
Qui n'a jamais eu peur des zombies venant l'attaquer dans son lit
▬▬▬▬▬▬▬▬▬ஜ۩۞۩ஜ▬▬▬▬▬▬▬▬▬
Je suis quelqu'un de très éclectique dans ses lectures (suffit de voir mes insignes). J'aime lire de tout, aussi bien en terme de genre littéraire que de types de littérature (même si j'avoue avoir du mal à me lancer dans la poésie, et pourtant c'est sans doute la plus belle forme d'écriture).
Même si certains diraient que j'ai passé l'âge, j'aime beaucoup déambuler à l'étage jeunesse de la bibliothèque de mon quartier pour voir avec quoi grandisse les plus jeunes que moi, ça me permet de mieux les comprendre. Et puis, aussi, j'ai toujours une âme d'enfant (même si j'ai parfois du mal à l'avouer à mes voisins de fac) et les ouvrages jeunesses (type dystopie, heroic fantasy, trucs de surnaturel, ...) offrent souvent des univers très enchanteurs et créatifs. Personnellement, je suis une totale adepte de l'évasion que certains d'entre eux peuvent me procurer.
Pour autant, je lis également quelques livres plus matures. J'apprécie de plus en plus le théâtre, j'ai commencé à lire un peu de science-fiction et quelques polars, et, même s'il n'y a pas le côté magique et un peu insouciant des young adult (voire plus jeune), ça donne à voir un autre côté du monde.
Et puis, bien sûr, il y a les classiques, ceux que l'on nous "inflige", du moins pour ceux qui n'apprécie pas les pavés. Si je reste parfois mitigée, il n'y aucun doute que les romantiques, les réalistes, les comiques, les dramaturges ou même des plus contemporains, comme Ionesco, méritent leur prix d'ouvrage classique et qu'ils valent pour la plupart vraiment le détour.
Bon, après, j'aimerais qu'il y ait plus de femmes dans le lot. Même si on donne leur nom, ou que l'on tombe sur elle au bac de français (coucou les 2000, vous vous souvenez de Duras et du cinéma ?) on n'en étudie que trop peu, et marre qu'on parle que de Flaubert, d'Hugo, de Zola et de Rimbaud (et Dieu sait que j'aime Rimbaud). SAUF si c'est pour parler de Madame Lafayette. Tout sauf elle, cette écrivaine absolument pas douée qui écrivait son unique fantasme en changeant les noms pour faire croire à une nouvelle intrigue. Même 300 ans après, t'es cramée ma vieille.
A propos de tout