Commentaires de livres faits par morganed
Extraits de livres par morganed
Commentaires de livres appréciés par morganed
Extraits de livres appréciés par morganed
Si je grogne, recule à une distance raisonnable et jette-moi du chocolat.
- meilleur conseil. Du monde. »
Autocollant de voiture »
Il est dans le coffre de ma voiture."
P 214
Cookie le vit également.
- Sainte Marie mère de toutes les choses sexy, dit-elle en l'observant de la tête aux pieds.
P-29
Il met son index sur ses lèvres pour m'ordonner de ne pas faire de bruit.
Mais il n'est pas réel. C'est une hallucination. C'est un piège. Kian est mort ! Il est mort dans mes bras !
Il me touche. Il pose ses mains sur mes joues. Je panique, je recule, me cogne au mur derrière moi. Le choc m'étourdit. J'ai envie de vomir. Kian s'approche à nouveau de moi, sévère, son index toujours devant ses lèvres. Je le dévisage, je secoue la tête, je me recroqueville contra la pierre. Mes muscles m'abandonnent, mes larmes reviennent, elles vont déborder. Mon coeur va lâcher. Ses mains encadrent de force mon visage pour me faire lever la tête vers lui. J'essaye de ne plus le regarder. C'est trop douloureux, c'est trop réaliste. C'est une torture, une nouvelle agonie.
- Mila, murmure-t-il. Du calme, c'est moi.
Non ! Non! C'est un imposteur !
- Mila... Chut...
Même sa voix est identité. C'est un sortilège des druides.
- Calme-toi...S'il te plait... Je vais enlever ton bâillon...Ne fais pas de bruit... [/spoiler][spoiler]
- Pourquoi c'est toi qui viens me chercher ? demande-t-elle doucement.
Ses cheveux sont relevés en queue-de-cheval et des frisottis flottent autour de son visage.
- Crois-moi. J'ai d'autres chats à fouetter. Monte !
Je me tourne pour ouvrir ma portière et m'installer comme si je n'allais pas l'attendre ; elle fait précipitamment le tour de la voiture et ouvre la portière côté passager pour monter.
Elle attache sa ceinture et garde les yeux rivés sur ses genoux, muette.
Elle a l'air contrariée, mais je ne crois pas que ça ait quoi que ce soit à voir avec moi.
- Pourquoi tu pleures ? dis-je sur le ton de l'indifférence.
Son menton tremble, et elle porte une main à son cou pour toucher sa cicatrice, cette cicatrice qui date de l'accident qui a tué son père, il y a à peine deux mois.
- Les filles se sont moquées de ma cicatrice.
Elle se tourne vers moi, l'ai peiné.
- Elle est si moche que ça ?
Je la regarde, furax. Je pourrais leur faire fermer leur gueule à ces nanas.
Mais je refoule mes émotions et hausse les épaules, comme si je me fichais de ce qu'elle ressent.
- Elle est plutôt voyante, dis-je, en quittant le parking.
Elle se remet face à la route, l'air plus triste encore.
"Sa fiancée ?!?"
- Saku... Tu rentres chez toi pour les fêtes, non ?
- Ce n'est pas prévu. On organise encore une réception grandiose ! Je veux faire la dernière danse avec toi !
- C'est parce que je t'observe constamment. C'est quoi, ce sac ?
" De toute façon il a déjà deviné..."
- Tiens, ils sont pour toi, je les ai préparé exprès !
- Comme ça ?
-Gao !
- J'y retourne !!! Bon courage aussi !
- Pardon ?
- J'ai eu l'occasion, donc je suis venu te voir.
- Et toi pourquoi tu m'as appelé ? Tu as des soucis ?
- Non... c'était juste comme ça...
- COMMENT ?!
...
- MAMAN !
- Cette voix...
- Et qu'est-ce que t'en sais d'abord ? Face, je suis sûre qu'il te trouve jolie, même qu'il m'a demandé comment tu allais tout à l'heure.
Gros blanc.
- Pourquoi tu dis rien ?
- Euh... tu lui as répondu quoi ?
- Ben... qu'il te manquait ! Comme ça, il va venir te faire des bisous, ajouta-elle, très fière d'elle, en affichant un air conspirateur.
Et moi je n'avais plus qu'une envie, rentrer sous terre."
Pages 171
- ça n'a pas dû être facile de tout gérer !
- désolé d'en profiter mais... Je peux avoir ma ration du jour ?
L'homme eut alors comme un doute. Ou peut-être une intuition."
- Je n'ai pas envie d'en savoir plus, gémit-elle. Laisse-moi dormir."
Pages 224.
La jeune femme se plongea à nouveau dans sa chope presque vide en attendant son repas. Les autres clients n’osaient pas la regarder avec insistance en raison de qui elle était et c’était tant mieux.
Asnya en fut soulagée. Les elfes qu’ils allaient rencontrer ne pouvaient pas vivre ainsi, sans chaleur et sans clarté.
- "Je...Je..." Il faut vous recycler ! Et n'allez pas me faire un AVC ! Vous me manqueriez trop maintenant que l'on a tissé des liens très forts ! Bon, je passe l'éponge pour cette fois, j'imagine que vous avez fait dans votre petite culotte quand l'autre jus vous a appelé pour vous intimider. Mais je demande un dédommagement, pour vous rappeler, n'est-ce pas, qu'il faut prendre soin de moi !
p.365
- C'est pas vrai, Chaton, t'as recommencé !
Mince. Je me tortillai sur place en essayant instinctivement de dissimuler le corps de Tony. Comme si ça pouvait le ramener à la vie.
- Elle allait te poignarder, rétorquai-je pour me défendre. Regarde ce qu'elle tient dans la main !
Au lieu de ça, il regarda le corps qui gisait à mes pieds.
- Lui aussi ?
J'acquiesçai, penaude.
- Il m'a sauté dessus.
Bones se contenta de me regarder.
- Tu n'es pas une femme, dit-il finalement. Tu es la faucheuse en personne affublée d'une perruque rousse !
Hein ?
Ma grand-mère vint à son tour jeter un coup d'oeil, et resta bouche ouverte en voyant Bones dans l'embrasure de la porte.
- Qui êtes-vous ? demanda-t-elle en écho à mon grand-père.
- Je suis une gentille jeune fille et je viens chercher votre petite-fille pour le week-end, répéta-t-il en la regardant droit dans les yeux tandis qu'un éclair vert passait dans les siens.
Le regard de ma grand-mère prit rapidement le même aspect vitreux que celui de son mari, puis elle hocha la tête.
- Dans ce ças, c'est parfait. Vous êtes une gentille jeune fille. J'espère que vous aurez une bonne influence sur elle et. que vous la remettrez dans le droit chemin. Elle a des marques de luxure sur le cou et elle n'est rentrée que dans le courant de l'après-midi.
Doux Jésus, j'aurais voulu disparaitre dans un trou de souris. Bones étouffa un rire et inclina solennellement la tête.
- N'ayez pas d'inquiétude, mamie. On va passer le week-end avec un groupe d'étude de la Bible pour exorciser le démon qui est en elle.
- Excellente idée, dit mon grand-père d'un ton approbateur, ses yeux toujours aussi vides. C'est ce qu'il lui faut. Elle a toujours eu besoin d'être dressée.
p.246
La, écrit en français, se trouvaient les mots : « Je t’aime depuis mille et un ans. - R »