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II s'agit de l'une de ces histoires simples comme Maupassant ou Tchekhov en ont écrit. Willy Loman, la soixantaine, marié à une femme au foyer et père de deux enfants adultes, se remémore les étapes de son existence de commis voyageur. Il s'est toujours donné avec passion à son métier et, au seuil de la vieillesse, il s'aperçoit qu'il n'est plus dans le coup. Il va préférer disparaître plutôt que de perdre la dignité qu'il a su préserver jusque-là, tant sur le plan professionnel qu'humain. L'auteur n'a jamais caché qu'il s'est inspiré des représentants qui travaillaient dans la fabrique de manteaux de son père. Le drame qu'il décrit, il en a été le témoin. C'est, au-delà de son talent, cet accent de vérité qui donne à la pièce sa dimension universelle. Mort d'un commis voyageur n'est pas seulement l'oeuvre grâce à laquelle Arthur Miller est devenu célèbre du jour au lendemain, c'est aussi l'une des pièces les plus jouées dans le monde depuis sa création en 1949.
Quatrième de couverture
Qui sait de quoi un homme est fait Biff, surtout un commis voyageur ?... Essaie d'en peser un pour voir ! Plus léger que l'air, il te filera entre les doigts, il plane bien haut dans les nuages, chevauchant sa valise d'échantillons, avec son sourire comme armure et ses chaussures trop bien cirées comme stratégie. Qu'une tache vienne salir son chapeau, et le voilà qui dégringole, mais qu'un vieux client perdu lui rende son sourire et le voilà reparti vers les sommets. Non, il ne dicte pas de lois, il ne construit ni maisons ni ponts ni usines, il ne donne ni médecine ni remèdes, il parle, il parle, il parle, d'une ville à l'autre, il court apporter un bon mot et la promesse d'une saison heureuse et fructueuse. Ne cherche pas à savoir de quoi il est fait Biff, il est tissé dans cette soie impalpable dont sont tissés nos rêves, comme eux, il nous est totalement inutile et totalement indispensable !
« Happy :Sometimes I sit im my appartment – all alone. And I think of the rent I’m paying. And it’s crazy. But then, it’s what I always wanted. My own appartment, a car, and plenty of women. And still, goddammit, I’m lonely. »
C'est le premier livre que je lis en anglais, qui plus est une pièce de théâtre, et j'ai bien aimé.
C'est une histoire touchante, triste et qui à voir en pièce serait super ! Le thème du rêve américain et de la relation père fils bien compliqué est très bien construit. La fin est touchante, mais même tout le long du livre je compte plus le nombre de post it bleu que j'ai mis 😭
Willy m'a fait de la peine comme il m'a énervé par rapport à Linda Spoiler(cliquez pour révéler)(yey tu es libre à la fin 😭 Profitie mtn 😭) et ses fils Spoiler(cliquez pour révéler)SLAY À BIFF QUI À DIT LES TERMES purée
Le personnage de Charley est trop sous côté aussi, il ramenait du peps et disais bien les termes et tt je l'ai trop aimé 😭
C'est une bonne pièce à analyser, avec des interprétations qui peuvent être très enrichissante et avec un texte et des mots simples à traduire !
Nan franchement rien à redire, je le met en argent juste prcq c un livre pour le bac, et que bon ct pas ma lecture de l'année non plus x)
Une pièce noire, sur l'ambition, sur l'obsession de rêver grand même si l'on reste médiocre, sur la déception de ne pas réussir, de ne pas laisser d'autre trace que celle d'une petite vie sans saveur, sans grandeur, sans rien, sans même la satisfaction de voir ses enfants s'élever plus haut que soi, de mourir en anonyme. Une réflexion sur les choses importantes de la vie, l'amour, la famille, le ciel, les étoiles, et la nécessité de ne pas se comparer aux autres et de se demander ce qu'on a fait de travers... Une critique acerbe de la société américaine de l'époque, qu'on peut aujourd'hui appeler société capitaliste puisqu'elle est globalisée.
Une pièce de théâtre qui révolutionne plus ou moins la tragédie en y introduisant des personnages courants et une langue de tous les jours. Mais ce qui frappe en premier, avant l'aspect domestique, c'est la féroce critique sociale de « l'american way of life », malgré ce qui peut le racheter (la modestie et le succès de Bernard par exemple), avec le langage stéréotypé de ceux qui réussissent ou veulent réussir (la conversation de Ben et Willy est fort limitée), le manque de communication (Howard, le patron de Willy a acheté un dictaphone), le mépris des autres à la recherche démagogique de la popularité.
À noter enfin que les décors étaient eux aussi relativement innovateurs.
Une lecture forte sans aucun doute. C'est une pièce qui m'a beaucoup touchée, notamment sur la dépréciation personnelle que se portent chacun des personnages. C'est une lecture qui vaut le coup, qui prend aux trippes et je la recommande vivement !
Lecture imposée par l'enseignement LLCE en Terminal. Finalement ce n'est plus le livre à lire pour le travail, moi, qui avait presque fini mais je l'ai fini tout de même.
Qu'est-ce que j'en pense de cette pièce de théâtre très sombre, glauque avec des personnages très complexes dans une vue américaine. Je ne comprends pas grand chose malheureusement pourtant je pense qu'il s'avère être très prometteur. Une pièce à relire et à analyser que par divertissement.
NOTE : j'en parle à la fin mais en fait, le traducteur est mauvais.
Pièce majeure du théâtre américain, grand auteur, tout le monde ne m’en a dit que du bien.
Bon.
C’est en effet pas mauvais.
Ce pauvre bougre qui chute inexorablement, sans qu’on sache (hélas) si c’est la maladie qui l’empêche de bien travailler ou la société changeante qui l’amène à perdre la raison…
C’est dommage qu’on ne le sache pas car ça aurait donné plus de poids à la pièce (à mon goût).
Là, on le voit bien sombrer mais contre quoi ? Du coup, le message de la pièce perd un peu de sa pertinence, on ne sait pas trop ce qui est critiqué…
L’alternance des scènes, réelles, imaginaires, est plutôt intéressantes même si, à force, j’y ai trouvé un côté répétitif.
On a donc une pièce de qualité, avec une belle écriture, un homme qui sombre et c’est très bien fait, dans un style original. Mais sans que j’ai pu m’accrocher à cet homme car je ne voyais pas contre quoi il se battait réellement…
(ok, il se trouve que j’ai le texte en version originelle à la maison et que la traduction est une ***** innommable (je vous aide, parmi les étoiles, il y a deux voyelles identiques et trois consonnes en 1ère, 3ème et 4ème place…). Il ajoute du texte, il ne comprend pas le sens de certaines phrases, il raccourcit des monologues de 15 lignes à des répliques de 3 lignes… Bref, il y est certainement pour quelque chose dans ma non-appréciation du texte (parce que pour traduire « Combien tu l’aimes ce vieux fou ! » par « Ecoute-moi cette grande folle. Voyons… Voyons. », faut être sacrément mauvais !)
Résumé
Présentation de l'éditeur
II s'agit de l'une de ces histoires simples comme Maupassant ou Tchekhov en ont écrit. Willy Loman, la soixantaine, marié à une femme au foyer et père de deux enfants adultes, se remémore les étapes de son existence de commis voyageur. Il s'est toujours donné avec passion à son métier et, au seuil de la vieillesse, il s'aperçoit qu'il n'est plus dans le coup. Il va préférer disparaître plutôt que de perdre la dignité qu'il a su préserver jusque-là, tant sur le plan professionnel qu'humain. L'auteur n'a jamais caché qu'il s'est inspiré des représentants qui travaillaient dans la fabrique de manteaux de son père. Le drame qu'il décrit, il en a été le témoin. C'est, au-delà de son talent, cet accent de vérité qui donne à la pièce sa dimension universelle. Mort d'un commis voyageur n'est pas seulement l'oeuvre grâce à laquelle Arthur Miller est devenu célèbre du jour au lendemain, c'est aussi l'une des pièces les plus jouées dans le monde depuis sa création en 1949.
Quatrième de couverture
Qui sait de quoi un homme est fait Biff, surtout un commis voyageur ?... Essaie d'en peser un pour voir ! Plus léger que l'air, il te filera entre les doigts, il plane bien haut dans les nuages, chevauchant sa valise d'échantillons, avec son sourire comme armure et ses chaussures trop bien cirées comme stratégie. Qu'une tache vienne salir son chapeau, et le voilà qui dégringole, mais qu'un vieux client perdu lui rende son sourire et le voilà reparti vers les sommets. Non, il ne dicte pas de lois, il ne construit ni maisons ni ponts ni usines, il ne donne ni médecine ni remèdes, il parle, il parle, il parle, d'une ville à l'autre, il court apporter un bon mot et la promesse d'une saison heureuse et fructueuse. Ne cherche pas à savoir de quoi il est fait Biff, il est tissé dans cette soie impalpable dont sont tissés nos rêves, comme eux, il nous est totalement inutile et totalement indispensable !
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