Extrait
Une remarque? Un conseil? Une question? info@booknode.com
Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Spoiler(cliquez pour révéler)Le bateau Acosta. Une corde retenait le flot des passagers. On les avait priés d'attendre avant de débarquer.
Richetti, le visage sombre, descendit à terre encadré par deux mécaniciens. Puis, un peu plus tard, on apporta une civière. Et on transporta Simon jusqu'à la passerelle. C'était un autre homme, craintif, effrayé, chez qui toute trace d'insouciance s'était envolée.
Jacqueline de Bellefort suivait, accompagnée d'une stewards. N'était sa valeur, elle n'avait guère changé. Elle s'approcha de la civière.
- Bonjour, Simon ! dit-elle.
Il lui jeta un rapide coup d'oeil et retrouva un instant son expression de petit garçon.
- J'ai tout gâché, dit-il. J'ai craqué et j'ai tout avoué ! Désolé, Jackie. Je t'ai lâchée.
Elle lui sourit.
- Ne t'en fais pas, Simon. Nous avons joué, nous avons perdu, voilà tout.
Les brancardiers soulevèrent la civière. Jacqueline se baissa pour relacer sa chaussure. Puis elle porta la main à sa jarretelle et se redressa avec quelque chose à la main. On entendit une brève détonation. Un spasme secoua Simon, puis il ne bougea plus.
Jacqueline de Bellefort hocha la tête. Elle resta un instant, revolver à la main, et adressa à Poirot un sourire fugitif. Puis, comme Race bondissait vers elle, elle tourna le petit jouet brillant contre son coeur et pressa sur la détente. Elle s'écroula, recroquevillée.
Afficher en entier