... Comme j'aurais aimé être plus assidue en anglais... Pour ne pas avoir à attendre la traduction française...

Ce livre aura été mon petit bonheur de l'été, trouvaille nichée sur une étagère de la bibliothèque du camping. Un livre qu'on lit comme on écouterait un conteur... C'est assez rare que les auteurs aient cette qualité.

Jamais un roman ne m'avait fait cet effet là. Évidemment, le ton est extrêmement dérangeant même si l'on comprends que la démarche de l'auteure est juste. Mais là ou je lui tire mon chapeau, c'est qu'elle a réussi à me tenir en haleine jusqu'au bout, et à ne me faire pleurer qu'à la dernière page.... comme son personnage d'ailleurs... Elle a vraiment réussi à me faire rentrer dans la tête de Max...! Mais mon Dieu! "lebensborn"! quelle horreur! cela faisait partie des "détails" de l'histoire nazie que je ne connaissais pas... Merci à Sarah Cohen-Scali d'avoir su écrire un livre pour sensibiliser les lecteurs sur un sujet aussi délicat.

Waouh! bluffée, encore une fois! peut etre même plus que dans le premier roman. Celui ci en tous cas est parfois tellement absurde (dans le bon sens du terme s'il y'en a un!) que j'avais l'impression de lire un film de Tarantino. Terrible!

Je ne serais pas très originale en disant que j'ai lu, étudié, puis vu la pièce au collège, mais c'est bien entendu une histoire bouleversante, un de ses classiques incontournables en ce qu'il touche à quelque chose de très profond: la révolte face à l'injustice...

J'ai eu plus de mal a entrer dans ce deuxième tome. Il a fallu que l'enthousiasme que j'avais eu pour le premier me porte au moins au delà de la première moitié du livre. Mais je n'ai pas regretté de m'être acharnée, puisque j’attends maintenant avec impatience la parution en poche du 3ème! Et comme je suis heureuse d'être une femme de notre siècle!

Je croyais qu'après "Soufi , Mon Amour" je ne pourrais plus autant accrocher avec un livre d'Eli Shafak, mais je m'étais trompée! pourtant Dieu sait que ni le titre ni le thème ne m'avait attirée au départ. Je suis entrée dans ce livre par dépit, pour nourrir une boulimie de lecture inassouvie... Et j'ai été touchée. Eli Sahafak, merci.

Un roman aussi beau qu'une cathédrale! et de loin le meilleur de tous les Ken Follet que j'ai lu jusqu'ici. C'était mon pavé de l'été, et je m'en suis délectée! j'en voudrais un autre comme ça pour le mois d'août!

Waouh! je ne suis pas ressortie tout à fait indemne de cette lecture! c'est assez déroutant de se retrouver dans le cerveau d'un nazi! pourtant Irvin Yalom manie le paradoxe avec brio puisqu'il a réussi à me faire passer un très bon moment avec ce roman. Je suis de ceux qui préfère aborder l'histoire de façon romancée plutôt qu'à travers un documentaire, même si du coup l'exactitude n'est pas la priorité de l'auteur, et de ce point de vue là, je n'ai pas été déçue du tout.

Je n'ai au départ pas été très attirée par le style d'écriture de l'auteur, mais je me suis laissée happée par le contenu. Très beau roman, très enrichissant.

Je n'ai jamais été une fan de Stephen King, n'ayant jamais été attirée par son style de littérature et ayant essayé 1 livre par le passé sans accrocher... Mais là, j'ai été séduite! j'ai avalé les deux tomes! et non pas grâce à la série TV, mais grâce à Justin Cronin, un auteur dont j'avais adoré "Le passage" et que les critiques comparent à Stephen King... Résultat, je m'y suis mise, et je ne regrette pas!

J'avoue que j'ai été perplexe jusqu'à peut-être la moitié du livre où je me suis quelque peu ennuyée, et puis petit à petit la mayonnaise a pris... enfin! pour cette raison je ne l'ai pas trouvé meilleur que le premier, et je dirait plus même un peu trop court... Je réserve mon jugement pour le troisième tome!

Bon il est vrai que ce tome si nous laisse un petit goût d'inachevé... Pour ma part, j'ai trouvé Cersei bien trop présente! et j'ai hâte de découvrir les aventures des personnages que cet opus a délaissé... Juin 2014 pour le prochain...! Que c'est long!

"Le Manoir" d’Évelyne Brisou-Pellen paru chez Bayard jeunesse remporte, ce 5 juin, le prix Gulli du Roman 2013.

Voici le résumé publié sur la page Facebook de l'éditeur :

Dans ce septième volet de la série qui lui est consacrée, Erica est sur tous les fronts. Non contente de s’occuper de ses bébés jumeaux, elle enquête sur l’île de Gräskar dans l’archipel de Fjällbacka, et s’efforce de soutenir sa sœur Anna, victime, à la fin de La Sirène, d’un terrible accident de voiture aux conséquences dramatiques.

Oui j'étais heureuse de pouvoir lire à nouveau Lian Hearn, mais "La Maison de l'arbre joueur" ne me laissera pas un souvenir impérissable comme ce fut le cas pour la saga des Otoris. L'écriture est pourtant égale à elle-même, et Tsuru très attachante, mais je n'ai pas été happée comme je l'avais été par l'histoire de takeo...

Je suis peut-être un peu trop vieille pour vraiment apprécier ce roman, même si l'idée est sympa, le style manque un peu de détails à mon goût, ceci dit, je vais tout de même attendre de lire la suite avant de me prononcer...

Encore une bonne surprise de Scott Westerfeld, qui une fois de plus, me séduit par son originalité. Un très bon roman pour ados dans lequel je me suis laissé embarquée. J'attend maintenant de lire la suite!

Je ne suis très "vampires" ni très Stephen King (puisque j'ai vu dans certains commentaires qu'on comparait Le Passage à des livres de cet auteur) et pourtant je me suis complètement laissé happer par ce roman. Je suis d'ailleurs bien heureuse de l'avoir découvert si tard, car je n'aurais pas à attendre trop longtemps la suite!
De la science fiction comme je l'aime, c'est à dire crédible et bien écrite à la fois, un vrai bonheur!

Je suis allée en quête de conseils auprès de ma bibliothécaire, car mon fils de 7 ans se pose beaucoup de questions sur la mort, et elle m'a, entre autres, conseillé ce livre, en me précisant de bien le lire d'abord. Ce que j'ai fait, et en effet, bien fait, car au final même si c'est un livre très touchant, il n'a pas fait partie de ma sélection. Trop triste!
enfin disons qu'il aurait plutôt correspondu à la "demande" d'un enfant qui vit réellement le deuil, ou qui aurait vraiment connu la mort d'un proche. Mais un très beau livre tout de même.

J'ai pris du plaisir à le lire à mes deux fils de 4 et 7 ans. Le plus petit, comme le grand, a aimé cet histoire de bébé super héros qui vole au secours de son grand frère. Cependant, je le conseille plus pour un enfant à partir de six ans, car le contenu en est assez long et mon benjamin n'a pas pu se concentrer jusqu'au bout de l'histoire, bien que je l'ai lu en deux soirées. J'y reviendrai quand il sera un peu plus grand!

Pourquoi les éditeurs français mettent autant de temps à sortir les différents tomes alors qu'au vu des couvertures, ils existent déjà en anglais et en allemand?

J'ai apprécié ce deuxième tome un peu plus encore que le premier, mais encore un fois il me laisse une impression de trop court. Le volume du roman est trompeur; il aurait mieux valu une édition de poche!

Le langage un peu frustre du début m'a tout d'abord étonnée, mais je suis tout de même allée au-delà, et je ne le regrette pas! ce livre est une perle et j'ai particulièrement apprécié le mot de la fin!

Je n'avais jusqu'ici jamais vraiment accroché aux romans de Marc Lévy, mais sur le conseil d'une amie, je me suis plongée dans celui ci et je ne le regrette pas. J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre.

J'ai lu moi aussi cette saga il y'a de nombreuses années, et je l'ai relu il y a peu avec presque autant de plaisir. Si ce n'est que j'ai peut-être l'esprit un peu moins romanesque que lorsque j'avais 15 ans, je n'ai pas été déçue à cette deuxième lecture et me suis laissée emportée....