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Résumé
« Styx n’en dormait plus. Il parvenait à peine à manger, à boire, et ne s’accordait du repos que lorsque ses nerfs le lâchaient, qu’il envoyait valser à travers la chambre une de ces peintures, qu’il la détruisait avant de s’horrifier de son acte sacrilège, avoir brisé l’une des toiles de sa muse, celle qui l’obnubilait et hantait ses pensées, nuit et jour. Celle qui le nourrissait mieux que toute forme de mets terrestres. Celle qui lui donnait vie à chaque instant, qui lui insufflait le désir de se surpasser, de peindre, encore et encore, jusqu’à l’anéantissement. Jusqu'à toucher du doigt la perfection. Il avait découvert une part de Divin dans les courbes de Maël, dans sa beauté, dans sa candeur perverse, et il ne pouvait pas, ne voulait pas s’arrêter.
Peindre.
Peindre.
Peindre.
Sa muse l’appelait. Sa muse exigeait. Sa muse l’obligeait à se dépasser lui-même. Sa muse était sa Source. Celle dans laquelle il puisait son art. Celle qui le pousserait vers les sommets les plus fous. Avant de signer sa déchéance. »
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