Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 566
Membres
1 012 847

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par Mushu

Extraits de livres par Mushu

Commentaires de livres appréciés par Mushu

Extraits de livres appréciés par Mushu

"Si seulement elle n'avait pas l'impression de perdre tout à fait le sens de ses efforts. La culture exige de nombreux sacrifices: un salaire peu élevé, des heures supplémentaires le week-end et le soir... C'est le revers de la médaille lorsqu'on choisit un métier-passion plutôt qu'un strict gagne-pain. Mais Hélène a le sentiment de donner à l'infini. Qui la remercie ? Et si elle a réussi à se tailler une place managériale, le saut suivant, celui pour lequel il faut faire preuve de tactique, d'entregent, elle n'y arrive pas. Elle a la sensation de faire partie du mobilier : un canapé, ou une commode, qu'on ne remarque plus." Pages 40-41
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
"Plus une personne est engagée, moins elle fait la différence entre son travail et sa personne."
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Page 78 : "Alors que nous n'avons jamais eu autant de possibilités d'accès à la connaissance, nous perdons en capacité de prise de recul, en esprit critique et en capacité de questionnement. Ce qui change dans le monde qui se transforme, ce n'est pas finalement les volumes d'information à notre disposition avec tous ces big data, ces WikiLeaks, ces capacités de transactions planétaires à la nanoseconde... C'est notre aptitude à décrypter entre le bruit ambiant, souvent sans intérêt, et les signaux faibles, précurseurs et annonciateurs de changements majeurs."
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
"Tout au long de ce livre, nous allons suivre la thérapie de cinq patients différents. Ils ont chacun leur parcours. Vous verrez ainsi comment ils ont avancé dans leur thérapie, et comment chacun a adapté les techniques à son propre fonctionnement. Ce livre se veut concis afin d'aller à l'essentiel et ne pas être démotivant à la simple vue du nombre de pages ou du jargon utilisé."
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
"Rappelez-vous : commencez chaque journée en ayant accompli une tâche. Trouvez quelqu'un pour vous aider. Respectez tout le monde. Sachez que la vie n'est pas juste et que vous échouerez souvent. Mais si vous prenez des risques, si vous avancez malgré les difficultés, si vous tenez tête aux brutes, si vous soutenez les opprimés et que vous n'abandonnez jamais... Si vous faites tout cela, alors vous pourrez changer votre vie... et peut-être même le monde!"
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 15-06-2021
" "Je ne pourrais pas tenir longtemps dans cet endroit", pensais-je. je continuai à me cabrer contre l'évidence. Comment un garçon comme moi, si doux, si inoffensif, si quelconque, avait-il pu être ainsi jeté parmi les damnés?"
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 27-10-2020
" Un entrepreneur est quelqu'un qui a confiance dans sa capacité à créer quelque chose là où il n'y a rien. Pour lui, l'idée que personne d'autre n'a jamais fait ceci ou cela est une bonne chose. Lorsqu'on nous attribue une tâche injuste, certains y voient une chance de se mettre à l'épreuve et de tout donner sachant combien il leur sera difficile d'en sortir vainqueurs. Ils y voient une opportunité, car c'est souvent dans cet état d'esprit "je n'ai rien à perdre" qu'on est le plus créatif. Nos meilleurs idées naissent là où les obstacles illuminent de nouvelles options." Page 73
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
"Celui-ci [Tournoi des Sept Gobelins] n'avait lieu qu'une fois par an, ce qui expliquait l'effervescence qui agitait les rues de l'Archipel de la Balance. Les gens affichaient les couleurs de leur favori, se rassemblaient pour boire, chanter et débattre sur les chances de l'un ou l'autre de l'emporter. Garvin comparait cette agitation aux effets de la Coupe du Monde de football provoquait dans le Monde des Réceptacles. On avait l'impression que le pays entier s'était mis sur pause et que cela ne s'arrêterait qu'une fois le tournoi terminé et la victoire d'Onslaug entérinée."

Page 130
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
" -Nous aurions pu combattre au lieu de nous enfuir, haleta David.
-Ce n'était pas la meilleure solution. Dans ces couloirs, nous sommes désavantagés. Il faut le prendre en tenaille dans un espace ouvert.
-Un espace ouvert tel que celui-ci, observa David en détaillant la pièce du regard.

La lueur dorée provenait du plafond étoilé. On y avait peint une représentation animée et hyperréaliste d'une nuit d'été. Quelques étoiles filantes traversèrent la peinture de gauche à droite."

Page 67
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Page 205 :

"-Il m'a l'air bien, grommela Alex. C'est quoi, le soucis ?
-Il n'est pas heureux.

Alex ricana.

-Bienvenu au club ! Mon non plus, je ne suis pas heureux. Et si je ne ramène pas Drew, je vais avoir de sérieux problèmes. Maître Joseph n'arrête pas de lorgner l'Alkahest."
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
"Ils s'aimaient avec plus de douceur, mais même alors, leur passion pour le théâtre continua de les brûler. Déjà, pour Anton Tchekhov, elle était la femme qui portait à la lumière, avec un talent éclatant, les héroïnes d'encre et de papier qu'il confectionnait dans la solitude. Mais elle était aussi celle qui vivait cette passion pour lui, non par procuration mais dans une sorte de gémellité lumineuse. Il passèrent encore un été merveilleux dans la maison de campagne que leur prêta la mère de Stanislavski, non loin de Moscou. Un mois et demi de bonheur ! Tchekhov ne crut pas toute cette joie possible.3
[page 277-278]
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
"Cette double envie de Russie et de sa maîtresse le taraudait. Dès juillet 1833, dans sa correspondance, Balzac commença à évoquer l'éventualité d'un voyage au pays des tsars."

[page 116]
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
La conversation était terminée, et Annika, le coeur battant, resta assise dans son bureau poussiéreux. Elle était peut-être la seule journaliste au courant, et elle ne pouvait rien faire de l'info.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
"Max Candille était presque trop beau pour être vrai, se disait Roy Grace à chaque fois qu'il le voyait. Vingt-cinq ans, des cheveux blonds peroxydés, des yeux yeux bleus et des traits parfaits : c'était l'Apollon des temps modernes. Il aurait surement pu être mannequin ou star de cinéma. Au lieu de cela, il avait choisi de vivre dans une modeste maison mitoyenne dans la banlieue de Purley et de se consacrer à ce qu'il appelait un don."

Page 373
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
" Dix-neuf années dans la police lui avaient appris à ne jamais sous-estimer la dinguerie du genre humain. Mais il ne se passait pas un jour sans qu'il ait l'impression que cette dinguerie s'aggravait."

page 254
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 25-09-2014
A L'ATTENTION DE M. CHRISTOPHER HAWK

VOUS AVEZ SOUFFERT CE SOIR

VOUS VIVEZ DANS UN MONDE O% LE MAL EST AU-DELÀ DE TOUTE RÉDEMPTION

VOUS VIVEZ DANS UN MONDE QUI SERA BIENTÔT D2TRUIT

CECI EST UN AVERTISSEMENT

VOUS NE POURREZ VOUS ÉCHAPPER

SI VOUS RESTER, VOUS MOURREZ

MON NOM EST

AQUARIUS
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Pendant leur enfance, la lecture de récits de voyage ou le décryptage des cartes et mappemondes nourrirent leurs rêves d'évasion, Adolescents, les plus téméraires se risquèrent à écrire leurs premiers textes pour d'éphémères revues scolaires ou quelque gazette locale, Les plus impatients - sans même avoir un diplôme en poche - partirent avec un sac léger, la tête pleine d'images exotiques, sur les traces des livres qui les avaient tenus éveillés au cours de nuits agitées, s'appropriant l'adage de Gérard de Nerval : «Je voyage pour vérifier mes rêves,» Les moins pressés attendirent d'avoir parcouru le monde et de s'en être rassasiés pour livrer au lecteur son usage et donner à partager leur émerveillement.

Quelques-uns étaient issus de bonnes familles et voulurent, tel Bruce Chatwin, partir en «Je voyage pour rompre avec un monde trop policé, ou, comme Rudyard Kipling, s'immerger dans un continent indien qui avait baigné sa jeunesse. D'autres, malmenés par la vie - Jack London, Joseph Conrad ou Nikos Kawadias -, connurent avant même d'avoir atteint l'âge d'homme la faim, la disparition d'un père ou la maladie d'une mère. Ceux-là prirent la route pour trouver un travail aléatoire, une nourriture sommaire ou une famille d'adoption, celle de la bohème et des chemins de traverse. De leur périple naquit l'envie de raconter. Il arriva aussi que, partis pour exercer un tout autre métier, ils éprouvèrent le besoin soudain de retracer leur voyage et de livrer leurs émotions : Georges Simenon et Joseph Kessel parcoururent l'Afrique comme journalistes, Pierre Loti et Victor Segalen la Polynésie comme officiers de marine, Romain Gary connut les États-Unis comme diplomate, et Bernard Giraudeau les ports d'Amérique latine comme simple matelot.
Souvent ce furent de grandes passions qui les conduisirent au bout du monde : celle de la mer pour Slocum, Kawadias ou Moitessier, celle des déserts pour Thesiger, celle des steppes pour Kessel ou Bouvier, celle du bouddhisme et de l'Himalaya pour Alexandra David-Néel, ou plus simplement celle de la route pour Kerouac. Tous étaient animés par une pulsion incontrôlable : un désir d'ailleurs irrépressible, l'appel d'un «dehors qui guérit de tout», pour paraphraser Nicolas Bouvier.

Jour après jour, les uns et les autres notaient avec application dans des carnets entoilés ou des cahiers d'écoliers écornés les épreuves qu'ils enduraient, les rencontres qui les bouleversaient, imprégnant leur mémoire de la magie des paysages, de la grâce des visages et de senteurs inconnues. L'invention de la photographie immortalisa leurs expéditions. Le voyage les transformait, ils décrivaient leur métamorphose, cet autre qui naissait en eux.
Quand la réalité restait en deçà de leurs espérances, leur imagination prenait le relais, substituant à une authenticité décevante des aventures hautes en couleur dont ils se persuadaient avec le temps qu'ils les avaient vécues. Peu importe qu'un Pierre Lazareff reproche à Cendrars de n'avoir jamais pris le Transsibérien. Seule compte sa réponse cinglante : «Qu'est-ce que cela peut vous foutre, si je vous l'ai fait prendre ?»
Pas question de blâmer ces raconteurs d'histoires exotiques pour leurs affabulations ou' leurs entorses à la vérité, puisque au fil de leur plume ils nous transmettent la fièvre qui les gagne. Aucun ne se prétend écrivain-voyageur - un label d'origine anglo-saxonne qui les aurait fait sourire. Les uns voyagent puis écrivent les autres prennent la route pour nourrir leur page blanche. Mais tous ont le même but : nous emmener au bout du monde en empruntant leurs traces ou, plus simplement, comme le conseille Pierre Mac Orlan, en lisant bien assis dans un bon fauteuil leurs récits et romans pittoresques.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Page 95-96

-Imke Thailheim ?

-Il s'est remis du coup ?

Imke se figea. Elle sut aussitôt que la voix lui appartenait, même s'il la déguisait. Sa première impulsion fut de couper la communication, mais son cerveau ne réussit pas à transmettre le message à ses doigts. Elle continua donc à presser le combiné contre son oreille, impuissante.

-Méchante, méchante fille.

Un rire étouffé, essoufflé.

-Je suis à tes pieds.

Imke ne pouvait pas bouger. Une sueur froide couvrit son menton. Elle serra les dents, jusqu'à ce que des mâchoires lui fassent mal.

-Tu restes muette ?

Un nouveau rire, presque tendre, cette fois.

-Ma déesse.

Imke se sentit mal. Elle se pencha en avant et pressa son estomac de sa main libre. De l'autre, elle tenait toujours le téléphone contre son oreille, alors qu'elle ne voulait plus rien entendre, pas un seul mot.

-Je suis en adoration devant toi.

Un chuintement étrange retentit à l'arrière-plan, et Imke trouva enfin la force d'appuyer sur la touche rouge. Elle laissa le combiné tomber sur la table et se précipita sur la terrasse. Dehors, elle respira profondément avec le ventre, inspiration, expiration, inspiration, expiration, jusqu'à ce que sa nausée disparaisse.

Une déesse. Cet homme était complètement fou.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
page 114

Il passa son bras autour d'elle et sentit qu'elle se mettait à trembler de tout son corps.

-Il m'a donné son nom. Il s'appelle "l'adorateur de l'ombre".

A cet instant, Tilo ne put pas seulement entendre et sentir sa terreur, il put également la goûter.

Il ne savait pas ce qui rendait ces mots si terribles, il savait juste qu'Imke était en danger. Et il n'était pas en mesure de la protéger.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Page 216

- C'est Damon, une fois de plus, n'est-ce pas ? Même quand il est à des milliers de kilomètres, il parvient à se mettre entre nous.

Elena le regarda, puis s'écarta.

- Ça n'a rien à voir avec Damon. C'est à propos de nous. Je ne suis pas une petite chose fragile qui doit être protégée. Je suis une protectrice. Nous devons travailler en commun et nous devons garder du recul pour analyser la situation dans son ensemble. Je ne suis pas la seule personne au monde, Stefan.

- Pour moi, si.

Il voulut lui reprendre la main. Elena secoua la tête, les yeux pleins de larmes. Comment en étaient)ils arrivés là ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Page 141

Au coucher du soleil, Theodora gravit les marches d'une petite église du nord de la cité. Elle avait fait le trajet seule, comme le voulait la coutume, posant légèrement sur les pavés de ses sandales de cuir neuves.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Page 429

"Je ne dois pas entraver cela !" songea Aurox. Tout au fond de lui, son esprit lui soufflait d'attendre, d'observer, de ...

Soudain, la douleur explosa en lui. Les vrilles d'Obscurité, épaisses et poisseuses, s'abattirent sur son corps comme une toile d'araignée. Il en eut le souffle coupé. Sa peau se mit à les absorber, libérant la créature qui était tapie en lui, la réveillant. Incapable de s'y opposer, Aurox sentit que le taureau prenait le contrôle de son corps. Tout ce qu'il savait, c'était ce que Neferet lui avait ordonné : attaquer.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
page 108 :

Intriguée par le comportement de son ami. Alexanne obtempéra, laissant Matthieu s'asseoir à sa droite. Tatiana posa les plats chauds devant les jeunes gens, puis quitta la pièce. Le jeune homme se perdit une fois de plus dans ses pensées lorsqu'il posa les doigts sur la coutellerie en argent. La guérisseuse termina le service par une bouteille de vin rouge, à côté de laquelle elle déposa un vieux tire-bouchon en argent. Elle ignorait si son frère avait habitué sa fille à en boire, mais le but véritable de son geste était de ramener de vieux souvenirs à la mémoire du jeune homme. Tout comme elle s'y attendait, Matthieu fixa l'objet ancien en silence. Leur rappelant qu'elle était dans la cuisine, s'ils avaient besoin d'elle, Tatiana les laissa en tête à tête.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
-Du rose, lui murmura-t-elle à l'oreille. Pour ton noeud papillon.

Adam recula.

-Sérieux ? Tu n'aurais pas pu me choisir une couleur un peu plus virile ?

-Eh non. Ce sera du rose.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Avec ou sans le livre, elle avait le pouvoir en elle, elle le savait. Il ne lui restait plus qu'à le laisser prendre les commandes.

Elle concentra son esprit, prit une grande inspiration. Elle se persuada que pour cette fois seulement, c'était une bonne chose de s'abandonner à la noirceur, de la laisser l'envahir et courir dans ses veines.

(page 208)
Avez vous apprécié cet extrait ? +1


  • aller en page :
  • 1
  • 2

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode