Commentaires de livres faits par muze
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Je n'ai aucun respect pour les gens qui gâchent la confiance que d'autres placent en eux. Aucune tolérance.
On parle de l'homme qui était probablement le premier dans ma vie à me voir vraiment, me comprendre vraiment, à avoir plein de choses en commun avec moi... Et, malgré tout ça, cet homme ne m'aimait pas.
Quand tu découvres que l'une des rares personnes qui te connaît, telle que tu es, ne t'aime pas...
Je bouillais.
de me refuser si longtemps des enfants,
jusqu'à ce que je me demande si quiconque dans ce monde,
un jour,
m'aimerait.
(...)
Mais l'enfant pèche par où ses parents ont péché.
Regarde-toi, qui choisis ça, alors qu'on t'offre un sacrement.
Je n'arrive pas à décider si tu es plus comme ton père
ou plus comme moi.
Resserrée
en un poing.
Flétrie,
comme un raisin sec,
un arbuste bossu,
comme des doigts qui veulent
attraper une autre main
là où il n'y en a plus,
et referment
sur eux-mêmes
leur morsure.
- Parfait, mademoiselle Wong, je vous verrai donc demain.
Allons, d'autres paroles, pensait-il, des paroles un peu plus...
Il réussit à s'arracher à cette fascination et à s'éloigner. Encore une petite phrase, juste une, songeait-il, quelque chose comme "merci, merci d'être ce que vous êtes ;je vous aime".
Alex frowned. "I thought she was the Queen of the Night."
"That too. It suits you."
Darlington had meant it to be a compliment, but Alex scowled. "It's just a dress."
"What have I been trying to tell you?" Darlington said. "Nothing is ever just anything." And maybe he wanted her to be the kind of girl who dressed as Queen Mab, who loved words and had stars in her blood.
Tel qu'il était apparu dans mon esprit lorsqu'Aphelion me racontait son histoire. Beau à en mourir, même dans la fièvre et la famine ; c'était bien lui, l'ange de pluie, l'homme des soleils noirs.
- Et vous ne préféreriez pas être un sentiment d'euphorie ? Apporter des sentiments agréables et de la joie à ceux que vous contaminez ?
- L'euphorie se dissipe. Elle est généralement brève, si bien que nous passons plus de temps à la désirer qu'à en profiter. (Elle soupira.) Regardez ce que nous avons fait. Maintenant, je suis déprimée.
- Tu veux être un miracle ?
- Non, chuchota Kaladin. Mais pour eux, je vais l'être.
- Pourquoi m'as-tu apporté ça ? dit-il d'une voix sévère.
- J'ai pensé..., répondit Syl avec un mouvement de recul. Eh bien, tu gardais ces autres feuilles si précieusement. Ensuite, tu les as perdues quand tu as voulu aider cet homme dans les cages à esclaves. J'ai pensé que ça te rendrait heureux d'en avoir une autre.
Kaladin faillit éclater de rire. Elle n'avait pas la moindre idée de ce qu'elle avait fait en allant lui chercher une feuille de l'un des poisons naturels les plus mortels de Roshar parce qu'elle voulait le rendre heureux. C'était ridicule. Et adorable.
Berlik avait dit vrai. C'était magnifique là-bas.
Sous l'ombre du chêne dépouillé, je tombai à genoux et me mis à pleurer comme si mon cœur venait de se briser.
Je ne répondis rien.
- Avec orgueil, regret et chagrin, répondis-je. L'orgueil devant ce que tu as accompli. Le regret de n'avoir pas été là pour le partager avec toi, de n'avoir jamais pu te reconnaître comme son fils. Et le chagrin du fardeau que son nom t'a laissé. »
Sauf que la musique ne se limite jamais à ça. Si c'était le cas, on ferait des chansons sur des guitares. Mais ce n'est pas le cas. On fait des chansons sur les femmes.
Les femmes peuvent nous détruire, tu sais ? Bien sûr, n'importe qui peut faire du mal à n'importe qui... Mais on dirait que les femmes se relèvent toujours, tu as remarqué ? Les femmes restent toujours debout.