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Extrait ajouté par ptiitevampiire 2016-10-09T23:42:05+02:00

« — Viens là, murmure-t-il en m’attirant contre lui. Calme-toi.

— Mais je suis calme, dis-je en le repoussant. J’en ai juste marre, tu comprends ? Tout le monde m’a toujours dit ce que je devais faire, mais pas toi.

— Je ne te dirai jamais ce que tu dois faire, Constance.

— J’ai le droit d’être en colère d’avoir trouvé la photo d’une ex-petite amie dans ta commode.

— Tu as le droit.

— Et j’ai le droit de douter de moi parce que c’est ce que j’ai toujours fait.

— Tu n’en as aucune raison.

— Et j’ai le droit de te dire je t’aime même si tu ne veux pas l’entendre.

— Tu as le droit et je veux l’entendre.

— Et toi aussi tu as le droit de m’aimer et tu as surtout le droit de me le dire.

— Je te le dis, Constance… je t’aime.

— Bien.

J’expire bruyamment et je tente de me calmer.

— Et est-ce que j’ai le droit de t’embrasser, maintenant ? demande-t-il avec un sourire dans la voix"

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-07-30T15:27:42+02:00

— Bon sang, Sophia, ce n’est pas quelque chose qu’on raconte, c’est très intime.

— Constance, ça fait longtemps qu’on a dépassé ce stade, toi et moi. Je te raconte toujours mes parties de jambes en l’air.

— Je sais, et j’en ai d’ailleurs pour dix ans de psychanalyse.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-07-30T17:50:44+02:00

— C’est toi le futur médecin ? lui demande-t-elle.

— Euh… oui. Neurochirurgien.

— Si un jour tu tues un patient et que tu as besoin d’une avocate, appelle-moi.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-07-30T16:31:03+02:00

— Les mecs il faut les tenir, Constance. S’ils sentent dès le début qu’ils ont le pouvoir, tu es foutue.

— Noah est différent.

— Il a bien un service trois pièces ?

— Euh… oui.

— Alors il est comme les autres. Moi, ce que j’en dis, c’est que parfois tu devrais te faire désirer, juste pour qu’il comprenne qu’il ne suffit pas qu’il claque des doigts pour que tu accoures.

— Tes conseils sont nuls, il risque de fuir si je fais ça.

Elle tourne la tête vers moi et me sourit.

— Je dois bien reconnaître qu’il tient à toi. Il te regarde comme si tu étais la neuvième merveille du monde.

— La neuvième ?

— Oui. La huitième, c’est moi, dit-elle le plus naturellement du monde.

Je pouffe avant d’étouffer mon rire dans mes mains. Sophia se met à rire aussi, mais avec beaucoup moins de discrétion.

— Vous ne voulez pas vous taire, pour changer ?

La voix haut perchée de Flavie, une élève de seconde année, résonne derrière nous. Sophia cesse immédiatement de rire et se tourne pour lui faire face.

— Je te conseille de te calmer avant que mes nerfs s’échauffent vraiment et que je te colle une raclée d’enfer.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-07-30T16:42:39+02:00

— Oh, Constance, c’est trop bien ! Tu imagines ? C’est peut-être l’homme de ta vie. Tu serais une sacrée chanceuse. Le premier ! Le bon !

— Ne t’emballe pas, Sophia, ça fait à peine un mois qu’on se connaît, et deux jours qu’on est officiellement ensemble.

Je remarque le sourire amusé de Freddy, mais il n’intervient pas.

— Et alors ? Un mois, un an ou dix ans ça ne veut rien dire. Tu le sens quand c’est le bon. Regarde-moi par exemple, le premier mec que j’ai eu, j’avais seize ans. Fabien… Il n’avait pas fini de me prendre ma virginité que je savais que ça n’irait pas plus loin.

— Sophia ! je la reprends, gênée.

— Non, mais attends que je te raconte comment ça s’est passé. C’était terrible.

— Sans façon, et ce n’est pas le moment d’en parler, dis-je en faisant un signe de tête en direction de Freddy.

— Faites comme chez vous, les filles, lance le tatoueur en riant.

— Tu sais très bien que j’ai besoin de parler quand je suis stressée, alors laisse-moi m’exprimer, Constance-Je-Suis-Trop-Sérieuse-Pradel.

Épuisante. Cette fille est épuisante !

— Il avait dix-neuf ans, et comme il avait de l’expérience je me suis dit que ça allait rouler… Quelle connerie ! On aurait dit qu’il s’était transformé en guide du sexe pour les nuls.

Elle s’éclaircit la gorge et reprend en imitant une voix masculine :

— « Je vais te déshabiller. » « Tu avais déjà vu une érection ? C’est parce que tu m’excites. » « Je vais mettre le préservatif. » « Maintenant je vais te pénétrer… » Putain… après ça, il s’est endormi comme une masse et moi je me suis sauvée comme une voleuse. Je ne l’ai pas revu. Tant mieux.

Je suis écarlate, mais je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. Sophia dit tout ce qu’elle pense, et avec elle les situations tragiques deviennent toujours comiques. C’est la meilleure des meilleures amies.

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Extrait ajouté par weareallmadhereokay 2017-03-26T20:46:38+02:00

- Pas de sexe chez mes parents, pas de pelotage pendant la nuit.

- Du pelotage? Mais je ne te pelote pas! je m'indigne.

- Oh que si! dit-il en revenant sur le lit. Tu ne te rends pas compte du souci que tu me causes pendant la nuit. Et vas-y que tu te retournes, que tu frottes ton nez tout froid contre mon torse. Vas-y que tu frottes tes pieds contre les miens pour t'endormir, que tu as les mains baladeuses dans ton sommeil. Je me bats pour que petit Noah reste tranquille et ne fasse pas des siennes.

Mes yeux s'écarquillent et j'explose de rire.

- J'hallucine! Tu viens d'appeler ton pénis "petit Noah"?

- Tu viens de dire "pénis"? renchérit-il, tout aussi surpris.

Nous rions comme deux idiots. Ses bras se referment autour de moi. Il se laisse tomber sur le dos et m'allonge sur son torse.

- Es tu en train de rire de ma virilité?

Son visage est sérieux, mais ses yeux sont rieurs.

- Pas le moins du monde, monsieur Dumont. Je pensais simplement que le dénominatif n'était pas approprié.

- Poursuivez, jeune fille.

Je pose mes avant-bras de chaque côté de sa tête puis frotte mon nez contre le sien avant de reprendre:

- J'aurais plutôt pensé à: Big Noah.

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Extrait ajouté par weareallmadhereokay 2017-03-26T20:54:01+02:00

- Bon, je récapitule. Il faut que je me trouve une tenue pour être présentée aux parents de Noah, et de nouvelles chaussures. Tout ça, en respectant mon budget, qui s'élève à cent cinquante euros.

- Tu te crois dans Les Reines du shopping ou quoi? Et puis cent cinquante euros pour une tenue complète, avec les chaussures? Si Cristina t’entendait, elle en ferait une crise cardiaque.

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Extrait ajouté par weareallmadhereokay 2017-03-26T20:38:58+02:00

Les mots sont parfois aussi violents que les coups, et cet homme en a parfaitement conscience. Il sait quoi dire, où appuyer pour lui faire mal.

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Extrait ajouté par MzelleLo 2016-07-12T04:52:06+02:00

— Un escort boy ? Mon Dieu, mais c’est… dégradant !

— Du calme, Constance. Il y a énormément de femmes qui font appel à leurs services. Pour se sentir aimées, belles, ou juste pour s’amuser.

— Mais… mais non ! Moi, je veux rencontrer le grand amour. Pas un gigolo, j’ajoute en murmurant.

— Tu peux parler plus fort, ce n’est pas un gros mot, dit Sophia en éclatant de rire.

Je passe une jambe sous mes fesses tout en sirotant mon jus d’orange. Sophia continue de rire aux éclats, inconsciente du regard des gens sur nous.

Un escort boy.

Jamais je ne pourrai faire ça, je me respecte trop. Et puis ces pauvres hommes, considérés comme de la viande…

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Extrait ajouté par Saina696 2016-06-25T17:34:45+02:00

" She needred a hero, so that's what she became."

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