Commentaires

Mon ressenti: Un roman avec des longueurs et un personnage principal que j'ai vraiment eu du mal à supporter.

~ Le thème est bien: une jeune femme quitte sa famille pour aller vivre son rêve dans l'art, à New York. Sa famille ne la laisse pas s'exprimer, ni vivre de ses rêves: ils veulent qu'elle prennent la suite de leur affaire familiale et veulent la marier à quelqu'un de haut rang social, ne semblent qu'être intéressés par l'argent et non par le bien être de leur fille...

~ J'ai trouvé le personnage de Lucie vraiment pourri gâtée, capricieuse, inconsciente... bref, insupportable tout le roman. Je vais toujours jusqu'à la fin d'un livre car les personnages et les situations peuvent évoluer, mais elle reste têtue et n'évolue pas beaucoup je trouve.

~ Elle monte une affaire à elle seule, certes, mais en demandant de l'argent à ses parents, son mari... Je ne la trouve pas du tout courageuse et j'ai vraiment eu du mal avec l'histoire en général.

~ Par contre, j'ai ai adoré l'intrigue autour de Petra et de son père, ces moments m'ont touchée, surtout l'attitude du père.

~ La plume de l'auteur est agréable à lire, c'est juste le thème et le personnage principal que je n'ai pas aimé. J'ai d'autres livres de l'auteur dans ma PAL et je les lirai pour d'autres thèmes.

Je remercie l’auteur Theo Lemattre pour ce service presse.

Alors ayant déjà lu plusieurs livres de cet auteur, je connais son écriture.

Cette fois-ci, je n’ai pas adhérée malheureusement.

Nous rencontrons Lucie qui a déjà fuguer 2 fois du domicile familiale pour éviter un mariage arrangé par ses parents. Anton qui est son ami d’enfance et employé de la demeure familiale va l’aider à s’échapper mais tout ne pas se passer comme prévu, car Lucie va se faire rattraper à l’aéroport.

En même temps, elle va rencontrer le capitaine Edouard qui va se faire passer pour son petit ami, ce qui les arrange tout les 2 puisque les parents de celui-ci lui lâche la grappe.

Pour Lucie, si elle veux quitter le domicile familiale et toucher l’argent bloquer sur son compte, il faut qu’elle soit mariée à une personne de son rang sinon elle sera obligée de reprendre l’entreprise familiale sauf qu’elle veux faire de l’art ce qui est sa passion, bien compliqué tout ça.

La mère est une dominante castratrice qui mène son monde aux doigts et à l’œil. Le petit frère Joseph est un petit con qui aime particulièrement voir sa sœur souffrir, il n’est pas net.

Tout cela étais bien partie pour me plaire sauf que :

1) J’ai beaucoup aimer l’humour de Lucie mais à la longue je l’ai trouvé fatigante, trop d’humour tue l’humour

2) A un moment, Lucie parle à Edouard, lui pose des questions, il est en train de lui répondre et elle s’en va !

Enfin, ce n’est que mon avis évidemment mais cette histoire était plutôt sympa dans l’ensemble.

En commençant my loving (he) art je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais une chose est sûre je ne pouvais pas du tout m’attendre à ce qui m’est tombé dessus !

On va suivre Lucie, gosse de riche dont les parents sont coincés au 18e siècle niveau éducation, place de la femme, mariage arrangé, coutumes… Elle étouffe et ne veut pas suivre la voie que ses parents ont tracée pour elle. Lucie rêve de liberté et d’Art. Après avoir fait un mariage bidon avec Étienne, un militaire qui rencontre le même problème qu’elle avec ses parents, Lucie se rend à New York dans le but de réaliser son rêve et devenir une Artiste. Lorsqu’elle se rend à la galerie la plus célèbre, elle rencontre Édouard Trapiocat, elle ne s’attendait certainement pas à ce que celui-ci la remballe plus ou moins odieusement et ne s’incline pas devant son talent. Lucie déchante rapidement, la famille d’Édouard est omniprésente dans le milieu et ils ont la main mise sur à peu près tout. Cependant, elle va s’armer de sa témérité, de sa ténacité et surtout de son culot. Elle veut rapidement réussir et elle est prête à tout pour ça. La guerre avec la famille Trapiocat est déclarée !

Quid des personnages ?

Lucie est le genre de fille que j’ai beaucoup de mal à supporter, elle n’a aucun sens des réalités et c’est une assistée dans la vie. Pour tout, même pour s’habiller et pour se coiffer c’est le domestique de sa famille qui se charge de le faire pour elle. (18e siècle vous vous rappelez ?) Elle est parfois (souvent) condescendante et je dois avouer qu’elle m’a énervé, beaucoup ! Elle embarque tout le monde dans ses folies, et jamais personne ne lui dit non, et croyez-moi parfois elle va vraiment loin. Mais ça marche… Elle a une chance de dingue. Pourtant elle évolue, en bien, en mieux et heureusement. Il va falloir qu’elle se prenne deux trois claques métaphoriques de la vie pour qu’elle se remette en question. Mais quand elle le fait, elle devient enfin supportable et l’on s’attache enfin à elle. On la prend en pitié aussi. J’ai aimé son évolution même si j’aurais aimé qu’elle évolue un peu plus rapidement.

Édouard

Ah Édouard, un requin parmi les requins ! Que j’ai aimé ce personnage ! Je crois que c’est le personnage que j’ai le plus apprécié. Il est vraiment bien travaillé et d’un réalisme saisissant. Ses réactions sont parfaites et sa personnalité est intrigante, on sent bien que quelque chose de profond se cache derrière la façade qu’il présente. Il est fascinant. J’ai aimé le découvrir petit à petit.

Élise quant à elle, est la personnification de la manière dont on est éduqué influe sur la personne que l’on est. Anton, lui représente l’envie de s’élever, même s’il est un peu le cliché du type qui se fait fréquemment friendzonner ! Étienne est le type super gentil qui cherche une échappatoire à sa situation et qui est le premier à aider ses amis. En fait, chaque personnage apporte un petit quelque chose et j’ai adoré leur présence dans l’histoire. Ils viennent étoffer le récit à la perfection.

Un gros plus pour moi, c’est que tous les personnages du livre évoluent, même si c’est plus flagrant avec la peste de Lucie. Édouard, Étienne, Anton, même Léonidas, tous les personnages évoluent au cours du récit, ils grandissent, murissent et deviennent bien plus intéressants.

Je dois avouer qu’au début j’ai eu beaucoup de mal à accrocher en raison du caractère insupportable de Lucie. J’ai eu envie plus d’une fois de lui mettre des baffes, de la secouer et de la faire redescendre sur Terre à grand renfort de tartes ! J’ai plus d’une fois levé les yeux au ciel lorsqu’elle nous sort des plans inimaginables, ou lorsqu’elle parle d’argent avec cette insouciance qu’ont tous les gosses de riches. Et contre toute attente, lorsque tout a basculé dans sa vie, je me suis rendu compte que sans m’en apercevoir je m’étais attaché à cette petite peste !

Tout comme je ne suis pas rendue, compte que petit à petit je m’attachais à Lucie, je n’ai pas vu la romance s’installer au fil des pages, c’est très (trop ??) discret. Elle arrive peu à peu, elle se cache et ne se révèle vraiment que dans les derniers chapitres. En général, je ne suis pas adepte des histoires d’amour fulgurantes qui sont déjà en place au deuxième chapitre, mais, même si je comprends pourquoi elle est si longue à venir, j’aurais peut-être aimé qu’elle se révèle un peu plus tôt.

En bref ?

Même si j’ai eu du mal au début, j’ai été agréablement surprise par cette histoire. Je me suis attaché aux personnages et j’ai dévoré la fin à vitesse grand V. Les rebondissements sont nombreux, et certains passages bien drôles viennent alléger cette histoire. J’ai apprécié découvrir l’univers de l’art auquel j’étais complètement étrangère. Les personnages sont intéressants dans la mesure ou ils évoluent tous parfaitement. La plume de l’auteur est fluide et le réalisme du récit est grandement accentué par les recherches effectuées. J’ai été agréablement surprise par cette romance avec laquelle j’ai finalement passé un bon moment.

Très curieuse de découvrir un livre de Théo, j'étais super contente quand il recherchait des chroniqueurs pour son livre.

Je n'ai pas lu le résumé en entier, j'avoue, j'avais envie de découvrir aussi sans avoir quelques éléments qui m'aident à comprendre.

Au début, j'ai eu peur.. je lisais et je me suis dis "mouais" je paniquais pour ma chronique je pensais que je ne saurais pas quoi dire, que l'histoire allait être plate et presque ennuyante mais j'ai trouvé que les choses plus sérieuses ont commencé au milieu du livre et là, j'ai vraiment apprécié, à ce moment la j'étais hype, j'avais envie de découvrir si Lucie allait réussir malgré les imprévus, si vraiment l'expression "quand on veut on peut" prend son sens ou si au contraire elle allait tout plaquer, si elle allait sortir avec quelqu'un et surtout qui ? Parce que perso je l'ai imaginé avec tout les mecs qu'elle a croisé

Lucie est un personnage particulier, je ne vois pas d'autre mot!! Elle ne peut laisser personne indiffèrent: elle est loufoque, obstinée, fonceuse, imbus de sa personne , gamine et un peu folle aussi!!J'ai mis un certain temps à entrer dans l'histoire, justement à cause de cette fille un peu trop.... TROP (pour moi) !!

Les autres personnages qui gravitent autour d'elle sont également singuliers: la mère castratrice a la main leste et lourde, le beau galériste sarcastique aux avis bien arrêtés et artiste caché, le peintre au nom improbable, le petit frère BCBG qui se libère de ces chaînes parisiennes outre Atlantique....tous sont une pierre de plus dans cette histoire dépaysante.

Humour décalé et personnages haut en couleur sont les bases de ce roman, qui n'est pas seulement une romance dans le sens puritain, c'est bien plus!

My loving (He)art est la nouvelle romance de Théo. Sa plume fluide et claire permet d’entrer facilement et rapidement dans le vif du sujet. Si celle-ci se veut décalée et pleine d’humour, il nous passe tout de même de jolis messages, comme il sait si bien le faire. Match Love était sa 1re histoire où il nous avait proposé quelques scènes épicées et bien ici, il nous a remis ça, à croire qu’il y prend goût. Et tout comme dans ce dernier, nous y trouvons une héroïne qui n’a pas toujours les pieds sur terre, énervante par certains moments, une femme libérée, bref un personnage haut en couleur. Une histoire qui nous fera voyager entre Paris et New York.

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Dès les premières pages, nous avons un aperçu de ce qu’est la vie de Lucie, le supplice que lui font vivre ses parents, enfin surtout sa mère. Nous découvrons la place qu’occupe Anton pour Lucie, combien il lui est essentiel, elle qui n’a jamais essayé de se débrouiller seule.

Une rencontre « explosive » pourrait bien changer sa vie. Va-t-elle enfin prendre la tournure qu’elle espérait depuis si longtemps ? Toutefois, il n’y a qu’une seule personne à qui cela semble déplaire, Anton…

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Un nouveau livre de Théo Lemattre qui m’a conquis. J’ai beaucoup aimé cette histoire, pour laquelle il ne faut pas forcément chercher le réalisme dans toutes les situations évoquées ou dans la personnalité de certains protagonistes. Mais cela ne sera pas un coup de cœur pour ma part, car il y a un petit passage dans ma lecture qui m’a moins séduite. Mais j’ai adoré la scène de l’aéroport, et le virage que va prendre le récit à un moment de notre lecture. Et comme je l’ai déjà mentionné plus haut, j’apprécie les petites réflexions et messages distillés au cours de notre lecture. L’auteur nous fera passer par tout un panel de sentiments. Tous les ingrédients sont réunis pour passer un très bon moment de lecture.

Mon avis

Ah, la grosse pomme, cette ville a tout eu en bien comme dans le pire ; mais pas une tornade humaine se prénommant Lucie Sanders !! Croyez moi, que des changements vont se faire grâce à elle avec l’aide de son meilleur ami Anton ( Le pauvre il en bave avec elle mais ce n’est pas méchant selon notre point de vue )

Donc, cette petite tornade vient de « Paname côté prout prout », elle a fuit ses parents parce que ceux-ci sont un petit peu « collant » sur sa vie personnelle avec une mère possessive voire castratrice au point de rendre Lucie folle !! Sauf que la jeune fille est comme le yin et le yang, un côté fille sage et l’autre , c’est tout le contraire !!. Et donc, la voici débarquant à New York pour devenir artiste dans le dessin .Elle y rencontre des personnes hautes en couleurs , notamment Edouard à qui elle va lui donné du fil à retordre !! Ce Edouard, directeur d’une galerie d’art , imbu de lui-même à tendance connard excessif !! Ne sait pas à qui il a à faire en rencontrant Lucie !!

J’ai ri à m’en faire mal au bide !! Je me suis fait traitée de cinglée en riant aux facéties de Lucie , m’en fou c’était super !! Voir ce petit bout de bonne femme mettre en branle New York m’a fait voyagé je vous conseille cette lecture pleine d’humour , d’amour simple comme d’amour vache ,de douceur venez découvrir les personnages de my loving heart qui renferment beaucoup de choses au fond d’eux même . Merci à l’auteur pour cette très jolie histoire toute douce à laquelle je me suis identifiée tout de suite parce qu’elle se bat pour ce qu’elle veut et non ce qu’n veut pour elle .

Une jolie plume qui a le don de vous mettre à l’aise dans tout les thèmes que l’auteur aborde, j’adore !! Je vais continué de ce pas à suivre les prochaines aventures de l’auteur parce que comme l’Oréal , il le vaut archi bien !!

Allez à plus !!

Tout le monde n’a pas une vie facile, c’est le cas de Lucie, surprotégée et surveillée 24h sur 24 par ses parents.

Elle a deux ambitions dans la vie, quitter Paris et sa famille et vivre de son art : le dessin

C’est au cours d’une de ses fugues qu’elle va rencontrer un homme qui lui aussi a besoin de liberté. Ils sont prêts à tout pour l’acquérir.

Pour Lucie, accompagnée de son meilleur ami Anton, c'est direction New York et une nouvelle vie.

Lucie est une véritable tornade qui emporte tout sur son passage.

Ses relations avec ses parents sont exécrables, ça aurait pu l’affaiblir et la rendre timorée mais c’est l’inverse, elle en fait une force.

Bien que,très assistée, elle a pour conviction que ce qu’elle désire va lui arriver. Même si elle est souvent en total décalage avec le monde réel, son humour lui permet de retomber sur ses pieds et aller de l’avant.

J’ai adoré cette force de caractère qui peut déplacer des montagnes mais avec quelques dégâts collatéraux.

Elle enchaîne les idées inimaginables avec les plus loufoques.

Anton a une réelle affection pour elle. Il veille sur elle à chaque instant.

Même si parfois on sent qu’il subit, plus qu’il ne vit sa relation de meilleur ami.

C’est le réaliste de ce duo, il est ancré au sol.

Mais quoiqu’il arrive, il est là pour elle.

J’ai adoré détester Édouard, c'est l’archétype de connard imbus de lui avec toujours un sourire collé sur son visage. Mais peut-on se fier aux apparences?

J’ai apprécié l’opposition entre la jeune artiste borderline et sans limite et le peintre reconnu et plein de sagesse.

La plume de l’auteur est toujours aussi agréable.

Romance pleine de rebondissements, d’humour et d’amour (un peu vache par moment) mais toujours saupoudrée d’émotions.

J’ai adoré ce moment de lecture où j’ai souri et ri.

J'ai connu Théo Lemattre avec son titre La romance dont vous êtes l'héroïne, un roman interactif où il n'y a pas moins de 11 fins alternatives. J'avais trouvé le concept vraiment sympa et ma lecture en fut tout autant.

Lorsque l'occasion de lire My loving (He)art s'est présentée je n'ai pas tergiversée.

J'ai donc redecouvert sa plume et je n'ai pas été déçue...

J'ai tellement ri que j'ai regretté de ne pas avoir fait ma rééducation périnéale.

À l'instar de Minus et Cortex, Lucie, épaulée par Anton, part à New York afin de réaliser ses rêves de grandeur.

Lors de son séjour dans la grosse pomme, Lucie croisera des personnages hauts en couleurs sur son chemin, notamment Édouard.

Si le mot n'était pas aussi moche je dirais que Lucie est la définition même de truculente. Cette jeune femme, élevée dans un Paris bourgeois par une mère castratrice, comme aurait dit tonton Freud, est une poupée à l'extérieur mais possède le vocabulaire de Robert le garagiste au pantalon couvert de cambouis nous dévoilant sa lune (toi aussi tu le connais?). Le mélange est juste explosif et hilarant.

Théo nous dépeint une histoire rocambolesque où les protagonistes sont aussi fous les uns que les autres.

J'espère que vous les apprécierez autant que moi.

Je pense que cela serait réducteur de classer ce livre comme romance car les enjeux sont bien plus nombreux.

D'ailleurs la romance n'est pas vraiment au centre de l'histoire.

Ce que je préfère avec les plumes telles que Théo Lemattre, c'est que sous leurs aspects à l'humour décalé et au ton léger, il y a toujours des messages cachés.

Même si Lucie est complètement fêlée, elle n'en est pas moins combative, elle ne lâche rien.

À travers les personnages d'Édouard et d'Étienne, l'auteur nous pousse à des réflexions sur le sens de la vie et sur les buts que nous nous fixons.

Et c'est ainsi pour chaque personnage du livre. Chacun renferme bien plus que la couche du second degré.

Bref, si comme moi tu as besoin d'évasion non pas fiscale mais livresque alors rendez-vous le 4 Décembre.