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À chaque caresse qu’elle m’offre, je m’électrise un peu plus. Son souffle brûlant est aussi chaotique que le mien. J’ai de plus en plus de mal à me retenir de l’embrasser. Sa bouche est si près, je crois même que ses lèvres ont frôlé les miennes.
– Est-ce que c’est… bon ? demande-t-elle en continuant sa caresse sur ma virilité.
J’ai envie de lui dire la vérité, qu’elle me rend fou, que je suis fou d’elle, de plus en plus… Mais je ne suis que son professeur. À cet instant, je me dis que je suis foutu parce que je vais être incapable de tenir ce rôle très longtemps. Elle ne sera plus jamais mon élève dans ma tête.
– Devine, je lui réponds d’une façon que j’espère neutre. Sers-toi de tes sens.
Je remonte mes mains le long de son ventre, sa poitrine se gonfle. Je la plaque plus fort contre le mur. J’attrape sa poitrine. Elle se laisse faire. Ses seins sont petits mais fermes : ses tétons percent le tissu de sa robe. Je les taquine de mes pouces, elle gémit, cramponnée à ma nuque.
Elle se ressaisit, presse plus fort mon membre et me souffle, fidèle à elle-même :
– Tu respires de plus en plus vite, ton sang pulse fort contre ma paume, tes phrases sont de plus en plus courtes, et tes doigts vont laisser des marques sur mes seins.
– Et mes yeux ?
– Je n’en sais rien. J’ai tellement envie de t’embrasser.
Afficher en entierÊtre heureux est la plus belle expérience de ma vie.
Afficher en entierC’est la seule chose que j’arrive à dire. J’ai quitté la lueur pour les ténèbres. De la dentelle noire. Une ridicule petite corbeille pour chaque sein, juste ce qu’il faut. Je suis des yeux la couture qui court sur la bordure supérieure de ses aréoles, et ne peut m’empêcher d’embrasser sa peau laiteuse juste au-dessus. J’enclave mes mains dans son dos, marque sa peau pour la rapprocher toujours plus. Je suis conscient de ressembler à un obsédé mais je m’en fous. C’est plus fort que moi. Je dois la goûter, la lécher, la mordre, la sucer, l’embrasser. Elle me rend dingue.
Afficher en entierMême si nous n’avons aucun lien de sang, aux yeux de tous, ce que je voudrais d’elle est immoral. Sans compter ma réputation d’homme à femmes. Tout le monde penserait : une de plus sur son tableau de chasse, alors qu’elle serait tellement plus et nettement mieux.
Afficher en entierSon regard dévie lentement sur ma poitrine, je me gratte la gorge et me penche vers la table pour me faire plus petite.
– Tu as déjà essayé ? demandé-je.
– Oui. Et je ne me vois pas baiser les seins de Stacy. Juste par amour-propre.
Je glousse.
– Tu aurais peur de te faire engloutir ?!
– C'est un peu plus compliqué que ça. Disons que je ne voudrais pas complexer en voyant ses pastèques plus grosses que ma saucisse. »
Afficher en entierNotre relation ne s'est pas construite avec les années, elle a été inhérente, évidente.
Comme si mon cœur avait déjà préparé sa venue et y avait laissé une place avant même de la connaître.
Afficher en entier– T’es qui, toi ?
– T’es qui, toi ? répète-t-elle. Ça n’est pas une chose, c’est une fille.
– C’est une blague, maman ? Finalement ça n’est pas une fille, c’est une emmerdeuse.
– Eh, la morveuse, c’est chez moi ici, grogné-je. Elle fronce les sourcils au-dessus de ses grands yeux verts.
– Je ne suis pas une morveuse. J’ai 11 ans aujourd’hui ! Et ça n’est pas chez toi, c’est chez Martha.
– Waouh ! Tu es super grande. Je suis impressionné. Martha est ma mère, alors tu vas peut-être pouvoir m’expliquer ce que, toi, tu fous ici ?
- Et voici Casse, sa fille.
- Non pour lui ce sera Cassie. Je ne l’aime pas, proclame la merdeuse.
Moi non plus. Et ça ne sera pas Cassie mais casse-couilles ! Parce que je le sais. Cette fille va me les briser toute ma vie. Bordel, j’ai une demi-sœur et un beau-père maintenant !
Afficher en entierTu es jeune. Si découvrir ta sexualité, t’ouvrir aux autres, t’amuser est ce que tu souhaites, je resterai en retrait. Je serai ton ami, tu pourras toujours m’appeler pour des conseils mais ça s’arrêtera là. Je ne veux pas être le second. Je veux être le seul.
Afficher en entierIl accumule les erreurs sans le vouloir. Mais c’est un homme, non ? Je ne sais pas pourquoi mais leur cerveau n’est pas calibré pour la délicatesse.
Afficher en entierSaviez-vous qu’une barre dans un bus peut abriter jusqu’à six cents espèces de bactéries différentes ? Et je ne parle pas des traces de flores vaginale et anale…
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