C’est un bon livre et j’ai apprécié ma lecture, mais ce n’était pas le livre auquel je m’attendais. Avec la couverture et le résumé, je m’attendais à un chick lit « classique », même si le personnage principal était un homme. J’ai été surprise que finalement Louis rencontre et tombe en amour avec

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un homme. Je ne pensais pas que l’histoire s’en irait là, mais ce fut une bonne histoire.

J'aime beaucoup l'auteure Sylvie G. et j'avais hâte de découvrir ce nouveau livre! Le côté emploi d'agent d'immeuble et de photographe m'attirait en plus des voyages. J'ai beaucoup aimé Jonathan et j'ai appris à apprivoiser Mia la colorée et pleine de vie, si libre. Comme dans plusieurs livres de Sylvie G., ils commencent par se détester, puis une tension sexuelle s’installe. Jonathan veut devenir PDG, alors que Mia se le fait offrir par son père, mais elle ne le veut pas: Jonathan est déchiré entre sa tête, son cœur et son corps…
J'ai beaucoup aimé ma lecture!

Une jolie histoire simple et toute douce. A lire juste pour passer un bon moment et se détendre.

Quand j'ai commencer à lire GENESIS ALPHA je trouvais le livre trop court ( 253 pages ) pour pouvoir raconter toute l'histoire mais quand je l'ais, fini je trouver le nombre de pages parfait.
L'histoire est très bien raconter surtout pour la question finale en quelques sortes du livre

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est ce que Josh va devenir comme Max, perso je pense que non.

Décidément ce tome est riche en émotions! Des péripéties, des rires, des révélations et même des moments plus durs qui viennent nous remplir de tristesse au même titre que notre héroïne, mais le tout harmonieusement réparti.

Plus qu’une chick-lit, c’est aussi une belle romance qui nous ne laisse pas indifférent. J’ai tout simplement adoré. Ce n’est plus un secret pour personne que cette série est un vrai coup de cœur pour moi et ce dernier opus n'en fait pas exception.

Dans ce tome, ça bouge! Caroline remet en question ses désirs et ses émotions. Ses meilleures amies, Béatrice et Mélanie, vivent elles aussi beaucoup de changements et de péripéties, et pour notre plus grand plaisir nous y sommes en première loge! Que de rires! Béatrice vit des hauts et des bas avec sa nouvelle réalité si désirée. Mélanie, elle, rêve d’une seule chose dans sa vie et c’est d’y mettre du piment et si possible avec son mari!
Ce qui va résulter en une certaine scène avec des photos qui m’a fait tellement rire que j’en pleurais. Mon conjoint tentait tant bien que mal de me demander ce qui, dans le livre, me faisait tellement rire, mais j’étais incapable de stopper mon fou rire pour tenter de lui formuler une phrase digne de ce nom. Il faut dire que j’ai une imagination très fertile alors les scènes décrites par l’auteure étaient très réelles dans ma tête.

Et voilà, la dernière page tournée, c’est avec un petit pincement qu’on dit au revoir à nos personnages préférés qui nous ont fait tant rire à travers les péripéties de Caroline. Cette héroïne qui nous a montré sa force de mère monoparentale, prenant d’assaut les épreuves que la vie a mit sur son chemin, se battant pour le meilleur pour ses enfants, sans oublier ses merveilleuses copines, ses parents et son cousin qui viennent équilibrer sa vie. J’ai adoré voir son évolution à travers les tomes, la voir apprendre à écouter ses désirs, mais aussi son cœur. Par la force de ses actions et par les conseils de ses proches, elle a réussi à devenir la meilleure version d’elle-même, d’accepter d’imposer ses choix et de laisser libre cours à son épanouissement, pour ainsi croquer dans la vie à pleines dents. C’est tout simplement magnifique et inspirant.

Une conclusion brillamment menée par une auteure terminant sa trilogie avec force et rendant ses lecteurs ô combien heureux! La cerise sur mon sundae!
Une série que je vous recommande chaudement! Laissez-vous tenter tout comme je l'ai été! Bonne lecture! xox

Un peu déçu de ce dernier tome. La bataille se termine très vite et il n'y a pas beaucoup de suspens. Et on sent que les chevaliers n'ont même pas eu à utiliser toutes leurs options pour triompher.

Javad meurt très (trop) facilement et on en vient à se demander comment il a pu tuer Acheron en étant aussi faible.

Même constat pour Abelie, censée être terrible au point d'être plus puissante qu'un fils de dieu fondateur, et qui se fait simplement tuer par un sorcier. On aurait pu imaginer beaucoup plus de résistance que ça.

Et je m'interroge toujours sur l'utilité pour Wellan d'être un dieu, si c'est pour avoir des pouvoirs plus faibles que les sorciers alors qu'il devrait être très puissant, et je ne comprends pas pourquoi il refuse de progresser en magie depuis les Heritiers d'Enkidiev alors qu'il a passé son temps à vouloir améliorer ses pouvoirs durant les Chevaliers d'Emeraude

Je ne suis arrivé qu'au tier du livre et j'ai laissé tombé. Pourtant le pitch de base était vraiment chouette et c'est la seule chose qui me donnerait envie de lui laisser sa chance si un jour je reprend la lecture.
Mes 2 gros reproches : l'écriture et les personnages.
Le style de narration et la structure font vraiment fanfiction. On dirait que je le livre a écrit sans relecture, des éléments sont ajoutés à gauche à droite sans intérêt particulier. Ou encore des explications ou incohérences qui ruinent TOUT le suspense, sans parler du nombre incalculable de répétition. Je n'arrive même pas à savoir si c'est un pur défaut d'écriture ou si l'auteure nous prend pour des idiots ou attend d’Alzheimer.

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Rien que dans le prologue on comprend que ce n'est pas Ethan qui a parler. Du coup, l'héroïne est toute seule dans sa colère parce qu'on ne compatit pas avec elle. Dès qu'elle nous dit que le coloc du meilleur ami est en fac d'astronomie, on sait tout de suite qu'il va (comme par hasard!) être ami avec Ethan! L'héroïne nous explique les routines matinales de ses meilleurs amis et puis s'étonne que la fille décroche le téléphone à 7h alors qu'elle se lève à 6h????? Tous les mecs portent des vestes en cuire (je ne m'étonnais même plus à force), ils sont tous fans de rock et métal comme si c'était les seuls genres musicaux existant. Elle nous dit que son père ne s'est manifesté que pour la pension alimentaire, mais la ligne suivante elle dit qu'elle n'a jamais décroché quand il essayait de la joindre, faudrait savoir à la fin! [/spoiler] Si ça avait été quelques petites erreur comme ça, je ne dirais pas mais c'est tout le temps, au moins 2 ou 3 par chapitres!
Pour les personnages, c'est principalement Daisy, l'héroïne, qui m'a fait lever les yeux au ciel. Elle a été trahit ai blessé certes, elle dit allez mieux grâce à ces 2 nouveaux meilleurs amis, ok. Pourtant, l'auteure en a fait une vraie drama queen égocentrique et c'est insupportable... [spoiler]Ethan a une conversation avec les garçons, il ne la calcul même pas et elle nous dit qu'il n'a pas intérêt à s'imaginer qu'elle va lui parler (ce qu'elle nous répète inlassablement même quand il n'est pas présent, oui c'est lourd).[/spoiler] Et sur les 3 autres personnages importants y en a pas un pour rattraper l'autre. Entre Alessandro qui a 0 respect pour son voisinage (je m'étonne encore qu'il n'y ai que l'héroïne pour se plaindre, en vrai les voisins auraient déjà appeler la police mais bon...). La meilleure amie qui passe son temps à devoir secouer Daisy parce qu'elle est incapable de se prendre en main pour arriver à l'heure -_- [spoiler]Et ce malgré le fait qu'elle ne veuille pas être un fardeaux, c'est notamment pour ça qu'elle a un petit boulot, pour soulager sa mère financièrement. Mais même à son boulot elle est pas capable d'arriver à l'heure!!!!! Et il ne s'agit même pas de se lever à l'heure, c'est un job après-midi/soir. La meilleure amie n'est qu'un rappel par téléphone et c'est triste à crever. Bref, il n'y en a qu'une pour être responsable, la meilleure amie, relayée au rend de mère moralisatrice (c'est pas le rôle d'une amie ça, désolé). Un prof important pour sa fac de philo et qui apparaît souvent n'a même pas droit à un nom, c'est juste "le prof bizarre", pareil pour la ville dans laquelle ils étudient, c'est juste "la ville" et "l'université", ça rend le décors très impersonnel. Encore une fois ça fait très fanfiction, elle ajoute des détails ou personnages sans savoir quelle sera leur utilité ultérieur. Sans parler d'Ethan, tout ce qu'on sait de lui, c'est ce qu'on a appris de leur passé dans le prologue et qu'il est devenu beau gosse, c'est très minimaliste... techniquement il a changé en 5 ans, mais il faut croire que c'est sans importance?
Si c'était le 1er roman de l'auteure j'aurai compris, mais son 4ème! Et le fait qu'elle soit encore jeune n'y change rien, l'éditeur est censé être là pour l'aider (ce qui n'a apparemment pas beaucoup été le cas). C'est triste que j'ai pris plus de plaisir à lire les citations en début de chaque chapitre que l'histoire en elle-même...

1676, Paris. La marquise de Brinvilliers est jugée coupable d’empoisonnements et exécutée sur la place publique. C’est alors que Louis XIV choisit La Reynie comme premier lieutenant de police pour lancer les investigations sur l’affaire dite des poisons, et ainsi démanteler les officines et celles qui étaient alors appelées les sorcières. Très tôt, La Reynie va se rendre compte que l’entourage le plus proche du roi est impliqué, et va alors débuter une enquête des plus périlleuses.

Je ressors totalement conquise de ce roman historique qui aborde un fait réel, de manière romancée et très documentée, mais surtout de manière très originale. Ici, c’est l’inspecteur La Reynie qui a la parole tout au long de cette enquête, et c’est une totale réussite pour ma part. J’ai trouvé très original et intéressant de se placer sous la perspective de ce personnage aux valeurs intègres et à la loyauté indiscutable.

Je me suis totalement prise à ce jeu de pistes. J’avoue que je ne connaissais pas très bien les détails de cette affaire, et que grâce à Philippe Madral, j’en ai appris énormément, le tout sans même m’en rendre compte. L’auteur a une capacité incroyable à romancer son récit. Il est impossible de s’ennuyer. Les rebondissements sont nombreux et cela se lit réellement comme un roman policier.

Il faut tout de même mettre en valeur le travail en amont effectué par l’auteur. Derrière ce roman, il y a une multitude de recherches de la part de Philippe Madral, pour coller au plus près aux faits historiques. Le récit est très documenté, foisonnant et enrichissant.

La plume est tout simplement parfaite. Elle est d’une énorme fluidité et on lit un passage important de l’Histoire sans effort, sans ennui. Croiser des personnages emblématiques au fil des pages est très intéressant.

Ce récit historique passionnant retrace l’une des grandes affaires de la royauté française. C’est documenté et dense, mais si bien romancé que la lecture devient fluide. Une véritable immersion aux côtés d’un personnage emblématique. Une vraie réussite.

Fiou! Je l'ai lu en italien et je pense avoir compris l'histoire. Une bonne conclusion à cette saga. C'est vraiment dommage que la maison d'édition française ne l'ai pas traduite jusqu'à la fin.
Du coup pour ceux qui voudraient savoir la fin voici un résumé spoilant tous les détails de l'intrigue.

Il se peut que je n'ai pas tout compris, donc excusez moi si certaines parties sont un peu floues.
J'ai eu un problème avec les balises spoilers qui ne masquaient uniquement que les deux premières lignes de mon commentaires.. De ce fait, en dessous des lignes suivantes vous serez spoilés. Ne pas les franchir et les lire si vous souhaitez le lire de votre côté.


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Talitha Melkise et Verba partent sous terre découvrir un moyen d'empêcher la catastrophe.
Saiph ressuscite dans la fosse commune sans son cœur.
Il retrouve son cœur et réussit à le remettre en place.
Talitha fait la rencontre du peuple de Verba : les Shylars. Elle rencontre Kato et Anji. Kato les jette en pâture à Nera, la cheffe spirituelle des Shylars. C'est aussi la déesse Mira dans laquelle les femtites et les talarithes croient.
Talitha, découvre que le cycle de Miraval et Cetus n'est pas naturel. En effet à chaque explosion. Tous les êtres à la surface de Nashira sont tués et ça régénère les Shylar pour 10000 ans.
Verba les trahit et rejoint Nera en apprenant la vérité.
Saiph vient les sauver et ils volent le journal intime de Nera pour tenter d' en savoir plus.
Ils s'enfuient.
Kato regrette et veut sauver son compagnon. Sa maison est brûlée et son compagnon est assassiné.
Il décide de rejoindre le groupe de Talitha.
Le groupe se sépare Talitha et Saiph vont de leur côté et Melkise et Kato doivent prévenir Lakina la sang mêlée qui est devenue la cheffes des Liegois.
Nera envoie une vision à Grele pour tuer Talitha. Elle lui dit de lui amener Megassa qui est au plus mal.
Megassa qui a été empoisonné par sa femme Petra est guéri.
Il doit empêcher Talitha de découvrir le mécanisme qui empêchera la fin du monde nommé la Créatrice.
La Créatrice est cachée sous un lac.
Verba envoie une vision à Saiph pour lui dire sous quel lac. Il ne les avait pas trahi et voulait en découvrir plus.
Il est tué et rejoint son amour Klher dans l'au delà.
Pendant ce temps la magie qui alimente le cœur de Saiph commence à s'épuiser. Il va voir une guérisseuse qui lui dit que sa vie ne durera pas longtemps et que la magie qui lui coule dans les veines vient des Ascytes. Il arrive aussi à lancer des sorts sans pierre de l'air. Elle suppose que la pierre n'est qu'un cataliseur et qu'il arrive à voir et rassembler l'énergie dans l'air d'une certaine manière.
Melkise retrouve Griff en chemin et ils partent trouver Lakina.
Saiph et Talitha trouve le lac sous lequel est cachée la Créatrice. Saiph part ouvrir les écluses pour draguer le lac seul.
Talitha se fait attaquer par Grele.
Saiph réussit à faire émerger du lac une structure en cristal. Il se fait capturer par les Shylars qui le gardent.
Pendant ce temps Megassa attaque Larea la cité où se trouve Lakina.
Il se bat contre Melkise. Grif s'interpose et meurt pour sauver Melkise.
Un tremblement de terre se produit suite aux actions de Saiph. Megassa oublie son duel avec Melkise et s'en va.
Talitha arrive à vaincre Grele.
Elle fait un discours pour rassembler une armée contre celle de Megassa.
Le champs de bataille commence.
Elle combat Megassa mais Melkise fait intervenir Kato qui la transporte loin. Il se bat de nouveau en duel avec lui. Megassa lui porte un coup fatal mais Lakina arrive et l'attaque en traitre. Melkise tue Megassa et meurt dans les bras de Lakina.
Pendant ce temps Saiph est retenu prisonnier par Nera.
Elle lui révèle que son peuple vient d'une autre planète et que le cristal au centre du lac est un morceau de leur vaisseau.
Qu'avant elle les Shylars n'étaient pas immortels et que plusieurs générations se sont succedées. Elle révèle que le prix a payé est la stérilité de son peuple et que c'est pour ça qu'elle continue à produire les cycles de destruction. Talitha la rejoint et la combat. Au final elle est tuée par son assistant qui est choqué de découvrir la vérité. Talitha détruit le mécanisme mais il est trop tard. Saiph entend des voix et trouve dans une pièce l'esprit d'Urho le maître de Nera. Il lui dit que des siècles plus tôt il a vite découvert le cycle de destruction des soleils avec Nera et qu'il voulait que les Shylars votent pour savoir s'il préféraient l'extinction ou l'immortalité. Nera n'a pas voulu et l'a tué pour conserver le secret pour elle seule. Saiph découvre qu'il est en quelques sortes le descendant d'Urho et que c'est pour ça qu'il est ce qu'il est. Il décide de fusionner avec le cristal pour sauver le monde. Une lumière aveuglante se produit et le monde est sauvé. Le roman se conclut sur une lettre de Lakina à Melkise.Elle vit avec les Shylar sous terre pour en apprendre plus sur eux. Elle lui explique que depuis la fusion de Saiph ils n'ont plus besoin de pierre de l'air et que cette énergie est dans toutes les créatures vivantes et qu'ils n'ont plus besoin de vivre sous les Talareths pour respirer. Le monde commence à changer même s'il y a encore des rebellions mais l'esclavage est aboli. À côté d'elle Talitha est enceinte et Saiph est guéri grâce à l'énergie du cristal. Ils peuvent enfin vivre en paix après tous ces sacrifices. Voilà

Excellente série avec une fin, dépaysement garanti ;
Pas trop de digressions et d'usages excessifs des "et si...", pas de monstres à la con, un scénario bien cadenassé et cohérent.
Le problème : une fois commencé la lecture, difficile de résister à tout lire d'une traite.