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Napoléon est fasciné. Comment un pouvoir peut-il tolérer cette anarchie, cette rébellion, cette critique de la rue, alors qu'existe une Constitution qui devrait être acceptée par tous les honnêtes gens ?
Afficher en entier"Les peuples sont des vagues agitées par le vent. Sous une impulsion mauvaise, toutes leurs passions se déchaînent."
Afficher en entierLes hommes , dit-il, sentiront bientôt qu'ils sont hommes
"Fiers tyrans de la terre, prenez bien garde que ce sentiment ne pénètre jamais dans le coeur de vos sujets.
Préjugés, habitudes, religion,faibles barrières ! Votre trone s'écroule si vos peuples se disent jamais en se regardant :"Et nous aussi nous sommes hommes."
Afficher en entierDe quel droit dictent-ils leurs volontés ? Elus par le peuple ? En apparence. En fait, ils ont taillé une Constitution pour conserver leurs sièges et leurs biens. Et ils font tirer au canon sur ceux qui la contestent
Afficher en entier"La mort n'est rien, mais vivre vaincu et sans gloire c'est mourir tous les jours..."
Afficher en entier«Après des siècles, les Français, abrutis par les rois et leurs ministres, les nobles et leurs préjugés, les prêtres et leurs impostures, se sont tout à coup réveillés et ont tracé les droits de l'homme».
Napoléon écrit comme pour une harangue révolutionnaire. Il prône la liberté et l'égalité.
Afficher en entierOn peut tout faire avec des baîonnettes sauf s'asseoir dessus .
Afficher en entierDans des accès fébriles, il crie que l'épée de Napoléon fera trembler les rois, que son fils changera la face du monde. S'il était présent, «il me défendrait de mes ennemis», lance-t-il.
Il tente de se redresser, il répète : «Napoléon, Napoléon» , puis retombe.
Il meurt ce 25 février 1785.
Afficher en entierLes événements sont comme des faits de nature. Ils naissent des choses et des choses et des circonstances. Aux hommes de savoir entendre le grand remuement qui secoue les sociétés.
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