Commentaires de livres faits par Nausicaah
Extraits de livres par Nausicaah
Commentaires de livres appréciés par Nausicaah
Extraits de livres appréciés par Nausicaah
Les souvenirs une autre.
Dans une ville qui ne voit pas le soleil
Dis, comment peut-on vivre ?
Attendre. Attendre la nuit.
L'attente, toujours et encore.
Dans un tamis ils prirent la mer.
Se moquant de leurs amis,
Un matin d'hiver, un jour de furie,
Dans un tamis ils prirent la mer !
- Mais si, c'est un héros. Il ne peut pas vaincre Israël, mais il nous a vaincus, nous , le peuple.
Etre la seule survivante, cela n'avait aucune valeur. Ce n'était qu'une humiliation et un étouffant sentiment de responsabilité.
- Pourquoi ? questionna Tobble
- Nous rencontrerons bientôt d'autres voyageurs. Et tout est plus facile quand on est un garçon, expliqua-t-elle en s'attachant les cheveux.
- C'est injuste, estima Tobble
- Tu as raison. Mais la vie est souvent injuste.
Mais Maintenant ne rêvait que d'une chose :
s'allonger dans l'herbe.
et regarder le vol des oiseaux si tranquille.
"Pourquoi toujours se presser
puisqu'il y a tant de choses à comprendre
en regardant le monde sans bouger ?"
Et quand Montagne voulait apprendre à Maintenant
à rester immobile, Maintenant n'avait qu'un but :
aller découvrir les trésors
qui se cachaient à l'autre bout du chemin.
"Pourquoi toujours rester au même endroit
puisqu'il y a tant de choses à découvrir
dans ce monde si grand ?"
- Aux éléphants !! Attends, tu te fiches de moi !
- Bon, elles ne sont pas capable de les tuer, mais ces fourmis sont équipées d'un puissant venin... et lorsqu'un éléphant vient se nourrir à l'arbre qui les abrite, elles défendent leur garde-manger en piquant le pachyderme autour des yeux... ce qui le rend fou de douleur.
Je te sens près de moi
Quand tu es loin de moi
Je te sens même ailleurs
Même ici
Même là-bas
et je t'entends
Tu marches dans le jour
Tu marches au ralenti
Tu cours dans la nuit
Tu hurles ta folie
Tes pas résonnent en moi
Au plus profond de moi
(Sois silencieux et écoute.)
Un talus gluant sur
Du vide et de l'épouvante
- Bon, tant pis, on le fera sans toi ! crient les poules, en la regardant s'éloigner.