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Extrait ajouté par Lusylila 2022-05-14T17:32:57+02:00

" Il n'aurait jamais pensé se retrouver orphelin à vingt-quatre ans. Comme beaucoup, il avait ancré dans son inconscient, dès l'enfance, la croyance que sa mère était immortelle. Quelque chose nous rappelle parfois de façon fugace qu'un jour nos parents partiront, mais il est impossible ne serait-ce que d'imaginer cela sans risquer de ressentir une fissure irréversible. Alors, on avance avec la conviction qu'ils seront toujours là. La brutalité avec laquelle la mère de Maxime lui avait été arrachée avait tout brisé à l'intérieur de lui. Ses valeurs, ses croyances, ses buts, tout avait été pulvérisé et réduit à néant. Il ne trouvait aucun argument péremptoire pour le rattacher au fil de la vie..." p.28

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Extrait ajouté par shanaslibrary 2024-03-08T10:27:23+01:00

Quelque chose nous rappelle parfois de façon fugace qu'un jour nos parents partiront, mais il est impossible ne serait-ce que d'imaginer cela sans risquer de ressentir une fissure irréversible. Alors, on avance avec la conviction qu'ils seront toujours là.

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Extrait ajouté par nana51 2024-02-06T13:06:24+01:00

Des images vinrent subitement bombarder l'esprit de Joy. La succession des scènes de crime, toutes plus abominables les unes que les autres. Elle manqua de s'étouffer avec les sanglots de plus en plus violents qui s'emparaient d'elle.

"Voilà qui tu es, Joy. Tu n'aurais jamais dû la réveiller. La folie se cache dans tous les esprits. Elle est sournoise, patiente maligne. Elle attend. Et le jour où on lui ouvre la porte, elle se faufile. [...]"

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Extrait ajouté par seriallectrice 2023-12-30T11:34:46+01:00

Il pensa à Numéro 11: 《 Celui à qui je viens de prendre un rein, demain, tu lui enlèveras l'autre. 》C'était quelque chose qu'il savait faire. Mais pas de cette façon, sans anesthésie, pour le plaisir de faire souffrir et de condamner à la mort. Il se sentait incapable de faire ça, comme de forcer Julia à avoir des relations sexuelles. Il se demanda si l'instinct de survie prendrait le dessus le moment venu, ou si sa conscience l'en empêcherait. À quel moment devient-on prêt à n'importe quoi ? À quel moment le monstre en nous est-il prêt à passer à l'action ?

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2020-05-10T03:50:45+02:00

10 mars 2015, Seine-­et-Marne

Il m’a vu ! Je dois courir plus vite. Si je me retourne, je suis mort.

Des cris horribles ! C’est ça qui m’a réveillé. Et tout ce sang ! Mais qu’est-­ce que je faisais dans cette forêt ?

Impossible de me souvenir.

Le goût métallique sur mes lèvres me balance de violents coups de pied à l’estomac.

Je dois sauver ma peau.

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-16T15:12:56+02:00

« Tu vas devenir fou, mais ne t’inquiète pas, ce n’est qu’un jeu. »

Cette phrase rebondit dans mon esprit comme une boule de billard qui enchaîne les bandes sans s’arrêter. Elle est en train de détruire mon cerveau. J’ai l’impression que des brèches s’ouvrent à l’intérieur de ma tête, et que de chacune d’elles fuient des images horribles. Comme des coulées de lave visqueuse qui viennent recouvrir chaque partie de mon esprit. Toutes ces choses devaient être enfermées dans mon inconscient et elles profitent des failles pour sortir. Ces atrocités viennent forcément du plus profond de moi. Ça veut dire que c’est moi ! Les visages brisés jusqu’au dernier os, les flots de sang, le hérisson de verre, les jambes suintantes de pus, ce couple de vieux attachés dans leur cave.

 

Je ne veux pas devenir fou.

J’ai mal dans ma tête, j’ai envie que tout s’arrête. Que la lave sorte rapidement et qu’elle cesse de bouillonner en moi. Je me sens si mal. Ma bouche est sèche, je n’arrive pas à décoller ma langue, elle est scellée à mon palais. Je parviens à entrouvrir mes yeux. Tout est flou.

 

« Tu vas devenir fou. »

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-16T15:09:33+02:00

— Règle numéro deux : les missions sont obligatoires.

— Si je refuse ?

Un rire sourd passa difficilement la barrière des filtres du masque.

— Tu aimes jouer ! Si tu refuses, il y aura sanction. Et ce jusqu’à ce que tu obéisses.

Il sentit l’aiguille ressortir lentement de son bras.

— La deuxième mission est plus intéressante. Tu devras t’occuper de Numéro 11 avec moi.

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-16T15:08:44+02:00

De sa cellule du fond, Numéro 4 distingua alors plus nettement l’individu au chien. Il portait un long imperméable noir en cuir, resserré à la taille par une ceinture à grosse boucle carrée. Ses mains étaient recouvertes de gants en cuir noir, et ses bottes hautes, elles aussi en cuir noir, disparaissaient sous l’imper. Un masque à gaz lui recouvrait intégralement la tête. Il était d’un gris très clair avec des plis d’une teinte plus soutenue faisant penser à un crâne humain. Il moulait parfaitement chaque zone du visage. Au niveau des yeux étaient plaqués deux larges ronds vitrés cerclés de métal gris, et à l’endroit de la bouche pendait une grosse cartouche ronde métallique. La ressemblance avec une mouche aurait pu être comique sortie du contexte. Là, elle était tout simplement effrayante.

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-16T15:08:06+02:00

Dissimulé derrière la croix du judas, il le vit apparaître au bout du couloir. Il avait du mal à discerner, mais ce qui s’approchait ne ressemblait pas à un homme. Il posa ses doigts de chaque côté du judas comme pour agrandir l’ouverture, ce qui fit bouger la porte.

— Arrête ! cria la femme prostrée dans la cellule. C’est pas la peine de l’attirer !

Frustré de ne rien comprendre, il s’acharna sur la porte avant de venir se jeter devant celle qui partageait son cachot et de lui serrer les bras pour la secouer.

— C’est qui, ce taré ? Tu vas me dire ce qu’on fout là !

Il la terrorisa encore plus. Elle remit ses mains sur sa tête en position fermée. Il soupira en tapant du poing sur le mur et se releva pour regarder une nouvelle fois par le judas. Deux yeux artificiels le firent brutalement reculer. Une voix métallique résonna.

— Bien ! Je vois que tu es réveillé, Numéro 4.

Cette voix arracha un cri de terreur du fond de la cellule. La femme fut saisie de tremblements.

— Vous êtes qui ? Qu’est-ce que je fais là ? Laissez-moi sortir !

— Sois patient, ton tour viendra.

— Vous êtes qui ? Répondez-moi, putain !

Les deux verres ronds teintés, encerclés de métal, se collèrent au judas dans un mouvement menaçant. Un lourd silence s’installa entre les deux individus. Enfermé dans sa cellule, Numéro 4 sentit son cœur s’accélérer anormalement. Un coup puissant sur la porte, accompagné d’un grognement féroce, le fit tomber en arrière. La peur lui coupa le souffle. La femme hurla de nouveau en se bouchant les oreilles. Il se releva précipitamment et vit la silhouette s’éloigner sous la lumière rouge. À côté de lui, il y avait un chien, un berger allemand, qui tourna la tête et le scruta pour s’assurer que le message était bien passé.

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-16T15:05:59+02:00

« Le deux cherche les uns » : Joy pensait qu’il pouvait s’agir d’une série, « Les uns » renvoyant à une première vague de crimes et « le deux » représentant le début d’une seconde. Mais elle ne parvenait pas à faire le lien entre le code 01F02 et la suite de la phrase. Depuis la veille, tout se mélangeait dans son esprit, rien n’avait de sens. Elle ferma les yeux un instant dans l’espoir d’aiguiser sa concentration et de tout remettre en ordre dans cet imbroglio incompréhensible de suppositions. Soudain, l’image de la marionnette surgit dans sa tête, en projection nette sur écran blanc. Cette vision l’oppressa brusquement au point de lui couper le souffle. Pour lutter contre cette image, elle se leva subitement de sa chaise et balaya violemment tous les dossiers de son bureau d’un revers de la main, au moment où le lieutenant Barrère entrait dans la pièce.

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