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Après Engrenages et Sortilèges, Dragons et mécanismes et Vaisseau d’arcane, Adrien Tomas rassemble ses personnages issus du même univers pour une bataille époustouflante où de vieux et de nouveaux ennemis surgissent.

J’ai été happée par ce roman, qui est un énorme coup de cœur : des plot twists exceptionnels, des personnages brillants, une impression de puzzle qui se complète enfin et le retour de héros que j’avais déjà adorés… Encore plus que pour les deux précédents, j’ai été fascinée par l’intrigue que propose l’auteur et l’univers steampunk toujours plus poussé.

Une conclusion grandiose pour l'incroyable univers créé par Adrien Tomas.

Tous les personnages principaux, et une partie des secondaires, sont rassemblés dans ce dernier tome pour notre plus grand plaisir. C'est en Tokvie qu'ils se dirigent cette fois pour arrêter la guerre que le jeune Tsar a déclenché.

L'intrigue, pleine de complots et de rebondissements, rend le roman extrêmement addictif. Les révélations sont imprévisibles, et certains personnages que l'on crois pourtant bien connaître révèlent de nouvelles facettes de leurs personnalités. J'ai adoré voir la façon dont ils ont évolués, presque autant que de les retrouver tous réunis pour une nouvelle quête.

Le Mécaverse est définitivement l'un de mes univers préféré, servi par la plume remarquable de son auteur. Je referme ce dernier tome avec un peu de tristesse, mais je sais que ce sont des romans que je relirai plusieurs fois au cours de ma vie.

Quel plaisir de retrouver l’univers d’Engrenages ! Ayant adoré mon aventure avec Grise et Cyrus d‘Engrenages et Sortilèges ainsi qu’avec Mira et Dague de Dragons et Mécanismes, j’étais ravie de pouvoir les suivre dans la suite de leurs vies.

Si vous avez l’opportunité de lire ce roman peu après les autres ouvrages du mécaverse (ou de lire un résumé spoilant si vous les avez lu il y a plus longtemps), je pense que cela doit aider à être totalement immergé au sein des intrigues personnelles des personnages. C’est finalement la seule chose qui m’a manqué, et qui est totalement subjective puisque j’ai parfois été un peu perdue dans le qui est qui pour qui. Cela dit, Adrien Tomas met en place des rappels réguliers, qui permettent de retrouver ce qui a pu nous échapper et cela en mettant juste assez d’informations pour qu’on puisse retomber sur nos pattes et tout suivre mais sans trop en mettre pour ne pas surcharger. Un bon dosage de rappel qui m’a bien aidé ! Et qui m’a d’ailleurs donné très envie de découvrir Vaisseau d’Arcane.

Bref, revenons-en à Neige et poussière, cette belle brique de plus de 600 pages dans lesquelles nous n’avons pas le temps de nous ennuyer ! Et ceci tient autant aux nombreux personnages qui parcourent le texte qu’aux différentes ramifications de l’intrigue que nous allons suivre en leur compagnie. Alors que la guerre fait rage, chacun des personnages est rappelé pour une mission qui est finalement celle de la dernière chance. Bancale, imparfaite, presque suicidaire, mais nécessaire pour que la guerre cesse et que les combattants puissent rentrer chez eux. Les personnages que nous avons connus ont forcément changé, notamment à cause de cette guerre. La culpabilité, le deuil, les responsabilités inhérentes au pouvoir, tout cela et bien plus encore pèse lourd sur les épaules de ceux que nous avions connu adolescents. Cette mission, c’est un peu l’occasion pour eux de se lancer à corps et à cœur perdus dans ce qu’ils jugent être finalement la seule solution qui reste pour changer les choses en mieux.

J’ai aimé les suivre dans leurs réflexions, dans leur évolution et dans leurs questionnements. Entre ce que l’on souhaite et ce que l’on juge nécessaire de faire, il y a parfois un fossé dans lequel il est délicat de ne pas tomber et c’est finalement au bord de ce précipice que nous allons tous les suivre au fil des pages, allant d’actions désespérées en moments ultra réfléchies.

En bref un roman qui englobe tout un monde et qui nous entraîne dans une quête effrénée pour le pacifier.

https://tempsdemots.wordpress.com/2024/12/19/neige-et-poussiere-a-tomas/

“Neige et Poussière”, dernier opus du Mécaverse, s’inscrit dans cet univers riche et captivant. Ayant adoré “Engrenages et Sortilèges” et “Dragons et Mécanismes”, j’attendais beaucoup de cette conclusion, et je n’ai pas été déçu.

Dans ce roman, la guerre fait rage entre la Coalition et l’empire de Tovkie. La duchesse Dragomira, accompagnée d’un groupe aussi éclectique que charismatique, entreprend une mission diplomatique désespérée dans les terres enneigées du nord pour tenter de sauver ce qu’il reste de son monde.

Ce que j’ai particulièrement apprécié dans “Neige et Poussière”, c’est la richesse des personnages. Grise et Cyrus, que j’avais tant aimés dans le premier tome, ont mûri, et leur évolution est crédible et émouvante. Quant à Dague, il m’a totalement captivé, au point de me faire perdre pied par moments. J’ai également été ébahi par le génie stratégique et la prévoyance de Dragomira, une leader redoutable et fascinante. Et comment ne pas mentionner les mascottes du roman, Quint, le chat “familier” de Cyrus, et Cuthbert, le petit dragon délicieusement impertinent, qui apportent une touche d’humour parfaitement dosée ?

L’intrigue est incroyablement bien menée, avec les complots, les trahisons et les rebondissements qui maintiennent une tension constante. Les complots politiques se mêlent aux liens d’amitié et aux batailles épiques, rendant la lecture immersive et addictive.

Cela dit, j’ai trouvé le début un peu difficile, notamment à cause du grand nombre de personnages et des références aux tomes précédents. Heureusement, l’auteur sait distiller les informations nécessaires pour aider le lecteur à se remettre dans le bain, même si une relecture des autres tomes pourrait être utile pour pleinement apprécier cet ultime opus.

Je tiens également à saluer le travail de Noëmie Chevalier sur la couverture, qui reflète à merveille l’univers steampunk du Mécaverse. Le style d’Adrien Tomas, toujours fluide et accessible, est un plaisir à lire.

Avec “Neige et Poussière”, l’auteur offre une conclusion magistrale à son Mécaverse. Ce roman est une réussite sur tous les plans, mêlant émotion, action, et réflexion. Un incontournable pour les amateurs de steampunk et de fantasy française !

P.S. Message de Cuthbert : “Lisez ce livre, pitoyables humains, ou subissez ma colère !”

🦾 Adieu Mécaverse, je t'ai tant aimé ! 🦾

Niveau lecture je commence hyper bien l'année, j'ai bien fait de choisir ce livre pour être le 1er de 2025, parce que c'était génial 🎉

Quand j'ai vu le nom du personnage dans la 1ère phrase de la 1ère page de ce livre, j'ai compris pourquoi Adrien Tomas dit qu'il faut lire Vaisseau d'Arcane avant 😁

Ben oui 😉 C'est pas faute de le répéter 😅

Sinon, t'as aucune idée de qui est tel ou tel personnage, tu connais pas son histoire, ses relations avec les autres et son importance dans le Mécaverse 😱

Engrenages et sortilèges, Dragons et mécanismes et Vaisseau d'Arcane se mélangent et se regroupent pour le grand final 💜

Et l'histoire alors ?

Ben c'est la merde 😅

Par merde, j'entends une bonne grosse guerre comme on les aime pas 😭

À peine le temps de se reposer après la fin de Vaisseau d'Arcane que, POUF, c'est de nouveau la foire à la saucisse 😱

Certains couples des livres précédents se sont séparés et ça m'arrache le cœur avec une pince monseigneur rouillée 😭

Des amitiés se retrouvent en conflit pour cause de camps opposés 😔

Trahisons, mensonges, complots, attentats, batailles, comment l'affection des uns et des autres peut résister à tant d'épreuves ?

J'ai eu mon ptit cœur brisé plusieurs fois et des noms d'oiseaux ont fusé de nombreuses fois en direction de personnages que j'aime pourtant d'un amour fou 😱

Heureusement, Cuthbert est toujours Cuthbert et Quint est toujours Quint, il y a des choses qui ne changent pas 🥰

Ce qu'il faut se dire avec Adrien Tomas, c'est que peu importe ce que vous pensez savoir, deviner ou comprendre, vous avez tout faux 🤣

Le Mécaverse est fini, je suis triste 😭

Je ne peux que vous recommander de lire cette saga (dans l'ordre, ÉVIDEMMENT 😉) ainsi que tous les livres d'Adrien Tomas (lisez Notre Dame des Loups, je me tue à vous le dire) 🥰

Mais j'ai encore pleins de livres de lui à lire et ÇA, c'est clairement la meilleure nouvelle de l'année 😁

Il est dans le top 10 de mes auteurs préférés, et c'est pas peu dire vu comment je suis reloue dans mes lectures 🤣

Avec Neige et Poussière, Adrien Tomas signe la fin du Mécaverse. C'est donc avec impatience que je me suis plongée dans cette toute dernière aventure, et quelle aventure ! Elle réunit les héros des tomes précédents dans une intrigue d'envergure qui fait converger les enjeux de leurs nations respectives. Quel défi relevé avec brio par l'auteur ! Le résultat est un enchaînement de rebondissements qui comblera à coup sûr les jeunes lecteurs.

Pour ma part, il y a eu peu de surprises, car j'ai rapidement deviné les grandes révélations de l'histoire, toutefois j'ai pris beaucoup de plaisir à voir mes prédictions se réaliser et, surtout, à retrouver Grise et Cyrus. Mention spéciale pour le dénouement audacieux qui m'a bluffée !

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Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog spécialisé en imaginaire : https://lesfantasydamanda.wordpress.com

J'ai beaucoup aimé ce tome qui conclut parfaitement cette série que je suis triste de quitter...

Un seul point me désole, n'ayant pas lu la série le vaisseau d'arcade je pense être passé à côté de certains point. Je n'ai pas vraiment compris l'interlude mais cela me donne une nouvelle série à découvrir que j'espère aimé tout autant que celle-ci !

Le conclusion d'une aventure riche en émotion !

J'ai mis de temps avant de reconnecter les wagons : ma lecture de Dragons et mécanismes remonte à 4 ans (déjà ?!) et durant la première moitié du récit j'ai eu de vagues réminiscences de l'univers développé dans les précédents opus. Car la particularité du Mécaverse inventé par Adrien Tomas est que techniquement, chaque tome peut se lire indépendamment, même si il vaut mieux à mon avis, les lire dans l'ordre de parution pour éviter les spoilers.

La seconde moitié du roman s'est lu d'une traite : On y retrouve l'intelligence de Mira, le personnage de Grise (ma préférée) et on a de nouveau envie de coller des baffes à Cyrus (désolée, mais c'est mérité).... Et c'est sans compter tous les autres personnages que l'on redécouvre. J'ai cependant eu un peu de mal avec les relations de certains personnages, qui m'ont paru enfantine par moment, malgré la gravité des évènements et leur âge, qui a maintenant évolué...

Niveau intrigue, je ne vais pas pouvoir en dire beaucoup sans prendre le risque de spoiler... Il y a beaucoup d'action, de retournements de situation plus ou moins rocambolesques (et donc parfois moins crédibles) mais j'ai trouvé la fin intéressante, jusqu'au 2 derniers chapitres qui eux m'ont un peu fait lever les yeux au ciel, même si je comprends pourquoi l'auteur les a ajouté.

Bref, une chouette lecture ! ^^

C'est toujours difficile de dire au revoir à des univers qu'on aime et des protagonistes qui se sont fait un petit nid dans notre coeur, mais certains adieux sont plus compliqués que d'autres, et c'est totalement ce que j'ai ressenti avec ce troisième tome et point final au Mécaverse.

Mais je quitte cette bande de loustics le sourire au lèvre, heureuse du dénouement et ravie de la tournure prise par les événements de cette suite rocambolesque, plus sombre, qui fait la part belle à l'action, avec des scènes où magie et steampunk en mettent plein la vue, en passant par des plot twists étourdissants, qui nous mène sur des fausses pistes et nous ballotte à coup d'ascenseur émotionnel.

Une lecture qui m'en a fait voir de toutes les couleurs, tout en ne se reposant pas sur ses lauriers, tirant toute en finesse les fils d'intrigue distillés entre les différents tomes, pour nous proposer un crossover qui fait terriblement plaisir, surtout aux aficionados du Mécaverse.

Entre aventure, découverte de nouvelles contrées, légendes mystiques, complots et explosions à gogo, les moments de répit sont bienvenus et de qualité.

Ces moments plus calmes, mais pas forcément doux, développent les arcs-narratifs de nos différents héros, entre dialogues tranchés, psychologie plus torturée et amitiés contrariées, les petites histoires dans la grande sont savoureuses et ne m'ont pas laissé sur ma faim.

Un tome ultime qui me conforte dans l'idée que cette saga peut-être lue par un maximum de monde, d'autant que les trois tomes sont disponibles en poche et bientôt tous en audio, et que Vaisseau d'Arcane l'est aussi dans de très jolies éditions poche.

C'est vrai que tout ça peut faire peur, mais si vous ne savez pas par quel bout prendre cette série, un ordre de lecture est proposé sur le compte instagram de l'auteur et de la maison d'édition.

Vous n'avez donc aucune excuse pour ne pas découvrir cette saga au top de ce que la SFFF francophone peut nous proposer!

Vraiment, foncez, je vous promet un voyage mémorable!