Commentaires

j'ai ete destabillisee par la narration au debut ainsi que les flash back.

toutes les annotations durant les chapitres, renvoyant a leur fin etaient lassante, a croire que l'auteur est debordee par son imagination, et n'arrive pas a aller a l'essentiel.

en revanche, le monde est complexe, riche , et dur.

une fois tout ca integré, l'histoire apparait sans fioriture.

l'auteur ne prend pas de gants, et ses descriptions sont limites crues. pas de romantisme. son monde est noir, et il nous le partage.

l'histoire est haletante.

Mon expérience aurait été plus agréable sans un "humour" pipi-caca-zizi qui se voulait sarcastique mais que j'ai trouvé juste puéril, et des métaphores mal tournées qui te donnent l'impression d'avoir mangé de la choucroute à la raclette. Et un contenu auquel je n'ai pas toujours adhéré. Un livre que je qualifierais de malbouffe : je n'ai pas trouvé ça bon, mais il y avait un côté addictif.

Nevernight … quelle merveilleuse surprise que ce roman ; j’ai envie de couvrir ce livre d’éloges.

Tout d’abord, la plume de Jay Kristoff est parfaitement maîtrisée et un véritable régal à lire. Ce genre de romans se prête plutôt bien aux descriptions aussi on en trouvera mais les longueurs inhérentes au style ont toujours été un plaisir à parcourir. Sans faire le moindre spoiler, j’ai été happé par ce premier chapitre, avec ces deux scènes qui se transposent, se superposent, dans une prose délicieuse. J’avais là un petit bijou entre les mains et mon impression n’a fait que se confirmer.

Il y a tout de même une chose qui pourra surprendre. Pour ma part, c’est ce qui m’a fait encore plus adorer le livre mais pour certains, cela pourrait être un frein : l’auteur a truffé son roman de notes de bas de page, où le narrateur brise à plusieurs moments le quatrième mur en s’adressant directement au lecteur. La plume y est incisive, irrévérencieuse et un brin condescendante. Ce mélange a parfaitement opéré sur moi et les anecdotes m’ont énormément plu. La rédaction de ces dernières se prêtant bien au format de notes en bas de page, même si les notes prenaient parfois presque la page entière.

Je ne tarirai pas non plus d’éloges sur les personnages, qui m’ont tous charmés à leur façon, parfaitement imparfaits. La fin qui s’est dessinée m’a donné encore plus envie de me plonger dans la suite. Je n’en attendais pas autant et je suis finalement complètement mordue. Je retournerai voir la plume de Jay Kristoff aussi souvent que possible !

Au début était un peu compliqué à comprendre univers et tout ce qui entoure, surtout les bas de page qui sont très présents qui m'ont coupé un peu ma lecture au début, mais après, c'est passé vus qu'elle nous apporte des éléments important pour comprendre univers.

Comment vous dire que cette lecture pour moi un coup de cœur, on arrête pas de lire, car nous avons pleine action de rebondissement notamment avec héroïne Mia, elle est juste un personnage qu'on suit, on voit évolue dans un endroit qu'on n'aimerait pas être, elle nous surprend dans les étapes qu'elle doit passe. Vraiment rien à dire sur histoire, tout est très bien écrit.

J'ai mis un petit moment à vraiment m'immerger dans l'univers, déjà pour en cerner la complexité et son vocabulaire, mais aussi pour m'adapter à la plume de l'auteur et aux (très) nombreuses notes en bas de page de son cru.

Une fois la partie "transition" passée et qu'on comprend les bases de l'univers, la lecture devient tout de suite très agréable et même addictive.

Nous sommes dans un monde où il ne fait jamais complètement nuit noire (ou du moins très rarement). Les divinités ont leur importance et le système politique a un air de la Rome Antique. On suit Mia, fille d'un édile déchu pendu comme traite et d'une mère emprisonnée jusqu'à la folie, qui, échappant à un sort funeste, se retrouve sous la tutelle d'un antiquaire qui va lui enseigner l'art de l'assassinat à l'âge de 10 ans. A ses 16 ans, la voilà partie en quête de son initiation au sein d'une confrérie très secrète et illégale "l'Eglise Rouge" qui forme les meilleurs assassins.

Nous apprenons rapidement que la jeune fille n'est en réalité jamais seule, elle a une "ombre" douée d'intelligence et lui permet d'avoir une emprise sur l'obscurité qu'elle peut utiliser à son avantage. Mia est une "enténébrée" et c'est justement cet aspect qui intrigue énormément puisqu'elle-même ne sait pas vraiment ce que cela implique ni ce qu'elle peut faire.

C'est à l'aide de flashback que nous apprenons le passé de Mia et ce qui la mène sur cette quête de l'Eglise Rouge et de la vengeance. Une fois là-bas, plusieurs apprentis assassins sont de la partie et une compétition commence afin de connaitre les heureux élus de cette organisation élitiste. Evidemment tous les coups sont permis, les trahisons et rebondissements en tout genre y vont bon train. Les autres élèves ont une personnalité plutôt bien travaillée et on se prend au jeu. On ne voit vraiment pas les pages défiler, on suit ses jeunes assassins à la morale douteuse avec beaucoup d'intérêt.

Etant donné qu'il s'agit d'une trilogie déjà complète, je suis à la fois rassurée et inquiète. Je m'explique : rassurée car on peut s'attendre à une intrigue bien ficelée et bien pensée avec une fin qui, selon toute logique, ne devrait pas être en queue de poisson. Inquiète car étant donné la richesse annoncée de cet univers, j'espère ne pas être déçue de, justement, avoir eu une fin trop prématurée. A voir !

En tout cas, je vais lire la suite de ce pas !

Un coup de cœur.

Je ne sais pas pour où commencer, ce premier lustre est une révélation, et je pèse mes mots.

Lecture est d’une honnêteté déconcertante, les personnages sont dingues, le scénario est exquis et l’univers est richissime.

Je suis tombée en amour pour cette saga je crois bien, il me tarde de lire la suite.

Mia est un personnage que j’ai appris à aimer, son histoire, sa quête de vengeance, sa personnalité, elle détonne !

Si vous n’êtes pas une âme sensible, je vous recommande ce livre à mille pour-cent si vous aimez la fantasie adulte, l’action, les complots et le macabre.

J'ai apprécié ma lecture : le personnage de Mia est très intéressant et on souhaite en apprendre un peu plus à chaque fois qu'on avance dans le récit. L'histoire est assez sombre j'ai aimé que tout ne soit pas tout blanc ou tout noir. Mais dans un entre deux. J'ai trouvé le livre bien écrit toutefois point négatif : ces notes de bas de pages ??? Aussi longue qu'une liste de courses. Ça m'a parfois sortie de l'histoire et franchement certaines étaient vraiment pas nécessaire. Des longueurs qu'on peut éviter.

C'est vraiment un style bien particulier, je peine à comprendre l'engouement qu'il a suscité sur les réseaux. J'aime le franc-parler, le pessimisme et la dure réalité qui s'en dégage. J'ai beaucoup plus de mal avec les deux récits entremêlés, au départ, mais j'ai vite compris qu'il s'agissait d'événements passés et présents. J'apprécie certaines réparties et notes d'humour.

A l'inverse, j'aime moins les longues descriptions, et les nombreux (et parfois très, trop longs) bas de pages, qui ne sont pas tous forcément hyper utiles, et alourdissent la lecture ! Je trouve le style un peu lourd à lire pour moi dans l'ensemble. Il y a tout de même deux scènes hot plutôt bien décrites, même si la romance n'est pas vraiment présente et mise en avant, mais c'est aussi la personnalité des personnages qui veut ça, une romance passionnelle aurait détoné. Ça s'accélère énormément vers la fin du livre entre actions, rebondissements, révélations... La fin a failli me décevoir, l'épilogue rattrape le coup. Pour conclure : une lecture ambivalente, difficile, épuisante, poussive mais aussi très intéressante et enrichissante. A la lumière (ou plutôt aux ténèbres) de cette fin de lecture, je dis "pas mal" peut mieux faire !!!

Le style d'écriture est vraiment hors du commun. Et j'aime beaucoup.

J'ai beaucoup aimé les personnages et je suis dévastée par le destin de certains. L'auteur est cruel, et on peut dire que son histoire est cruel. Il est clair qu'il faut avoir l'estomac bien accroché.

Un point négatif : on passe beaucoup de temps à décrire leur formation et en même temps sur 4 classes, 2 sont quasiment jamais présentes. J'aurais aimé en savoir plus sur les secrets de Aalea et le classement de Mia dans la classe de Greffier.

J'ai adoré la fin, on peut dire qu'on s'y attend vraiment pas ! Hate de lire la suite.

Ça fait un moment que ce premier tome est dans ma PAL. Malgré un début compliqué le temps d'appréhender l'univers et de passer les énoooooormes annotations en bas de page, la suite a été un pur délice. L'auteur est arrivé à créer un univers unique. Il a changé quelques mots basiques tels que jours en tours, a inventé un système de politique et différentes castes et a donné à notre héroïne un rôle hors du commun ainsi qu'une certaine particularité. Tous ces éléments réunis ainsi que pleins d'autres font de ce premier tome une réussite et de chaque chapitre un amuse-bouche qui nous donne toujours envie d'en savoir plus. Ajouté à ça une plume fluide et c'est un bingo assuré.

Que dire maintenant de Mia. J'ai été un peu perdue dans le premier chapitre car on alterne deux actions complétement différentes mais avec un descriptif identique niveau des mots. Notre héroïne est prête à quasiment tout pour réaliser son objectif. Elle est forte mais grâce à Gentilhomme. Ce n'est pas une héroïne qui réussit tout du premier coup. Elle est blessée, ne réussit pas mais fait tout pour changer ça. Elle va travailler dur mais ne dérogera pas à certains de ses principes. Elle est aussi intelligente mais peut se laisser avoir par certaines choses. Elle reste humaine malgré son côté enténnébré. J'ai adoré en savoir plus sur elle au fur et à mesure. Et vu la fin j'ai tellement hâte de lire la suite ! Concernant les autres personnages, j'en ai détesté certains, j'en ai adoré d'autres. Tout est fait pour que chacun(e) nous fasse ressentir quelque chose. J'ai été surprise des actions de certains, de ce qu'ils ont fait ou vont devenir. Encore un point positif !