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Commentaires de livres faits par Niall1Direction

Extraits de livres par Niall1Direction

Commentaires de livres appréciés par Niall1Direction

Extraits de livres appréciés par Niall1Direction

- C'est vrai, il y a une fille. Je ne pense qu’à elle depuis qu'on est gamins. Mais je suis à peu près sûr qu’avant la Moisson, elle ne savait même pas que j'existais.
Des murmures de sympathie agitent la foule. Un amour muet, c'est une chose que les gens peuvent comprendre.
- Elle a quelqu'un d'autre? s'enquiert Caesar.
- Je ne sais pas, mais beaucoup de garçons s'intéressent à elle, admet Peeta.
- Je vais te dire : gagne, et puis rentre chez toi. Elle t’accueillera à bras ouverts, non?
- Ça ne marcherait pas. La victoire... ne pourra pas m'aider, répond Peeta.
- Pourquoi ça? s'étonne Caesar.
Peeta rougit jusqu’aux oreilles. Il bredouille:
- Parce que... parce qu'elle... est venue ici avec moi.
Avez vous apprécié cet extrait ? +249
"Ne t'arrête pas, dis-je au cas où il aurait des doutes sur ce que je voulais.
Il eu un sourire rapide, puis il m'embrassa de nouveau, me noyant dans la rudesse de ce qui s'était construit entre nous.
L'électricité parcourait sa peau, jetant des ombres dansantes sur les murs lorsqu'il se cabra.
Je rougis réalisant ce qu'il allait faire. Lorsqu'il se redressa et que nos yeux se rencontrèrent, je ris. Un beau et large sourire éclaira son visage, adoucissant ses traits d'une dure beauté.

Daemon parla dans sa langue. Le lyrisme de ses paroles n'avait aucun sens pour moi, mais c'était beau, comme une musique parlée à laquelle ma partie Alien répondait.
_ Qu'est-ce que tu as dis? demandais-je.
Il regarda à travers ses cils épais.
_ Il n'y a pas vraiment de traduction pour ça, dit-il, mais les mots humains les plus proches serait, tu est belle pour moi.
Des larmes se formèrent dans mes yeux. J'enfonçais mes doigts dans ses cheveux soyeux. Mon cœur battait vite, et je savais que le sien aussi.
C'était tout. Et il avait raison. C'était parfait, sans dîner, sans films, sans fleurs, parce que, comment peut-on planifier quelque chose comme ça? On ne peut pas.
Un poing frappa à la porte. "Daemon, tu es réveillé?"
Nous nous regardâmes l'un et l'autre avec incrédulité.
_ Si je l'ignore, chuchota-t-il, tu crois qu'il va s'en aller?
Mes mains retombèrent sur mes flancs. "Peut-être."
Le martèlement recommença. "Daemon, j'ai besoins de toi en bas. Dawson est prêt à revenir au Mount Weather. Rien de ce que moi ou Dee disons ne fait la différence. Il est ressemble à un lapin énergique suicidaire."
Daemon ferma les yeux. "Fils de pute..."
_ C'est bon, dis-je en m'asseyant. Il a besoins de toi.
Il laissa échapper un soupire déchirant. "Reste ici et prends un peu de repos. Je vais lui parler -ou le frapper...."
[...]
Je m'installais et sourit. "Essaies de ne pas le tuer."
_ Je ne te promets rien.
Il se leva, enfila son pantalon de pyjamas, et se dirigea vers la porte. Il s'arrêta, puis me regarda par dessus son épaule, m'offrant un regard qui fit fondre mes os."Putain."
Quelques instants après être sorti dans le couloir et avoir refermé la porte, j'entendis un coup, puis Andrew crier, "Ouch. Qu'est-ce que j'ai fais à l'enfer pour mériter ça?"
_ C'est pour ton putain de timing qui a un niveau épique, rétorqua Daemon."
Avez vous apprécié cet extrait ? +128
(Cette scène je vous conseille de la lire, j'ai faillis me faire pipi dessus).
Fait #1 : la police d’Hastings a environ huit officiers dans son équipe.
Fait #2 : ils sont tous chez moi.
– Souhaitez-vous porter plainte ? demande l’officier qui reste collé aux côtés d’Allie en me fusillant du regard.
Je suis perché sur la deuxième marche des escaliers et je lui retourne son regard de tueur. L’ambulancier qui examine ma tempe me réprimande lorsque je tourne la tête, mais je l’ignore. Ce qui m’arrive est absurde.
– Si quelqu’un doit porter plainte, c’est moi ! je m’exclame d’une voix incrédule.
Le flic lève la main et me fait signe de me taire.
– Nous parlons à Mademoiselle Hayes, Monsieur.
Ah, oui, Mademoiselle Hayes. Cette folle qui est aussi ma copine. Le Ninja qui m’a assommé avec un presse-papier à l’effigie de Wayne Gretzky.
– Vous vous adressez à la mauvaise personne, je marmonne. C’est moi qui ai été attaqué.
Une des policières me regarde en plissant les yeux.
– D’après ce qu’on voit, Monsieur, ce sont ces jeunes femmes qui sont les victimes. Lorsque nous sommes entrés, vous étiez allongé dans une flaque de sang…
– C’est de la soupe ! De la soupe à la tomate !
– … et vous criiez des obscénités sur Mesdemoiselles Hayes et Di Laurentis.
– Parce qu’elles m’ont assommé !
– À l’évidence, elles vous ont vu comme une menace et elles vous ont mis hors d’état de nuire, ajoute un autre policier.
Mon Dieu, je vais les étrangler. Dès que les flics seront partis, je vais toutes les deux les étrangler.
– Monsieur, nous menons un interrogatoire, rétorque l’adjudant. Veuillez ne pas parler à moins d’y être invité.
Tucker, qui est adossé au mur, semble sur le point de se pisser dessus tant il se marre. Son rire est silencieux, mais il est trahi par les larmes dans ses yeux et les secousses de ses épaules.
Au moins, Allie a la décence d’avoir honte. Summer a simplement l’air de s’ennuyer.
– Ma réaction était disproportionnée, confesse ma copine.
– Expliquez-nous ce qui s’est passé, encourage la policière.
Je grince des dents tandis qu’Allie reprend son souffle.
– Je venais de finir de réchauffer la soupe dans la cuisine. Je ne l’ai pas trop chauffée parce que je n’aime pas me brûler la bouche, alors je la mange tiède. Bref, désolée. Je revenais dans le salon. Toutes les lumières étaient éteintes parce qu’on regardait un film. J’ai entendu des pas devant la porte d’entrée, et tout à coup, quelqu’un est entré comme s’il était chez lui…
– Je suis chez moi ! je grogne.
Allie évite mon regard furieux.
– J’ai pensé que c’était un voleur, dit-elle.
– Un voleur qui a la clé de la maison ?! je poursuis sur un ton sarcastique.
Les policiers me fusillent du regard et je me tais.
– Je lui ai jeté le bol de soupe à la figure et j’ai attrapé la première arme que j’ai trouvée, dit-elle.
Elle désigne le presse-papier que nous posons sur le courrier afin d’éviter qu’il s’envole chaque fois que quelqu’un ouvre la porte. Il est désormais par terre, à côté d’une flaque de soupe à la tomate. Je suis surpris que les flics ne l’aient pas mis dans un sac transparent marqué d’une étiquette « Pièce à conviction ».
– Ce n’était pas la faute de Dean. Vraiment, c’est la mienne, insiste-t-elle. J’ai paniqué pour rien. Tu vois ? s’exclame-t-elle en me regardant.C’est pour ça que je ne regarde jamais de films d’horreur ! Il suffit d’en regarder un seul quand on est petit pour imaginer que derrière une porte il y a un tueur en série.
– Tu te fous de moi ? Tu veux bien regarder un film d’horreur avec ma sœur, mais pas avec moi ? Moi, tu me forces à regarder un film sur le cancer ?
– Dicky, gronde Summer. Arrête d’être ronchon.
Je fusille ma sœur du regard.
– Toi, je ne veux pas t’entendre, je rétorque. Et ne pense pas que je ne t’ai pas sentie me mettre un coup de pied avant de tomber dans les pommes. Qui fait ça, Summer ? Qui frappe un mec qui est déjà au sol ?
Du coin de l’œil, je vois Tuck s’accroupir en glissant contre le mur, enfouissant sa tête dans ses mains en riant de plus belle.
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"Tais-toi et regarde le film.
Il m'ignora.
_ Donc tu pense que tu t'en sortirais bien s'il y avait une apocalypse de zombie?
_ Yep, ais-je dis. Je vais carrément te sauver les fesses.
_ Oh, vraiment?
Il regarda l'écran. Puis il disparut, et quelque chose... le remplaça.
En hurlant, je sautais sur Dawson. La peau de Daemon était horriblement grise et pendait sur son visage. De la peau brune en décomposition couvrait ses pommettes. L'un de ses yeux était... un trou. L'autre était vitreux et blanc laiteux. Des touffes de cheveux avaient disparues.
Le zombie de Daemon m'offrit un large sourire... pourri.
_ Sauver mes fesses? MMh.. je crois pas.
J'arrivais plus à regarder. Daemon rit, et je ne sais pas ce qui était le plus choquant : ça, ou bien le fait qu'il y avait un zombie à côté de moi.
Sa forme s'estompa et il revint à la normal -beau, les pommettes hautes,et sa tête pleine de cheveux. Dieu merci.
_ Je pense que tu serais nulle s'il y avait une apocalypse de zombie, dit-il.
_T'es... t'es complètement dérangé."
Avez vous apprécié cet extrait ? +92
-Oh mon dieu! m'exclamai-je en plaquant mes mains sur mes yeux et en reculant brutalement contre le comptoir.
-Quoi?
-Tu es tout nu!
-Je ne suis pas tout nu.
-Je suis aveugle!
-Non, tu n'es pas aveugle. Je porte un pantalon.
-Oh.
C'était gênant.
-Tu veux que j'aille enfiler un tee-shirt? me demanda Garrett avec impatience.
-Trop tard, je suis déjà marquée à vie.

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« Plaignez ceux qui ne ressentent rien. »
Avez vous apprécié cet extrait ? +51
J'ai cinq messages non lus sur mon téléphone [...].
Logan : Salut mec, la pote de Wellsy, Allie, passe le week-end chez nous.
Logan : Garde ta queue dans ton froc. G et moi ne sommes pas d'humeur à te casser la gueule si tu tentes quoi que ce soit, mais Wellsy l'est. Donc : bite = froc = n'embête pas notre invitée.
[...]
Hannah : Allie reste avec vous jusqu'à dimanche. Elle est vulnérable en ce moment, alors ne profite pas d'elle ou je ne serai pas contente. Et tu ne souhaites pas que je sois mécontente, n'est-ce pas ?
Garrett : Allie va dormir dans ma chambre.
Garrett : Ta bite peut rester dans la tienne.
Bon sang, mais c'est quoi cette obsession pour ma bite ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +47
LUI : JE VOUDRAIS SAVOIR COMMENT TU CHANTES LES PAROLES DE MES CHANSONS ALORS QUE JE NE LES AI PAS ENCORE ÉCRITES.
Je me sens rougir jusqu’aux oreilles. Coincée. Il ne me quitte pas des yeux, l’air impénétrable. Comment j’ai pu croire qu’il ne me verrait pas, assise juste en face de lui ? Je n’avais pas pensé qu’il ferait attention à moi, ou qu’il devinerait que je chantais. Jusqu’à ce soir, je croyais qu’il ne m’avait pas remarquée. J’aspire une longue bouffée d’air, je me prends à regretter d’avoir seulement échangé un regard avec lui. J’ignore pourquoi je trouve ça gênant, mais c’est comme ça. À croire que je me suis immiscée dans sa vie privée. J’ai horreur de ça.
MOI : J’AIME BIEN LES CHANSONS ET COMME J’IGNORAIS LES PAROLES DES TIENNES, J’EN AI INVENTÉ POUR MOI.
[...]
LUI : TU VEUX BIEN ME LES ENVOYER ?
Dans tes rêves ! Jamais de la vie.
MOI : JAMAIS DE LA VIE.
LUI : S’IL TE PLAÎT ?
MOI : NON.
LUI : ALLEZ, S’IL TE PLAÎT !
MOI : HORS DE QUESTION.
[...]
RIDGE : D’ACCORD, ON VA FAIRE AUTRE CHOSE. TU CHOISIS UNE DE MES CHANSONS ET TU M’ENVOIES JUSTE CES PAROLES-LÀ. APRÈS, JE TE FICHE LA PAIX. SURTOUT SI ELLES SONT NULLES.
Là, j’éclate de rire. Puis grince des dents. Il ne va plus me lâcher. Je suis bonne pour changer de numéro.
RIDGE : J’AI TES COORDONNÉES, SYDNEY. JE NE VAIS PAS LAISSER TOMBER TANT QUE TU NE M’AURAS PAS ENVOYÉ AU MOINS UNE CHANSON.
La vache. Il confirme.
RIDGE : ET JE SAIS AUSSI OÙ TU HABITES. JE SUIS PRÊT À VENIR TE SUPPLIER À GENOUX DEVANT TA PORTE.
Ouille !
MOI : BON. ARRÊTE AVEC TES MENACES GLAUQUES. UNE CHANSON. MAIS IL VA FALLOIR QUE TU LA REJOUES PENDANT QUE J’ÉCRIS LES PAROLES PARCE QUE JE NE LES AI JAMAIS MISES SUR PAPIER.
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Je me redresse et tourne la tête si brusquement que je manque de me faire un torticolis. Et je le vois. Assis sur le paillasson devant la porte, qui tire avec nervosité sur le revers de son tee-shirt blanc, Tyler Bruce en personne. Encore.
Cette fois, il ne sourit pas quand nos regards se croisent. Il se lève et attend, attend, attend.
- La plus grande différence entre ton père et Tyler ? dit doucement Maman. Ton père, lui, n'est jamais revenu.
Avez vous apprécié cet extrait ? +35


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