Nickel Boys

Histoire très ecriture de l'auteur horrible heureusement que je l'es écouter en audio sinon je l'aurais abandonner

une lecture très agréable et positive malgré la gravité du sujet; l'auteur évite avec brio le glauque et le pathos pour nous livrer un portrait saisissant de la condition des noirs aux états unis; le personnage principal est attachant et j'ai beaucoup apprécié la sobriété de l'écriture de l'auteur

Roman intéressant et percutant sur la vie de jeunes noirs dans une "école de réinsertion" pendant les années 1960. On y suit Elwood Curtis jeune homme de dix-sept ans, intelligent, engagé dans la lutte pour les droits civiques et dont l'avenir s'annonce radieux. Il sera incarcéré pour un vol de voiture qu'il n'a pas commis et nous allons découvrir à travers les pages de ce roman, l' existence de ces jeunes dont la vie n'a pas fait de cadeaux. J'ai plutôt apprécié cette lecture, mais ce n'est hélas pas un coup de cœur. Les personnages ne sont pas assez développés, l'ambiance n'est pas assez pesante au vu du contexte, ainsi que des ignominies commises et ça manque un peu de profondeur à mon sens.

Nickel Boys est un livre dur qui relate certains pans méconnus de l'histoire de l'Amérique. Avec Elwood, on découvre un jeune idéaliste face aux discriminations raciales, et à la réalité de la vie. Grâce à lui et ses amis, on découvre également la difficile vie dans les maisons de correction, l'omerta liée à ces lieux, ainsi que la difficulté de se reconstruire par la suite.

Je ne dirais pas que Nickel Boys a été un coup de cœur, mais c'était une lecture agréable et assez intéressante. Pour autant, même si je me suis attachée aux enfants, je n'ai pas vraiment ressenti avec eux toute la difficulté de leur situation, notamment parce que les passages difficiles étaient un peu éludés. Et j'ai également eu un peu de mal avec les passages après Nickel : je ne savais jamais vraiment quand ils se situaient.

C'était tout de même pas une bonne lecture, mais pas le coup de cœur auquel je m'attendais au vu des critiques.

Roman court et traitant d'un sujet délicat, à savoir la ségrégation raciale aux États-Unis dans les années 60.

L'histoire est intéressante et relate les conditions de vie d'enfants et d'adolescents dans un camp de redressement, avec d'un côté les Blancs, et de l'autre les Noirs. Punitions abusives, pression, humiliations diverses et variées, c'est le lot quotidien des pensionnaires de ce camp dirigé en toute impunité dans un état de Floride soumis à la ségrégation.

Même si l'ensemble est bien décrit, il n'en subsiste pas moins des passages un peu lourds et parfois longs. Est-ce dû à la plume de l'auteur ou à la traduction ? Je pencherais plutôt vers la première.

Alors certes, l'œuvre n'est pas trop longue mais j'étais quand même pressé de passer à autre chose.

Ce livre fait référence à des faits réels et sordides qui se sont passées en Floride dans les années 60 dans l'Amérique ségrégrationiste. On ne peut qu'être révolté par les sévices subies par ces jeunes. Mais le style brouillon de l'auteur ma empêchée d'adhérer complètement à ce roman.

J’ai lu ce roman après avoir découvert les faits qui se sont déroulés dans la Dozier school, ce n’était donc pas pour moi un ouvrage de fiction.

J’avais lu le précédent livre de cet auteur et Nickel Boys est encore meilleur et - si c’est possible - encore plus méritant du Pulitzer.

Le dernier chapitre m’a ravagée plus que les autres, si c’est possible, et lorsque l’on sait que la Dozier School reste une école contre laquelle la justice n’a pas été pleinement rendue, cela rend cette lecture presque insupportable.

Sans passer par le “torture porn”, l’auteur est capable d’exposer la réalité de faits historique via le prisme de la fiction, avec un brio littéraire rarement égalé.

Encore meilleur que Underground Railroad, à mes yeux, et c’est beaucoup dire.

A proposer pour le bac de francais...

C'est un très bon livre dont la fin m'a pris au dépourvu.

Pour ma part, j'ai eu du mal à m'imprégner de ce livre, j'ai failli abandonner mais j'ai tenu bon et je ne regrette pas ! La fin est exceptionnelle !!

Tout d'abord l'auteur fait parti des personnes rares ayant eu deux fois le Prix Pulitzer , sa plume est poétique et vous embarque dès les premières pages, on sent que ses mots simples vont vous transpercer et vous donner envie de crier votre incompréhension, votre colère envers les évènements décrits qui ne sont malheureusement pas un cas isolé.

L'auteur est parti de faits réels pour nous parler de la ségrégation noire du XXè siècle avec la création d'une maison de correction-école où les personnes de couleurs sont séparées des autres, où la violence et la peur sont les moteurs des dirigeants, sans oublier la corruption du bas jusqu'en haut de l'échelle.

Ce roman est divisé en trois parties, le avant, pendant, après mais en lisant certains passages qui se sont déroulés le siècle dernier on a l'impression de pas avoir beaucoup avancé de nos jours.

Enfin cette fin que je n'ai pas vu venir sauf quelques pages avant et qui m'a énormément émue.

On y parle d'amitié, de résilience, de filiation, de combat...On ne peut être insensible à ces horreurs qui ont été perpétrées.

Je vous invite fortement à lire cette pépite, j'ai dans ma bibliothèque "Undergroud Railroad" que je vais lire après le mois consacré à la femme.

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💬 Citation : "Si le monde était une foule, Elwood la transpercerait. Elle pouvait bien le maudire, lui cracher dessus et le maltraitait, il passerait"

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💬 Citation : "...il avait une nouvelle théorie : il n'existait pas de système supérieur régissant la brutalité de Nickel, rien qu'un mépris aveugle sans rapport avec les individus"