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" J'ai compris comment les gens s'effondrent. J'ai compris pourquoi c'était dangereux de laisser quelqu'un devenir toute notre vie, et à quel point c'est impossible de l'empêcher."
Afficher en entier" - Les choses tristes me semblent plus sincères.
- Plus sincère ? Le bonheur, ce n'est pas sincère ?
- Si, ça l'est, a-t-il répondu en souriant. Mais la tristesse est plus réelle. Quoi que contienne la vie, elle est triste puisqu'elle a une fin.
- Mais la vie serait un cauchemar si elle était éternelle.
- Ou un rêve, a-t-il murmuré."
Afficher en entier" Je crois que je t'aime depuis le début, ai-je murmuré. J'ai senti un truc quand on s'est rencontrés, depuis qu'on a commencé à écrire ensemble. Comme si je t'aimais avant de te connaître, que l'amour était en moi et qu'il attendait le bon moment. Alors tu n'as pas de raison de t'excuser, Matt. C'est toi que j'aime. Les pourquoi sont inutiles."
Afficher en entier" Je l'aimais - ça m'est apparu quand tout s'est écroulé - alors que je ne savais pas qui il était. C'était donc possible d'aimer un inconnu."
Afficher en entierL'art n'est pas un assemblage accidentel. Il faut maîtriser les règles avant de prétendre les enfreindre.
Afficher en entierOiseau2nuit : Hannah, ouvre ton déshabillé.
Petit.Oiseau : D'accord.
J'en suis resté bouche bée. Mon érection a gonflé dans ma main. D'accord ? Elle avait accepté mon ordre avec tellement de calme, sans hésiter... Faisait-elle réellement ce que j'avais demandé ? J'ai imaginé une jeune femme assise à son bureau, devant un ordinateur, les pans de son petit peignoir ouverts, dévoilant ses seins ronds à l'écran. J'ai baissé mon pantalon sur mes hanches et libéré ma hampe. Mon corps entier frissonnait. Je devais absolument dire à Hannah d'arrêter, que je n'étais pas célibataire et que nous allions foutre en l'air notre agréable amitié virtuelle et anonyme.
Oiseau2nuit : Décris ton corps. Ecarte les cuisses. Mon Dieu, j'ai le cœur qui bat fort.
Petit.Oiseau : Moi aussi. Je les ai écartées. Je mouille rien qu'en te disant ça.
Oiseau2nuit : Oh là, Hannah.
Je me suis mis à caresser ma queue de haut en bas, m'arrêtant pour faire tourner mon pouce sur le gland. Je sentais les longs muscles de mes cuisses et de mes bras se contracter - tendus par l'excitation ou bien me suppliant d'arrêter. Il faillait que ça cesse.
Petit.Oiseau : Mes seins sont... gros. 90 E. Pour une poitrine naturelle, ils se tiennent bien. Les bouts de mes seins sont rose foncé. Ils sont très sensibles. Je suis bien roulée. Des formes généreuses avec une taille de quête, on peut dire.
J'étais sur le point de jouir. Déjà. J'ai gémi librement dans le silence de l'appartement, tout en ondulant mes hanches, mon membre dans ma main. Oh, mon Dieu. Mon Dieu.
Afficher en entier" Je n'arrivais plus à vivre sans elle. Je vivais mal de me réveiller sans elle. Quand j'étais avec elle, je me sentais bien, avec l'impression que le monde était plein de possibilités ?"
Afficher en entier" Petit oiseau, m'appelait-il. Son petit oiseau. Et d'une certaine façon, ça me donnait l'impression d'être ce qu'il y avait de plus précieux au monde."
Afficher en entier"Avec cette conversation, nous avancions en terre inconnue. Nous avions pour règle de ne correspondre que sur notre projet d’écriture collaborative, rien d’autre. Nous écrivions un récit fantastique au jour le jour, en échangeant des passages par e-mail. C’est comme ça que nous nous sommes rencontrés sur Fyctia, le site d'écriture participative où les écrivains peuvent trouver des partenaires d’écriture.
Le personnage d’Hannah était un humain doté de pouvoirs surnaturels, et le mien, un démon.
Elle était Lana.
J’étais Cal."
Afficher en entierLa solitude n’existe pas. Seule l’idée de la solitude existe.
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