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Liste des extraits

Casterman, p.83

« Je ne renierai jamais mes "Mères dévorantes". Elles sont la face sombre de mes lumineuses Nanas. »

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Casterman, p.70

« Ma sœur Elizabeth nous a aussi rendu visite tandis qu'elle attendait sa fille, et sa grossesse m'inspira beaucoup, comme m'avait déjà inspirée celle de Clarisse Rivers quelques moi auparavant.

En réalité, toutes mes nanas sont enceintes, parce qu'aucun Art n'égalera jamais la création de la vie ! »

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Casterman, p.63

« J'ai abandonné mes enfants !

Je suis devenue le monstre qui me poursuivait depuis si longtemps !

Il faut à présent, et jusqu'à ma mort, que je prouve au monde entier que cela en valait la peine.

Il faut que je crée une œuvre, puissante et immortelle... »

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Casterman, p.45

« L'impératrice

Troisième arcane, l'impératrice accouche d'elle-même, après un processus de gestation.

Elle est libre et produit ses propres idées, elle est une explosion créatrice de grande force intellectuelle, qui demande à acquérir de l'expérience. »

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Casterman, p.43

« À quoi ça sert ce grillage aux fenêtres, docteur ?

C'est pour attraper les papillons ! »

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Casterman, p.35

« Je suis incapable de me conformer à un quelconque modèle. Je ne vois pas les choses en trois dimensions.

Dès qu'elles se transcrivent sur la toile, elles deviennent "plates" !

J'ai compris presque immédiatement que je ne devais compter que sur ma propre expérience. »

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Casterman, p.80

« Ma seconde pièce de théâtre était tout aussi cruelle que celle que j'avais commise à l'âge de onze ans...

Avec son sujet, "Moi", j'assumais complètement ma mégalomanie !

La petite Ich était aussi détestable que l'immense Hon était aimable.

Mais très curieusement, elle attira la sympathie du public ! »

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Casterman, p.76

« Daddy !...

Maintenant, tu es mort, et je ne me suis pas réconciliée avec toi !

Je n'ai pas réussi à te pardonner ! »

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Casterman, p.71

« Il y avait Pontus Hultén le suédois, ami de longue date de Jean et qui sera le premier directeur du Centre Pompidou ; il y avait Eva Aeppli, Daniel Spoerri, César, Arman, Pierre Restany, Alexandre Jolas, devenu mon galeriste...

J'ai travaillé sans relâche afin d'être prête pour ma première exposition, pendant que Jean était parti représenter la suisse à la Biennale brésilienne...

Ma colère est partie avec les Tírs. Il ne restait alors que la souffrance. Et puis les Mariées et les Parturíentes ont fini de souffrir, et je me suis étonnée à faire des Nanas joyeuses et exaltées !

Vive la femme, après tout ! Et vive moi ! »

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