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Elles traversèrent des villages aux pubs joyeux, où les fêtards avaient passé le réveillon de Noël ; où de vieux amis d'enfance, éloignés par la vie, s'étaient réunis pour la soirée ; des étudiants de retour chez leurs parents pour les vacances. Tout le monde était chez soi pour Noël, auprès de sa famille, comme on était supposé l'être, quand bien même il y aurait des déceptions le lendemain : des piles à plat, des cadeaux qui ne plaisaient pas, des disputes à propos de la politique, des dindes trop cuites et trop d'alcool ingurgité, la mamie dont il fallait s'occuper, d'anciennes rivalités fraternelles qui referaient surface autour de la table, des enfants surexcités qui vomiraient et pleureraient.

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L’hôpital était gigantesque. Des couloirs blancs interminables, tous avec le même éclairage. Cela rappela étrangement à Polly un navire, où l’équipage se composerait d’hommes et de femmes en blouse verte ou blanche et qui voguerait – eh bien, vers où ? De la naissance à la mort supposa-t-elle. Le voyage de la vie.

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Le souci (...) c'était qu'on estimait toujours avoir le temps devant soi- celui de ressouder les relations brisées ; de faire tout ce pour quoi on pensait trouver le temps ; de tout terminer de belle manière.

Or, la vie ne fonctionnait pas du tout ainsi. Les choses suppuraient des années durant. Ce qui devait être oublié ne l'était jamais. L'amertume devenait un trait permanent de la vie des gens.

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Or, comme la vie nous l'apprend si bien, ce que l'on pense que les autres savent de nous (y compris une personne que nous aimons de tout notre cœur - surtout une personne que nous aimons de tout notre cœur) peut être totalement mal interprété ou incompris, ou alors le silence que nous jugeons si éloquent passe tout bonnement inaperçu. Nous croyons - ou aimerions croire - que ceux dont nous sommes les plus proches sont capables de deviner nos intentions, de la même façon qu'une mère sait quand un enfant a mangé des biscuits en cachette à cause du chocolat autour de sa bouche.

Mais personne n'est devin.

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Les décorations de Noël paraissaient encore plus déprimantes ici qu'ailleurs. Des hommes livides étaient assis, avec une trachéotomie à la gorge. Las, des enfants se roulaient par terre en mangeant des bonbons et en se plaignant.

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Le service oncologie des hommes était loin d'être aussi agréable que l'aile privée de la maternité. Il était gris, et il y avait beaucoup de toux, et tellement de tristesse.

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-Maman , dit Reuben d'une voix conciliante . Elle n'est pas partie loin . Et ce n'est pas votre unique petit-enfant . Hayley a deux gamins .

-Heu , oui , Hayley , déclara Rhonda , d'un ton qui trahissait complètement lequel de ses enfants elle préférait . Je veut dire des enfants Finkel . Des enfants qui auront notre nom de famille .Les enfants de mon adorable petit Ruby-Baby .

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La colère de Polly enflait .

-Qui -êtes -vous ? , la questionna-t-elle avec une certaine rudesse .

Polly sentit à cet instant une mains sur son épaule . c'était Huckle , ensommeillé et confus devant son expression courroucée .Elle posa sa mains sur la sienne et la serra pour le remercier de son geste , puis , puis le chassa d'un regard grave .

-Je...je suis sa femme , répondit la voix .

-D'accord . Donc , il vous a épousée et vous vous rendez compte que vous le connaissez mal ? Il n'a pas pris la peine de vous raconter ces choses jusqu’à ce qu'il finisse un jour par assumer? De vous dire qu'il avait déjà une fille ? Cela ne lui avait pas traversé l'esprit ?

-Non ..Non . Nous sommes mariés ...( un sanglot étrangla la voix de la femme . ) Nous somme mariés depuis trente -cinq ans .

Polly en avait trente -trois . Tout lui apparut alors clairement .

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La voix à l'autre bout du fil semblait tremblante et nerveuse . Polly espérait du fond de son cœur que la personne lui commande une course en taxi , afin qu'elle puisse retourner se coucher . Ce ne fut pas le cas .

-Allô...êtes-vous Polly Waterford ?

-Oui , répondit Polly , en sentant un horrible frisson lugubre la parcourir . Qui est à l'appareil ?

-Je m'appelle Carmel .

La voix était chevrotante , mais grave . Ce prénom n'évoquait rien à Polly .

-Je...Je suis ...une amie de votre père .

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La sonnerie du téléphone au beau milieu de la nuit était une chose affreuse .

Premièrement , il faisait tellement froid , et seule Polly se lèverait car Huckle était habitué à ce qu'elle ai des horaires étranges . Il était donc vain que Polly lui adresse de petits coups , même si , statistiquement parlant , il s'agissait très probablement des parents de Huckle qui avaient oublié une nouvelle fois le décalage horaire .

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