No pasarán, endgame
Auteur
- Christian Lehmann (Écrivain)
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Classement en biblio - 40 lecteurs
extrait
Les livres brûlaient .
La chaleur des flammes enveloppait l'homme, mais il ne cédait pas un pouce de terrain. Parfois il détournait la tête, aspirant une goulée d'air avant de fixer à nouveau son regard sur le brasier. La couverture similicuir de certaines collections privées noircissait, grésillait, avant de s'enflammer à son tour. Méthodiquement, il nourrissait les flammes, effaçant toute trace de son passé.
Afficher en entierCommentaires récents
J'avais beaucoup apprécié le premier tome plongeant dans les jeux vidéos des années 80 colorées lors d'un voyage à Londres. Faire revivre l'histoire et les guerres par le "jeu" qui n'en devient plus un et reprendre en compte le fait qu'on ne se connait pas face à une situation de crise tout peut changer...
Le second et le troisième tome ont eu plus de mal à passer. Du fait de deux problèmes complexes à surmonter de mon point de vue de lectrice :
Tout d'abord un saut extrême dans le temps (entre l'écriture des deux livres) et donc de retrouver des personnages encore jeunes alors qu'on est bien 20 ans plus tard. L'auteur ayant voulu les conserver et les retrouver seulement quelques "mois" plus tard... Mais de changer le contexte où ils évoluent puisqu'en le réactualisant aux sujets du moment. Les deux idées étaient bonnes cependant le mélange des deux perd en crédibilité. Il aurait à mon sens fallu faire un choix. Ou alors les combiner utilement : changer les protagonistes et faire un caméo des anciens qui les aident ou encore les retrouver parents à leur tour d'enfants faisant face aux jeux vidéos d'époque (par exemple ?)
Deuxième point : les rajouts de personnages féminins qui ne sont pas assez travaillés et ne leur donnent (ni ne leur laissent) pas vraiment l'ampleur, la profondeur ou l'importance souhaitée. Je pense que cela partait d'un bon sentiment mais le résultat est un peu bancal...
Ces deux éléments ont fait que j'ai eu beaucoup de mal à finir la lecture malgré un concept plutôt original et des idées très intéressantes qui auraient gagné à être plus poussées.
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J'avais lu le premier livre pour les cours et j'avais fini par adorer cette trilogie ! Il me fallait connaître la suite.
Après les tranchées et la guerre d'Espagne on se retrouve en 1942 où Andreas est devenu néo-nazi.
L'auteur nous livre cette fois-ci un livre moins concentré sur les dangers du jeu-vidéo mais plus sur les dangers des idéologies racistes.
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Je n ais pas accroché à relire peut être dans un autre moment de ma vie, une autre période.
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Une fin à la hauteur de la série... troublante, palpitante...
Aux réflexions des tomes précédents s'ajoutent quelque révélations fracassante... et encore une fois , une fin très ouverte, très frustrante, et pourtant tellement parfaite...
On approfondit la connaissance qu'on avait de personnages jusque là secondaire: Nita Salaun, Samir, Anissa et surtout Gilles... des personnages qui se dévoilent, à nous et à eux même, qui évoluent aussi.
Bref un très beau final, un peu perturbant par moment, mais qui ne m'a pas déçue.
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j'ai hate de le lire!C'est mon prof de francais qui me l'a conseillé et j'ai adorée les deux premiers tomes.☺
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Un très bon tome, le final de la trilogie! Plus on tourne les pages, plus l'on devient "accro" au Jeu. On veut savoir la suite, et pourtant on a pas envie que cela s'arrête !
C'est donc une très bonne saga que j'ai lu, et je la recommande à tous, mais pas au plus jeunes, qui risquent de ne pas tout comprendre.
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Date de sortie
No pasarán, endgame
- France : 2012-11-16 (Français)
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Résumé
Et si l’Expérience ultime n’était pas seulement un jeu vidéo mais un moyen de remonter le temps ?
Éric est retourné dans ce qu’il croyait encore être un jeu pour libérer Andreas. Au moment où il l’a retrouvé dans le Paris de 1942, son ancien camarade de classe lui a échappé et s’est enfui avec la disquette. Perdu pour de bon. Lâché, tel un monstre, dans la France de l’Occupation. Prêt à tout pour renverser le cours de l’Histoire et faire gagner le camp des bourreaux !
Qui peut encore l’arrêter ? Éric et Thierry sont désormais hors jeu. Gilles, le frère d’Éric, reporter de guerre, se porte volontaire pour retourner dans une France vert-de-gris, où des policiers français traquent des enfants, où des miliciens prêtent main-forte aux nazis. Il n’aura aucun droit à l’erreur, ni dans le jeu ni dans la vie réelle. Car il n’y a pas de point de sauvegarde. Il n’y en a jamais eu…
No pasarán, endgame est la suite de No Pasarán, le jeu et d’Andreas, le retour. C’est le dernier volet de la trilogie No Pasarán.
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