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Commentaires de livres faits par Nolany

Extraits de livres par Nolany

Commentaires de livres appréciés par Nolany

Extraits de livres appréciés par Nolany

« Thomas, il n’y a que deux certitudes dans une mission spatiale : la date de départ, mais seulement après avoir décollé, et la date de retour, après avoir atterri ! »
Oleg Novitski, cosmonaute
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Honnêtement, cher cerveau, c’est pas la peine de me faire ce coup… Ce sont les pires vacances mentales de la création, murmura-t-il, amer. Aucune réaction. – Qui que tu sois, dieu, demi-dieu, quart-de-dieu, tu commences vraiment à me gonfler. Toujours rien.
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Trace s’assit près de lui sans répondre à la provocation.
— Allons-y. Premier exercice : tu vas maintenir ton bras, coude tendu à quatre-vingt-dix degrés, et le soulever plusieurs fois en l’écartant de ton corps.
David regarda Trace lui montrer le mouvement prescrit et ne put réprimer un petit rire.
— Quoi ? Trace leva les yeux.
— On dirait un poulet ! s’esclaffa David.
— Oui, eh bien, je suis le coq de la basse-cour. Allez, mon poulet. Bats des ailes, lui ordonna Trace avec un clin d’œil.
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“Barbarians!’ he roared. ‘Filthy barbarians!”
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date : 20-04-2017
- Tu préfèrerais vivre à Sauropolis ?
- Quoi ! s’exclama-t-elle. Avec le bruit et l'agitation qu'il y a là-bas ? Ah non merci ! je préfère encore vivre au bord de la mer. L'océan, c'est comme les enfants. La plupart du temps, ils rient, roucoulent et babillent et c'est une vraie bénédiction. Alors ça vaut bien une colère de temps en temps. C'est tout ce que j'ai à dire.
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L’expression sur le visage du garçon lui apprit tout ce qu’il avait besoin de savoir. Ian soupira. Le garçon était nouveau, le fils d’un bon ami. Il ne faisait aucun doute qu’il avait vu le prisonnier et entendu les histoires de l’équipage – certaines vraies, d’autres des mythes destinés à instiller la peur chez l’enfant.

— N-non, monsieur, répondit Aine en faisant clairement de son mieux pour ne pas trahir son mensonge. Ian soupira.

— Barra t’a-t-il parlé de ton prédécesseur et de la façon dont je l’ai jeté par-dessus bord dans un accès de rage.

Les yeux d’Aine s’agrandirent de crainte.

— Je suppose qu’il a omis de te dire qu’il est ton prédécesseur.
Ian attendit que ses mots pénètrent le cerveau du garçon. Aine en resta bouche bée et Ian éclata de rire.

— Oui. Demande aux autres. Et si Barra te cause d’autres ennuis, tu peux lui dire que je vais le jeter par-dessus bord s’il ne cesse pas ses bavardages sans fin. Les coins de la bouche d’Aine se relevèrent et Ian lui ébouriffa les cheveux.

— Aye, monsieur ! Son visage était illuminé d’une jubilation à peine déguisée.
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Taren se réveilla dans un grand lit à baldaquin aux lourdes tentures. Son corps lui semblait étrange, comme celui d’un bébé bercé dans les bras de sa mère. Dans son esprit embrumé de sommeil, le lent roulis lui rappela la façon dont les champs de céréales pliaient et se balançaient sous un vent puissant. Il entendait le cri des mouettes et sentait le sel dans l’air. À travers les rideaux, il voyait un ensemble de hautes fenêtres rectangulaires avec des vitres épaisses, un peu comme celles qu’il avait vues sur les bateaux à voiles dans le port. Plusieurs d’entre elles étaient ouvertes, et la brise fraîche caressait son visage et sa poitrine. Il n’apercevait rien d’autre dehors que le ciel bleu. Et rien en dessous, à part les vagues.
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date : 07-12-2015
Pendant que Donatello s’occupe de sa maîtresse, celle-ci lui caresse inconsciemment le haut de la nuque, à l’endroit précis où sont tatoués son nom et ses références. Contrairement à Félicia Des Rolles (née Galantine), le nom de naissance du Dog a des consonances plutôt étrangères ; le tatouage indique « Donatello Minaï » mais personne ici ne cherche – ou n’a cherché – à en découvrir l’origine exacte. Cela n’a d’ailleurs que peu d’importance, le Dog pourrait être le descendant unique de Moïse, de Jules César ou de Jeanne D’Arc que sa situation resterait identique. Ses maîtres – les Des Rolles au complet – l’appellent simplement « Don » ; Monsieur Martin Des Rolles, qui manie l’humour et la culture comme personne au sein de sa famille, s’amuse parfois à le nommer « notre cher Don Giovanni ». Félicia use à l’occasion d’un simple, banal et efficace « Dondon ». Les enfants, eux, font de même, modèle parental oblige.
Mais cela n’affecte pas Donatello. Il s’en détache le plus souvent. Tout comme là, maintenant, dans cette situation, quand il est genoux à terre, et qu’il entretient les pieds de sa maîtresse alors que celle-ci lui caresse docilement la nuque : le Dog essaie de ne pas réfléchir à sa condition, au fait qu’il soit un esclave. Il évite de se polluer l’esprit avec ce genre de pensées dangereuses
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