Northambourg
Auteur
- Arielle Fournier (Écrivain)
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Et là c’est le drame, je viens d’achever la lecture de l’un des MEILLEURS OUVRAGES que j’ai lu depuis bien longtemps parmi les nouveautés Kindle…
J’ai fait durer la chose autant que je l’ai pu, savourant chaque mot, chaque page…
Mais voilà, c’est bel est bien fini de ce premier tome… Et je redoute le temps nécéssaire à l’auteur pour poursuivre son oeuvre. Car franchement, il y a tout de même à impressionner! On est loin du roman de gare écrit à la va vite… Cet ouvrage témoigne d’un travail de recherches constant et approfondi tant dans la capacité à créer de toute pièce un univers neuf (original, robuste) que sur la langue (richesse du vocabulaire, parfois érudit d’ailleurs).
De ce point de vue, si le style est exigeant, il rend parfaitement le foisonnement et la richesse des univers dans lesquels l'auteur nous plonge et à la réflexion, même si cela m’a gênée dans les premières pages, je n’imagine pas cette histoire écrite autrement, le style adopté participe à l’environnement et même au scénario. A cet égard, autant vous dire que l’intrigue est ficelée subtilement et que les personnages principaux et secondaires sont fascinants.
En somme, ce premier tome est riche, abouti : pour moi c’est une merveille!
Je ne peux donc que recommander sa lecture et implorer l'auteur de nous offrir la suite au plus tôt !!!
PS: Je dois ajouter que je partais franchement négativement, le résumé m’avait semblé pompeux et la couverture peu engageante. Pour autant, comme je le fais souvent et la plupart du temps avec mollesse, je me suis laissée tenter… Faites de même laissez sa chance à ce livre!
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Date de sortie
Northambourg
- France : 2017-11-06 (Français)
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Résumé
J’ai l’espoir qu’un jour viendra où ils seront en paix, où lorsqu’ils me scruteront de leurs déplaisantes facultés, ils verront autre chose que le rouge de mes pupilles. Il s’y fait un tel chaos, maintenant. Aurais-je dû être davantage humble à bras, comme il en convient aux damoiselles d’ici? Mes premiers jours au domaine furent pourtant si paisibles. Jadis, ce 7 novembre, mes pieds ont frôlé la terre humide de Northambourg pour la première fois. J’avais d’ores et déjà la nette impression de ne pas appartenir à ce monde. Maintenant, j’ai plutôt la certitude d’en être un catalyseur.’’ À Northambourg n’existe aucun simple. Y règne plutôt la Faculté. S’ayant eux-mêmes fait exile, il y a deux décennies, le peuple de Faculté sort à peine d’une funeste ère. Le bon roi d’Ambourg a présidé à monsieur son père, le sadique roi d’épaule, et la mise à exécution des augustes Darkwood a calmé les dissensions entre les souverains de clans. Or, vient ce fameux 7 novembre. De cette gamine, d’abord sans valeur aux yeux de ses grands hommes, viendra la fin de cette fausse quiétude sur la terre d’évolution. D’une fraternité passionnelle à l’une belliqueuse, de nombreuses romances interdites à un triangle impossible, Northambourg sera le théâtre d’une véritable quête d’identité, tout autant pour celle que l’on surnomme l’intruse que pour ce faste peuple encore rongé par les afflictions d’une récente guerre de vengeance. L’art de l’esprit rend aveugle. L’instinct semi-physique transforme les plus nobles en de farouches et vils hommes. L’altruisme des éléments est si éthéré qu’elle appauvrit les élans d’honorables guerriers.
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