Ajouter un extrait
Liste des extraits
Cher Père Noël ,
Cette année , moi j'ai été sage . Très age , même . J'espère que tu te trompera pas et mettras mon prénom sur la liste des gentils enfants . Et il faut que tu te souvienne que moi je veut le beau vélo vert , celui que j'ai vu dans le magasin à cotè du Super U .
Afficher en entierQuand on se met en couple, chacun vient avec un sac à dos plein de pierres. Les pierres représentent notre passé et conditionnent qui nous sommes aujourd’hui. Pour certains, le sac à dos est plus lourd à porter que pour d’autres. Nous n’avons pas tous vécu les mêmes choses, ni eu la même relation avec notre père, notre mère, nos frères et sœurs.
Afficher en entierOn ne choisit pas sa famille, mais on ne choisit pas non plus sa belle-famille. Juste son amoureux...
Afficher en entierAlors qu'elle était dans tous ses états , sa poche se mit à vibrer . Son téléphone . Non , pas ça ! L'écran affichait " Nicolas ' . Elle n'aurait jamais le courage de lui annoncer la nouvelle , mais pouvez -elle vraiment ignorer son appel ?
Elle ferma les yeux et décrocha . Des cris retentirent à l'autre bout du fil .
Afficher en entier- Tata Laura ! Il y a un chien qui pue qui veut nous piquer notre hélico . Viens vite !
Afficher en entierDerrière la porte, une seule petite silhouette, toute fluette. Antoinette.
– Maman ? Mais qu’est-ce que tu fais déjà là ? demanda Jacques. On n’avait pas dit 21 heures ? Attends, donne-moi ton manteau.
Cachée sous son chapeau qu’elle réservait aux grandes occasions, la vieille dame semblait nager dans son manteau d’hiver. À ses pieds, deux énormes sacs remplis de paquets emballés avec soin.
– Débarrasse-moi plutôt des cadeaux des petits. Ils sont de plus en plus lourds les jouets, de nos jours. Mais tu es resplendissante, Martine, ajouta la nonagénaire en embrassant sa belle-fille. Le jaune te va très bien.
– C’est très aimable, Antoinette. Comment allez-vous ? demanda Martine en prenant le manteau de la vieille dame.
– Ne parlons pas des choses qui fâchent, veux-tu ? C’est une nouvelle robe que tu portes là ?
– Effectivement, elle est neuve. Merci d’avoir remarqué, Antoinette, répondit Martine en jetant un coup d’œil réprobateur à son mari.
– Je me permets d’entrer, sinon on va tous attraper la mort à rester dans les courants d’air, fit remarquer la vieille dame.
Afficher en entierJe ne saurais dire ce qui me manque, mais je me rends compte maintenant que l'important ce n'est pas d'avoir les bonnes réponses mais de se poser les bonnes questions.
Afficher en entierL'amour, c'est censé marcher tout seul quand on a trouvé la bonne personne...
Afficher en entier- Mais, elles sont adorables ! Je suis tout émue. J’ai mes petites poules ! Merci Jacques. J’ai toujours rêvé d’avoir des poules, comme chez ma grand-mère. Je suis si heureuse ! Regarde-les, elles ont l’air de se plaire chez nous, dans notre grande famille. Attends, Jacques… Tu ne remarques rien ?
- Quoi ?
- Mais elles ne te font penser à personne, ces petites poules ? Regarde bien : il y a la poule blanche qui joue un peu la maman avec les deux autres, la petite poule rousse dynamique et la grande brune toute mince, qui a l’air de rechigner face à ce ver de terre. Jacques ? Jacques ! Tu l’as fait exprès ou quoi ?
Jacques, de son regard taquin, observa Martine en souriant. Il rit à gorge déployée :
- Je ne vois pas du tout de quoi tu parles, se défendit-il avec un rire coquin. Tu as l’esprit très mal placé ! Si tes belles filles savaient que tu les compares à des poules… Attention, c’est limite, chérie ! Très limite
Afficher en entierSans parler de sa propre mère qui allait s'installer chez eux les premiers temps, officiellement pour aider, mais surtout pour lui taper sur les nerfs avec ses conseils ultrasécuritaires et complètement dépassés.
Afficher en entier