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Nos jours heureux



Description ajoutée par cookies72 2014-10-26T06:21:16+01:00

Résumé

Yujeong a le cœur en miettes lorsque sa tante Monica, qui est religieuse, l’emmène à la Maison d’arrêt de Séoul visiter un condamné à mort. Rien ne semble pouvoir rapprocher une jeune désespérée de bonne famille d’un triple meurtrier, et pourtant…

Au fur et à mesure de leurs rencontres, ils vont se raconter avec sincérité leurs « vraies histoires », affronter les ténèbres et découvrir les lumières éblouissantes au sein de ces ténèbres, réparer leurs âmes meurtries.

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Classement en biblio - 50 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Lust 2016-12-09T11:42:16+01:00

Mes amis, ils me disaient. Il paraît que la pendaison est le mode d'exécution le moins douloureux. Je leur retorquais. Tu leur as demandé ? Tu leur a demandé aux morts, si c'était la meilleure façon de mourir ? Hein ?

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Commentaire le plus apprécié

Argent

Très bon livre sur le thème de la peine de mort. Avec des mots simples, un style pédagogue et sans ton condescendant ou moralisateur, l'auteur propose une réflexion vraiment complète. On ne reste pas dans un seul domaine d'étude. On donne des éléments aussi bien sociologiques que juridiques ; et même des éléments issus de la philosophie ou du dogme catholique (le pardon et le rachat de ses péchés notamment). On joue également beaucoup sur l'aspect émotionnel. On donne un visage, un nom, une histoire, à un condamné à mort, pour créer une empathie, ça me semble être le petit plus d'un roman par rapport à un essai sur ce thème. On traite le thème sous tellement d'angles différents, qu'il est impossible qu'aucun de ces aspects ne vous touche.

Spoiler(cliquez pour révéler)Il y a juste un élément que j'ai trouvé un peu dommage : on a choisi de montrer une personne condamnée à tord. Yunsu endosse la responsabilité des crimes de son complice. C'est donc une erreur judiciaire. Je pense qu'on est tous d'accord sur le fait qu'il faudrait juste être débile, pour ne pas avoir de la pitié pour une personne condamnée à mourir alors qu'elle n'a rien fait ! Mais je pense que le roman aurait été plus percutant s'il avait réussi à nous faire ressentir la même pitié, la même empathie, pour un coupable. Car c'est là tout l'enjeu du débat. Tout le monde est d'accord sur le fait qu'il ne faille pas tuer des innocents. Tout le monde n'est pas d'accord sur le fait qu'il ne faille pas tuer des coupables.

L'auteur arrive même à élargir sur la criminalité en général, ce qui me semble plus que pertinent. C'est agréable de lire pour une fois quelqu'un qui, sans stigmatiser, ne se voile pas la face : il y a des milieux où les personnes sont plus sujettes à devenir des criminels que d'autres. La violence appelle la violence. Et peu importe sa forme, ça peut être une violence physique, une violence sociale, une violence émotionnelle.

On montre parfaitement le fait qu'il y ait peu de 'messieurs tout le monde' qui deviennent des criminels. C'est essentiellement des personnes pauvres, abandonnées aussi bien par leurs proches que par la société, qui finissent dans la délinquance. Et cet abandon par la société suppose qu'il serait possible de l'éviter, de traiter le problème dès sa base, par un accompagnement et de la prévention. Mais ça suppose aussi que c'est un peu la responsabilité de chacun, c'est pour ça que c'est un peu dur à entendre.

On a aussi une critique assez évidente de la police coréenne, qu'on retrouve d'ailleurs dans pas mal d'œuvres littéraires et cinématographiques de ce pays (ça m'a notamment fait penser au film "Mother" de Bong Joon-ho). C'est intéressant, car ça permet de mieux comprendre ce pays et les problèmes de sa justice, mais ce n'est malheureusement pas vraiment transposable à un autre pays. On pourrait très bien critiquer la police de nos pays occidentaux, mais on ne pointerait pas forcément les mêmes défauts. Alors que sur le thème de la peine de mort, on retrouve les mêmes constats, les mêmes enjeux, les mêmes questions, les mêmes débats, les mêmes émotions partout. L'universalité de ce livre est une vraie force, je pense.

Après, j'ai néanmoins trouvé que le livre manquait un poil d'originalité. Bon, déjà la fin est ultra prévisible, mais ça me gène pas trop au vu du thème. Ce qui m'a plutôt gêné, c'est la construction globale du livre, qui est franchement déjà vue. On utilise trop de ficelles scénaristiques toutes faites. Le parallèle entre les deux personnages que tout oppose, l'un suicidaire, l'autre condamné à mort. Avec une évolution des personnages trop "parfaite", presque stéréotypée. Spoiler(cliquez pour révéler)La narratrice suicidaire n'a bien sûr plus envie de mourir et le vilain condamné à mort qui ne voulait pas de ces visites au départ, fini par les attendre impatiemment. Sans oublier le semblant de sentiment quasi-amoureux. La construction un chapitre au présent raconté par Yujeong - un chapitre au passé raconté par Yunsu - une citation, donne un coté trop régulier et un peu trop réfléchit au texte. J'ai trouvé que ça donnait un rendu global résolument fictionnel, à une histoire qui devrait pourtant sembler parfaitement réaliste, puisque la peine de mort est une réalité.

On aurait peut-être dû un peu plus insister sur le background des personnages (par exemple, ce que Yujeong a tiré de son voyage en Europe ou son passé de chanteuse) et également sur les personnages secondaires (la tante Monica, Monsieur Lee, le frère procureur,...). Je pense que ces éléments sont très originaux. Ce n'est pas des parcours de vie et des personnages qu'on a l'habitude de voir. Ou alors on les voit dans un autre contexte (un procureur dans un polar, ce n'est pas pareil qu'un procureur dans un livre sur la peine de mort !). Plus détaillé, ça aurait pu apporter ce coté singulier qui m'a un peu manqué.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par acsjg 2019-05-03T16:07:10+02:00
Or

J'ai bien aimé la construction du livre et l'écriture aussi. L'histoire est intéressante mais j'ai parfois eu du mal à comprendre la personne qui raconte l'histoire, son raisonnement et ses actions. Mon personnage préféré a été la tante, j'ai bien aimé sa force d'esprit et sa capacité d'incarner totalement son rôle de soutien pour les prisonniers, sans les forcer dans la foi. C'est assez dur de compatir avec le condamné, on se révolte contre ses conditions de détention mais il est difficile de lui pardonner ses actes, malgré ce qu'on apprend sur son enfance.

Le plus intéressant, c'est de découvrir un pan de la Corée du Sud et de sa société qu'il est impossible de découvrir en visitant le pays ou en lisant des guides. Je ne connaissais pas du tout le système carcéral coréen et j'ai appris des choses sur ce point grâce à ce livre.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2017-03-19T11:56:10+01:00
Argent

Très bon livre sur le thème de la peine de mort. Avec des mots simples, un style pédagogue et sans ton condescendant ou moralisateur, l'auteur propose une réflexion vraiment complète. On ne reste pas dans un seul domaine d'étude. On donne des éléments aussi bien sociologiques que juridiques ; et même des éléments issus de la philosophie ou du dogme catholique (le pardon et le rachat de ses péchés notamment). On joue également beaucoup sur l'aspect émotionnel. On donne un visage, un nom, une histoire, à un condamné à mort, pour créer une empathie, ça me semble être le petit plus d'un roman par rapport à un essai sur ce thème. On traite le thème sous tellement d'angles différents, qu'il est impossible qu'aucun de ces aspects ne vous touche.

Spoiler(cliquez pour révéler)Il y a juste un élément que j'ai trouvé un peu dommage : on a choisi de montrer une personne condamnée à tord. Yunsu endosse la responsabilité des crimes de son complice. C'est donc une erreur judiciaire. Je pense qu'on est tous d'accord sur le fait qu'il faudrait juste être débile, pour ne pas avoir de la pitié pour une personne condamnée à mourir alors qu'elle n'a rien fait ! Mais je pense que le roman aurait été plus percutant s'il avait réussi à nous faire ressentir la même pitié, la même empathie, pour un coupable. Car c'est là tout l'enjeu du débat. Tout le monde est d'accord sur le fait qu'il ne faille pas tuer des innocents. Tout le monde n'est pas d'accord sur le fait qu'il ne faille pas tuer des coupables.

L'auteur arrive même à élargir sur la criminalité en général, ce qui me semble plus que pertinent. C'est agréable de lire pour une fois quelqu'un qui, sans stigmatiser, ne se voile pas la face : il y a des milieux où les personnes sont plus sujettes à devenir des criminels que d'autres. La violence appelle la violence. Et peu importe sa forme, ça peut être une violence physique, une violence sociale, une violence émotionnelle.

On montre parfaitement le fait qu'il y ait peu de 'messieurs tout le monde' qui deviennent des criminels. C'est essentiellement des personnes pauvres, abandonnées aussi bien par leurs proches que par la société, qui finissent dans la délinquance. Et cet abandon par la société suppose qu'il serait possible de l'éviter, de traiter le problème dès sa base, par un accompagnement et de la prévention. Mais ça suppose aussi que c'est un peu la responsabilité de chacun, c'est pour ça que c'est un peu dur à entendre.

On a aussi une critique assez évidente de la police coréenne, qu'on retrouve d'ailleurs dans pas mal d'œuvres littéraires et cinématographiques de ce pays (ça m'a notamment fait penser au film "Mother" de Bong Joon-ho). C'est intéressant, car ça permet de mieux comprendre ce pays et les problèmes de sa justice, mais ce n'est malheureusement pas vraiment transposable à un autre pays. On pourrait très bien critiquer la police de nos pays occidentaux, mais on ne pointerait pas forcément les mêmes défauts. Alors que sur le thème de la peine de mort, on retrouve les mêmes constats, les mêmes enjeux, les mêmes questions, les mêmes débats, les mêmes émotions partout. L'universalité de ce livre est une vraie force, je pense.

Après, j'ai néanmoins trouvé que le livre manquait un poil d'originalité. Bon, déjà la fin est ultra prévisible, mais ça me gène pas trop au vu du thème. Ce qui m'a plutôt gêné, c'est la construction globale du livre, qui est franchement déjà vue. On utilise trop de ficelles scénaristiques toutes faites. Le parallèle entre les deux personnages que tout oppose, l'un suicidaire, l'autre condamné à mort. Avec une évolution des personnages trop "parfaite", presque stéréotypée. Spoiler(cliquez pour révéler)La narratrice suicidaire n'a bien sûr plus envie de mourir et le vilain condamné à mort qui ne voulait pas de ces visites au départ, fini par les attendre impatiemment. Sans oublier le semblant de sentiment quasi-amoureux. La construction un chapitre au présent raconté par Yujeong - un chapitre au passé raconté par Yunsu - une citation, donne un coté trop régulier et un peu trop réfléchit au texte. J'ai trouvé que ça donnait un rendu global résolument fictionnel, à une histoire qui devrait pourtant sembler parfaitement réaliste, puisque la peine de mort est une réalité.

On aurait peut-être dû un peu plus insister sur le background des personnages (par exemple, ce que Yujeong a tiré de son voyage en Europe ou son passé de chanteuse) et également sur les personnages secondaires (la tante Monica, Monsieur Lee, le frère procureur,...). Je pense que ces éléments sont très originaux. Ce n'est pas des parcours de vie et des personnages qu'on a l'habitude de voir. Ou alors on les voit dans un autre contexte (un procureur dans un polar, ce n'est pas pareil qu'un procureur dans un livre sur la peine de mort !). Plus détaillé, ça aurait pu apporter ce coté singulier qui m'a un peu manqué.

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Commentaire ajouté par Soumsoum 2016-12-24T18:10:05+01:00
Diamant

Ce roman n'est pas assez connu. Pour moi, il devrait être lu par plus d'un ! Peut-être que je suis ainsi parce que le message est noble, que l'auteure dénonce la peine de mort en transmettant énormément les sentiments des personnages. J'avoue que ce livre m'a beaucoup touchée, et que j'en ai bien pleuré.

Deux personnages - une femme qui a fait plusieurs tentatives de suicide, et un homme qui est condamné à mort.

Quand la tante de notre jeune femme - qui est une sœur catholique - propose à sa nièce Yujeong de l'accompagner rendre visite chaque jeudi à un prisonnier - elle accepte. Et c'est là qu'elle rencontre Yunsu, condamné à mort, avec qui elle partagera ses secrets, son histoire, et écoutera le récit de la vie profonde de ce jeune homme - brisé à tout jamais.

Ce que j'ai retenu de ce livre - ne pas juger des personnes avec ce que l'on entend d'eux, ou ce que l'on croit savoir grâce aux ragots, de toujours leur accorder leur chance, parce que certains êtres que l'on croit des plus mauvais dans un premier temps, peuvent nous toucher au plus profond de nous.

Dès le départ, nous savons ce qui va arriver, nous suivons simplement le récit, nous en apprenons plus sur Yunsu - le condamné à mort, et Yujeong - la nièce de la bonne sœur.

Leurs histoires respectives et communes m'ont fendues le cœur, marquées à jamais. Pour moi, ce roman fut une addiction effroyable, et dès les premier chapitre, je savais qu'il ne quitterait jamais mon cœur.

Le nombre de larmes que j'ai libéré en refermant ce roman. Et le message que ce roman dénonce est bien passé.

Je suis vraiment sincère quand je dis que ce roman m'a marquée à jamais. C'est une pépite d'or... Que dis-je ? Un diamant des plus gros.

Je vous le recommande vivement.

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Commentaire ajouté par petitemaud01 2016-06-16T09:46:35+02:00
Diamant

J aime beaucoup les livre japonais; coréen et je suis tombé sur cette perle si il y a une chose que j adore (non je ne suis pas maso ) c est quand un livre me fait pleurer et celui là ma fait verser des larmes une magnifique histoire une jeune fille issu d'une famille riche et un jeune délinquant pauvre ce rencontre à la maison d aret quand la tante de yuejong la force à venir rendre visite à des prisonniers condamné à mort.

Au début yuejong ne vient que par ce qu elle n'as pas le choix mais au fil du temps une amitié va ce créé entre elle et yunsun alors que rien ne les rapproche sauf peut être leurs envie de mourire ....

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Commentaire ajouté par cookies72 2014-10-26T06:22:11+01:00
Diamant

Je savais qu'une pépite était cachée à l'intérieur. J'aime énormément les livres des auteurs asiatiques. Et, avec "Nos jours heureux", même des jours après avoir refermé ce livre, j'en suis encore bouleversée.

Il existe des livres que vous garderez en mémoire tout au long de votre vie. Ce fut le cas pour "L'élu" de Chaïm Potok que j'ai lu une première fois lorsque j'étais adolescente et que j'ai relu de nombreuses fois encore. Ce sera le cas pour "Nos jours heureux" également. Ce livre est un diamant d'une pureté incroyable. Un coup de coeur foudroyant!

Corée du Sud, 1997: Yujeong est une jeune femme dévastée qui ne trouve pas sa place dans cette famille si "parfaite", cette famille dont les fils réussissent et ont une profession exemplaire. Dans cette famille où la mère est cinglante et froide envers Yujeong. Dans cette famille où l'on impose, décide pour elle. Yujeong est à fleur de peau, elle a subi une tragédie à 15 ans dont elle seule sait l'existence. Son souhait est tout simplement de mourir...

Yunsu lui est condamné à mort, il attend son exécution. Il est accusé d'avoir tué 3 personnes en compagnie d'un autre homme. Et pourtant Yunsu n'est pas l'être horrible, abjecte que l'on pourrait croire. Lorsqu'on entre dans son passé, tout n'est que douleur, peine, rejet, malheur. Yunsu aurait pu évoluer d'une façon différente si "une bonne fée" s'était penchée sur son berceau!

La prison en Corée du Sud à ce moment-là n'est pas ce que nous connaissons. C'est devoir avoir les mains attachées 24 heures sur 24 à la taille (ne plus savoir tendre les bras) que ce soit pour manger, dormir, ... C'est devoir avoir de l'argent (et donc une famille derrière soi) pour acheter des vêtements. C'est avoir droit à une douche par semaine. Et c'est ne pas connaître la date de son exécution!

Lorsque Yujeong tente de se suicider pour la troisième fois, sa tante Monica qui est une "soeur catholique" intervient et lui propose un marché: soit de l'accompagner une fois par semaine en prison pour rendre visite à un condamné - soit de passer un mois dans l'hôpital psychiatrique de son oncle. Le choix pour Yujeong est vite fait.

Une rencontre improbable qui n'aurait pas eu lieu en temps normal car rien ne prédisposait Yujeong de rencontrer Yunsu. Deux écorchés de la vie, deux êtres torturés qui n'attendent que la mort. Une histoire de pardon, d'humilité, de culpabilité, de sagesse, d'émotion. Un splendide coup de coeur!

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Date de sortie

Nos jours heureux

  • France : 2016-01-07 - Poche (Français)

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