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Extrait ajouté par LiliMatoline 2020-01-29T09:10:24+01:00

Chapitre 3 : L’Argentine

Andréas

«— Tu savais ! accusé-je mon ami et colocataire, au petit déjeuner, une tasse de café à la main. C’est pour ça que tu te marrais ! Tu savais déjà qui était la fiancée de mon frère puisqu’elle bosse avec toi !

— Et, accessoirement, on est amis aussi. C’était trop tentant de voir ta tête ! D’ailleurs, ça valait le détour. Encore mieux que ce que je pensais. Tu ne pouvais pas plus te tromper, niveau prédictions, madame Irma. Comment disais-tu déjà ? Ah oui « toujours bien baisables mais pas très fines en général » et tu as employé aussi l’expression « Barbie Chirurgie Esthétique ». T’as juste bon pour la couleur de cheveux et le fait qu’elle soit hyper bien roulée, je le reconnais ! Mais pour le reste… se moque Wyatt.

— La ferme putain ! Si vous êtes amis, comment ça se fait qu’elle ne savait pas pour notre colocation ?

— Elle n’est jamais venue ici. Quand on se voit en dehors du boulot, c’est toujours dans les bars ou en boîte. En tout cas, je me suis bien marré !

— Arrête, la situation est encore plus tordue que tu ne le penses, soupiré-je en passant ma main sur mon visage. La fille de l’Argentine… c’était elle.

— Celle avec qui t’as eu une histoire ? Celle qui t’a retourné le cerveau ?

— Nan, je te parle de la voisine du dessous, m’agacé-je.

— Qui a un cul splendide, soit dit en passant. Blague à part, tu veux donc dire que cette fille-là, c’était Faust ?

— Affirmatif. Et elle est sur le point d’épouser mon frère.

Sa grimace fait écho à la mienne

— Il n’est pas fait pour elle, ajoute Wyatt.

— Clairement. Sa carrière avant tout, une bonne petite épouse au foyer qui s’occupe de la maison… Faustine n’est pas faite pour cette vie-là. C’est une créative, elle est pleine de vie, pétillante et drôle. Elle va finir par s’étioler.

— On est au moins d’accord sur ce point. Tu l’aimes toujours ? Et n’essaie même pas de me prendre pour un con. Je veux la vérité.

Je reste la bouche ouverte, coupé dans mon élan. Livrer ce que je ressens m’est vraiment difficile.

— Je suis… soufflé-je, dépassé par la situation. Je veux dire… quand je suis retourné à l’hôtel, elle avait pris toutes ses affaires. Je n’ai pas réussi à la joindre, j’ai fini par me faire une raison et voilà que je la retrouve au bras de mon frère, prête à l’épouser ! Juste la revoir, son contact, sa voix, son parfum, ça a réveillé tout ce que j’ai essayé d’oublier ces dernières années et, là, tout me revient d’un coup. C’est comme prendre une vague en pleine gueule. Je suis énervé de ne pas avoir pu m’expliquer avec elle, mais c’est surtout ce mariage qui me fout en l’air ! Comment ça a pu arriver, et comment je peux ressentir encore ces émotions après toutes ces années ?! C’est quoi le truc, je vais devoir regarder Ed roucouler avec la femme que j’aime, celle qui devrait être dans ma vie ? ...»

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Extrait ajouté par LiliMatoline 2020-01-29T09:10:04+01:00

Chapitre 2 : Retrouvaille inattendue

Faustine

«… Nous trinquons ensemble et tandis que je trempe mes lèvres dans mon verre, ma belle-mère interroge Andréas sur son retour.

— Tu es bien installé, mon chéri ?

— Tu sais, je ne suis arrivé qu’aujourd’hui, je n’ai même pas encore pu déballer mes affaires, se moque Andréas. Mais je vais avoir tout le temps pour m’en occuper.

— Quand repars-tu ? demande Rodrick.

— Je viens de revenir et vous voulez déjà me voir partir ? relève-t-il, amusé.

— Absolument pas ! s’offusque Camille.

Rodrick saisit sa main pour la tempérer.

— Ta mère et moi ne sommes pas dupes, nous nous doutons que tu repartiras aussitôt le mariage passé.

— En réalité, je songe à m’établir de nouveau à Paris, lâche-t-il en me fixant droit dans les yeux.

Son regard insistant me met mal à l’aise.

— C’est une excellente nouvelle, se réjouit Camille, enthousiaste.

— Que comptes-tu faire à présent ? l’interroge Édouard.

— Je n’y ai pas encore réfléchi, mais il me reste, avant votre mariage, deux mois pour trouver, non ?

— Cinquante jours, claqué-je ...»

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Extrait ajouté par LiliMatoline 2020-01-29T09:09:48+01:00

La tension sexuelle entre nous augmente encore lorsque nous entrons dans l’ascenseur. Je n’ai encore rien dit, rien fait, et pourtant j’ai l’impression qu’il suffirait d’une toute petite étincelle pour qu’on s’enflamme. Faustine vient se coller à moi, me plaquant contre la paroi de la cabine d’ascenseur et me soutire un baiser scandaleusement bandant. Sa bouche revendique la mienne, ses mains sont posées sur ma nuque, ses hanches sont plaquées contre mon bassin.

– Bon sang, Faustine, je fais ce que je peux depuis tout à l’heure pour ne pas te sauter sur la plage arrière de ma voiture, mais là, tu ne m’aides vraiment pas à garder mon self-control.

– Alors abandonne, susurre-t-elle, lascive, au creux de mon oreille, tout en me mordillant le lobe.

– Et puis merde ! capitulé-je.

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