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Notre mère la guerre, Tome 1 : Première complainte



Description ajoutée par Lilou 2010-10-18T19:47:11+02:00

Résumé

Janvier 1915 : trois femmes sont tuées sur le front. Sur chacune des victimes, une lettre d'adieu, écrite par leur meurtrier. Et si c'était la guerre elle-même qu'on assassinait ? Après Un Homme est mort et Coupures irlandaises, le nouveau grand récit de Kris ! Maël: la révélation exemplaire d'un dessinateur qui joue désormais dans la cour des grands!

Janvier 1915, en Champagne pouilleuse. Cela fait six mois que l'Europe est à feu et à sang. Six mois que la guerre charrie ses milliers de morts quotidiens. Mais sur ce lieu hors de raison qu'on appelle le front, ce sont les corps de trois femmes qui font l'objet de l'attention de l'état-major. Trois femmes froidement assassinées. Et sur elles, à chaque fois, une lettre mise en évidence. Une lettre d'adieu. Une lettre écrite par leur meurtrier. Une lettre cachetée à la boue de tranchée, sépulture impensable pour celles qui sont le symbole de la sécurité et du réconfort, celles qui sont l'ultime rempart de l'humanité. Roland Vialatte, lieutenant de gendarmerie, militant catholique, humaniste et progressiste, mène l'enquête. Une étrange enquête. Impensable, même. Car enfin des femmes... c'est impossible. Inimaginable. Tout s'écroulerait. Ou alors, c'est la guerre elle-même qu'on assassine...

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Classement en biblio - 18 lecteurs

extrait

Temps de merde !

Ce bled sert de chiottes au ciel, c'est pas possible !

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Commentaires récents

Or

Comment aborder la Der des Ders, la Grande Guerre, d’une autre manière ?

Comment nous faire traverser les tranchées, aborder le No man’s land, éviter les corps morts, patauger dans la boue, bref, comment nous faire revivre cela une fois de plus sans que cela fasse déjà-vu ?

Non pas que je sois blasée, c’est impossible, il y a tant à dire, mais je connais les gens, il le sont vite, eux, blasés.

Il suffisait d’y penser : nous faire entrer dans la Grande Guerre à reculons, à petits pas, puisque nous enquêterons avec le lieutenant de gendarmerie Roland Vialatte sur des meurtres de femmes commis non loin des tranchées, dont un dans une tranchée.

On a bien fusillé un soldat qui avait eu des mots avec la première victime, sans sa poser la question de savoir s’il était coupable ou non, fallait juste un exemple, un mort pour prouver aux autres que les chefs, c’étaient pas eux et qu’ils avaient intérêt à se tenir à carreau, nom de dieu.

Pas de bol, juste après avoir fusillé le coupable, d’autres meurtres de femmes ont eu lieu… Alors, on fait venir un gendarme pour enquêter, sans doute pour éviter d’en fusiller encore, des innocents à grande gueule.

L’album commence lui-même d’une manière non conventionnelle : un soldat chantonne ♫ Je suis petit oiseau, c’est la faute à Rousseau ♪ alors qu’il est blessé gravement par des balles, puis, on avance dans le temps (1935) et on passe sur le lit de mort d’un certain Roland qui nous raconter une histoire…

Le scénariste a fait en sorte de nous plonger de manière réaliste dans la Première Guerre Mondiale, avec ses soldats dont certains étaient fait de bric et de broc, sortis des prisons, ou alors des gamins encore humides derrière leurs oreilles…

Entre les gradés qui se planquent, qui ne risquent rien mais qui jouent avec la vie de leurs soldats, pour quelques arpents de terre Française, le froid, la boue, la pluie, le manque de sommeil, la folie qui guette chacun, le tout passera dans le récit, faisant de Roland un spectateur malgré lui, lui qui est resté à l’arrière pendant que d’autres mourraient devant.

Des dessins qui sont des aquarelles, ça donne une majesté à un récit qui n’avait besoin que de ça pour se sublimer encore un peu plus. J’ai même eu l’impression que, une fois de plus, l’enquête n’était qu’un prétexte pour dénoncer les imbécilités et les horreurs qui eurent lieu durant celle que l’on pensait être la dernière.

L’ambiance n’est pas aux tons chaleureux, vous vous en doutez, le tout est dans des gris froids, glacés. Normal, il fait un temps à ne pas mettre un Poilu dehors, ni même un casque à pointe.

Sans en faire des tonnes, avec peu de mots, mais des mots justes, qui claquent comme les balles des Fritz d’en face, les auteurs nous montrent toute la brutalité et les abominations de cette guerre de tranchée, comme si vous y étiez.

Un premier tome qui met la barre très haut, des crimes toujours pas résolus, même si on a un poilu hautement bizarre qui m’a tout l’air d’être LE meurtrier, sauf si je me trompe et je parie que je me plante royalement.

Bon, le suspense est à son comble, les tripes sont nouées, pari réussi de me donner des sueurs froides et de faire passer des meurtres de femmes au second plan, quasi. Il ne me reste plus qu’à me jeter sur les tomes suivants.

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Lu aussi

Bon la BD c'est pas mon truc.

J'ai apprécié ici les dessins qui sont percutants et très réalistes. On y voit la guerre comme si on y était.

Mais ce scénario m'a paru tout à fait insolite. Envoyer le lieutenant Vialatte enquêter dans les tranchées sur les assassinats de jeunes femmes dans le même périmètre, ça me semble abérant.

Croyez-vous qu'il n'y a pas d'autres chats à fouetter ?

Enfin, on fait ici la connaissance d'une escouades de gamins tous enrôlés comme ayant 21 ans alors qu'ils en ont 16 ou 17. On les a sortis de leur prison pour en faire de la chair à pâté et ils sont fortement soupçonnés de ne pas être étrangers aux crimes.

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Date de sortie

Notre mère la guerre, Tome 1 : Première complainte

  • France : 2009-09-17 (Français)

Activité récente

Edo l'ajoute dans sa biblio or
2020-04-05T16:02:52+02:00
Finn l'ajoute dans sa biblio or
2018-02-25T17:56:37+01:00

Évaluations

Editeurs

Les chiffres

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Note globale 7.6 / 10

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