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Extrait ajouté par anonyme 2023-07-22T05:37:08+02:00

"Quel naïf, ce pauvre Robert", pensa François qui tenait à son amertume. Ils retournent sans un mot vers leurs chambres étouffantes. Robert passe par les cabinets et François par la salle de bains, pour laver des mains qui n'ont jamais été aussi propres depuis l'été dernier.

Il retrouve ses livres ouvert à la bonne page. Leur fidélité et sa propre conscience l'exaspèrent : sa main connaît en aveugle l'épaisseur de chacun et le grain de sa couverture ; et son oeil sait la disposition, la tache de chaque page.

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Extrait ajouté par anonyme 2023-05-04T09:04:48+02:00

"Quel naïf, ce pauvre Robert", pensa François qui tenait à son amertume. Ils retournent sans un mot vers leurs chambres étouffantes. Robert passe par les cabinets et François par la salle de bains, pour laver des mains qui n'ont jamais été aussi propres depuis l'été dernier.

Il retrouve ses livres ouvert à la bonne page. Leur fidélité et sa propre conscience l'exaspèrent : sa main connaît en aveugle l'épaisseur de chacun et le grain de sa couverture ; et son oeil sait la disposition, la tache de chaque page.

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Extrait ajouté par anonyme 2023-02-06T07:20:21+01:00

"Quel naïf, ce pauvre Robert", pensa François qui tenait à son amertume. Ils retournent sans un mot vers leurs chambres étouffantes. Robert passe par les cabinets et François par la salle de bains, pour laver des mains qui n'ont jamais été aussi propres depuis l'été dernier.

Il retrouve ses livres ouvert à la bonne page. Leur fidélité et sa propre conscience l'exaspèrent : sa main connaît en aveugle l'épaisseur de chacun et le grain de sa couverture ; et son oeil sait la disposition, la tache de chaque page.

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Extrait ajouté par anonyme 2022-12-11T12:06:10+01:00

"Quel naïf, ce pauvre Robert", pensa François qui tenait à son amertume. Ils retournent sans un mot vers leurs chambres étouffantes. Robert passe par les cabinets et François par la salle de bains, pour laver des mains qui n'ont jamais été aussi propres depuis l'été dernier.

Il retrouve ses livres ouvert à la bonne page. Leur fidélité et sa propre conscience l'exaspèrent : sa main connaît en aveugle l'épaisseur de chacun et le grain de sa couverture ; et son oeil sait la disposition, la tache de chaque page.

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Extrait ajouté par rabanne73 2022-09-22T10:02:36+02:00

La médiocrité n'est pas un abîme ; seulement un sentier étroit à flanc de désespoir.

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Extrait ajouté par anonyme 2021-12-13T07:01:28+01:00

"Quel naïf, ce pauvre Robert", pensa François qui tenait à son amertume. Ils retournent sans un mot vers leurs chambres étouffantes. Robert passe par les cabinets et François par la salle de bains, pour laver des mains qui n'ont jamais été aussi propres depuis l'été dernier.

Il retrouve ses livres ouvert à la bonne page. Leur fidélité et sa propre conscience l'exaspèrent : sa main connaît en aveugle l'épaisseur de chacun et le grain de sa couverture ; et son oeil sait la disposition, la tache de chaque page.

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Extrait ajouté par anonyme 2021-12-13T05:39:32+01:00

Un cœur pur, en tout cas, le spectateur qui songeait à se moucher en un moment pareil ! Car les douze prêtresses, vivants pétales, se penchaient en arrière et révélaient, sans s'en douter, l'obscur fossé entre leurs seins... Sensationnel ! Alain en avait chaud.

Quand le rideau se baissa et que la lumière passa de la scène à la salle, les garçons virent en effet le crâne de M. Plâtrier à quelques rangs devant eux. Il se levait, à présent, dépliait son corps immense, traînait vers la porte, avec mille précautions, ses pauvres pieds informes.

"Suivons-le !"

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Extrait ajouté par anonyme 2021-12-12T18:08:36+01:00

Ils allaient en silence sous la lumière lunaire qui tombait des protecteurs hautains. Grues, transbordeurs, hangars : tout ce métal devenait froid avec la nuit, et la mer, dans ses prisons de pierre, paraissait noire et cruelle, venin des poulpes. Alain frissonna.

"Regardez ! fit soudain M. Meunier. C'est elle..."

Sur le large arrière d'un cargo, le garçon lut marie-julienne en lettres d'or. Mais, se fût-il appelé sergent oudart, M. Meunier eût encor dit elle avec la même tendresse.

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Extrait ajouté par anonyme 2021-12-11T07:51:35+01:00

Ah, c'est bête les Grands ! Dans huit jours ? Mais il n'y avait qu'à regarder l'hébétude des autres, l'herbe vieillie, ce soleil de théâtre qui éclairait sans chauffer, ce ciel déjà distant : allons c'était l'automne ! Et le vent, par instants... tiens, en ce moment même dans les cheveux de son frère ! Mais les Grands ne comprennent rien. "Dans huit jours..." Robert avait-il donc déjà oublié que les vacances commencent une semaine avant la Sortie et se termine une semaine avant la Rentrée ?

François visa de l'œil gauche "méthode Pascal Delange) et lança le marron.

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Extrait ajouté par BMT33 2020-01-30T10:19:50+01:00

"Tu es triste ? demanda brusquement le voisin de François.

- Tout est triste, répondit le garçon en désignant le paysage, tout est mort.

- Mort ? (Les deux yeux naufragèrent de rire.) Tu ne sais donc pas voir ? Hop ! regarde le nid, là-haut... Ils seront au moins cinq, là-dedans au printemps ! Et, au pied de l'arbre, ce trou : faudrait pas fouiller loin pour trouver une famille de lapins ! bien vivants, crois-moi !"

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