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Nous étions les Mulvaney



Description ajoutée par chantwal 2010-02-25T20:01:06+01:00

Résumé

Mont-Ephraim, petite ville des Etats-Unis située dans l'Etat de New York, vit une famille pas comme les autres : les Mulvaney. Au milieu des animaux, ils cohabitent dans une ferme respirant le bonheur, où les corvées elles-mêmes sont vécues de manière cocasse, offrant ainsi aux autres l'image d'une famille parfaite, comme chacun rêverait d'en avoir. Jusqu'à cette nuit de 1976 où le rêve vire au cauchemar... Une soirée de Saint-Valentin arrosée. Un cavalier douteux. Des souvenirs flous et contradictoires. Le regard des autres qui change. La honte et le rejet. Un drame personnel qui devient un drame familial. En dressant le portrait de la dissolution d'une famille idéale, Joyce Carol Oates épingle l'hypocrisie d'une société où le paraître règne en maître et érige en roi les princes bien pensants ; où un sourire chaleureux cache souvent un secret malheureux ; où il faut se taire, au risque de briser l'éclat du rêve américain.

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Classement en biblio - 68 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par catf 2022-08-28T10:13:42+02:00

"Dieu culmine dans le moment présent et ne sera jamais plus divin"... une citation de Henry David Thoreau ? Elle aurait pu être d'Abelove. Le passé n'était pas urgent, le présent, si. Le passé ne peut être changé, le présent est encore en train de se faire.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par catf 2022-08-28T15:29:53+02:00
Pas apprécié

Ce fut lent, périlleux et méprisable.

Je m’explique, la victime devient coupable. Le silence est parfois plus facile que d’affronter les regards.

Les longueurs de l’ouvrage sont assourdissantes et sans intérêt pour l’histoire.

Ce serait le meilleur roman de Joyce Carol Oates est bien, il vaut mieux pour moi, arrêtés là…

Cette grande famille si proche… m’a rappelé la mienne…. L’absence…

Enfin, c’est peut-être cela qui m’a tellement agacé, un faux semblant, une famille imaginaire, un voile blanc sur des photos en couleurs…

Je lirai d’autres livres de cette auteure… Devinez pourquoi ??? Ma pale en est pleine… :-)…

Bonne lecture

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Lu aussi

J'adore Joyce Carol Oates de base et ce livre aurait franchement pu être un coup de coeur..malheureusement j'ai deviné tout le déroulement de l'histoire assez rapidement et donc arriver à la moitié je m'ennuyais ferme.

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Or

Premier livre que je lis de cette auteure et certainement pas le dernier. Sa plume est agréable à lire, l'atmosphère, les personnages sont dépeints d'une manière qui m'a vraiment donné l'impression d'être parmi eux, complètement immergée dans leur vie. Un livre qui m'a tour à tour procuré un sentiment de révolte, de tristesse, colère, compassion...Joyce Carol Oates ne fait pas dans les lieux communs et les clichés et c'est ce que j'ai apprécié le plus dans cette lecture.

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Or

Nous sommes dans une famille nombreuse, bruyante et aimante dans les années 60-70 : Corinne, la mère, Michael, le père et leurs quatre enfants : Mike, Patrick, Marianne : la douce et belle Marianne et Judd, le petit dernier, qui, devenu adulte sera le narrateur de cette histoire. Tout le monde vit dans cette ferme idyllique, entouré d'animaux et de gentils amis et voisins. Puis, au bout de 50 pages, en ce jour de St Valentin 1976, le drame est posé. La douce Marianne est violée. Là on se dit, il reste plus de 600 pages à lire, JCO est friande de tous les détails, parfois, pas toujours utiles, par exemple, la première vente aux enchères de Judd, les pendules de Corinne… Mais cela fait le charme et l'attirance de la ferme des Mulvaney. Il y a la famille Mulvaney avant, tout est beau, tout fonctionne bien, l'auteure nous décrit par une multitude de détails ce qui a rendu heureux chaque membre de cette famille. Faisant des aller-retour dans le temps. La famille américaine classique, très croyante, papa travaille, maman règne heureuse sur sa belle et grande famille, et tout est très bien ainsi.

Puis la famille Mulvaney, après le drame. On peut penser alors : l'union fait la force. Mais c'est l'inverse, tout d'abord dans l'expectative, à une époque où on ne parle pas de soutien psychologique après une agression, chacun est dans sa bulle et vit ce drame et sa dérive. Marianne, la principale concernée, très croyante tout comme sa maman, est dans une attitude typiquement judéo-chrétienne, soutenant que c'est sa faute, sa plus grande faute. Corinne sa mère l'accompagne mais elle est totalement dépassée. Le père avoue « Marianne m'a volé mon coeur », mais, la simple présence de sa fille lui devient intolérable et Marianne doit partir, elle n'aura plus que des relations épisodiques avec sa famille et se reconstruira seule. Mike, l'aîné s'engagera dans l'armée, sa façon de tourner la page. Patrick, le second, le surdoué, s'éloignera, mais sera le seul à vouloir venger sa soeur, il réussira et fuira.

C'est un très bon livre, certes pas vraiment gai, mais addictif, une fois dedans, on ne décroche plus, malgré les longueurs habituelles de l'auteure.

Ils étaient les Mulvaney

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Commentaire ajouté par iletristan 2018-10-14T23:46:58+02:00
Argent

A High Point Farm, vivent heureux Michael et son épouse Corinne. Ils y élèvent leurs quatre enfants, entourés de chiens, de chats, de chevaux... Michael, couvreur de métier, s’est forgé une image de respectabilité et son rêve d’appartenir à la haute société de Mont Ephraim s’est réalisé quand il a été accepté au Country Club. Corinne s’épanouit dans sa ferme parmi ses enfants, ses animaux et surtout son bric à brac que constitue la brocante installée dans une grange. Les enfants sont chacun dans leur domaine des exemples de réussite. Respectés, respectables, sans défaut, ils représentent la famille parfaite, pleine de joie, de bonne humeur, de bonheur. Jusqu’à la fête organisée par le lycée à la Saint Valentin où se rend Marianne, la si jolie fille de la famille Mulvaney. Au bal du lycée, elle finira dans la boue, violée par un camarade de classe de son frère aîné. Alors qu’elle refuse de porter plainte, la famille va réagir chacun à sa manière. Entre le père qui ne peut plus regarder sa fille et qui se met à dos la bonne société de Mont Ephraim, la mère qui éloigne sa fille de la maison pour préserver son mari, le fils aîné qui s’engage dans l’armée, le deuxième qui tient sa vengeance, et le petit dernier qui parle de sa famille et essaie de comprendre pourquoi on tait ce qui est arrivé et s’il faut en parler, on dit “ça”.

Comment lorsqu’il arrive l’innommable dans une famille heureuse, tout s’effrite. Une descente irrépressible de l’échelle sociale. Drame psychologique pour chaque membre de la famille Mulvaney, séparé des autres dans son combat. Critique de la bonne société américaine où le paraître prime sur la valeur réelle de l’humain, où chacun se doit d’être lisse, impeccable et surtout bien cacher ses secrets.

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Commentaire ajouté par Zorgloub 2016-10-21T19:21:07+02:00
Bronze

On y retrouve tout ce qui fait le sel de Joyce Carol Oates mais le roman tend à s'enfermer dans le contemplatif, parfois touchant à la niaiserie... Mais les sentiments restent purs et tranchants

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Commentaire ajouté par Missnefer 2016-03-16T21:13:01+01:00

Tout est dans le titre, en quelques mots tout est dit. le narrateur Judd dernier de la fratrie nous conte l'histoire de sa famille, enfin par intermittence . Une famille, un nom dans le comté reconnue, admirée enviée, jusqu'au jour... du drame.

Les chroniques de ce roman sont très élogieuses, pour autant contrairement a la majorité des lecteurs, je n'abonderais pas dans ce sens. Serais je passée à coté de l'essentiel ?

De belles images de carte postale, une maison de conte de fées ( titre d'un des chapitres) des photos de tranches de vie toutes douces avant " çà " comme en parle cette belle famille parfaite, tous ces membres aimants et plus qu'aimés, jusqu'à la chute, la dislocation du clan , lié au drame ou à l'évolution de la cellule familiale, les enfants devenant adolescents avec leur propres pensées, rêves, puis adultes . Je m'interroge sur cet aspect comme sur le suivant, l'amour est il insuffisant face à l'adversité ,aux embuches de la vie ?

j'ai eu un mal fou à ne pas m'ennuyer et suivre cette tragique histoire, jusqu'à ce qu'au 3/4 du roman je sombre complétement,et que cette lecture devienne une corvée et que pour parvenir aux dernières lignes de cette LC avec Pat et Gaoulette, je saute de ci, de là , lignes et paragraphes ,malgré mes bonnes résolutions pour comprendre l'engouement pour ce roman. Comment est ce possible ?

Parce que vraiment non je n'y suis par parvenue du tout, mon avis mitigé en début de lecture, se termine par : seigneur c'est une catastrophe !

Personnellement j'ai trouvé la construction de l'histoire un peu décousue et par moment c'était Bébé/ ranger/ Judd le narrateur ( passages les plus faciles à lire et les plus plaisants) et à d'autres par je ne sais qui : l'auteur? Judd toujours ? ( ces parties là traitants des émotions et moments vécus par les autres protagonistes )

Nous assistons donc à des aller retour dans leur vie avec des petites chroniques, instants bonheur , il est vrai tous simples (pause repas familiale, distribution des corvées,..) comme quoi à cette époque il ne fallait pas grand chose pour être heureux, encore plus quand on est enfant. Mais c'est redondant avec des descriptions interminables de lieux, pensées, sentiments...

Le plus de ce roman, c'est cette vison du monde à travers le regard de Judd enfant, ses émotions qu'ils nous fait partager. Je pense que c'est ce qui fait le charme de cette aventure. Et si Judd nous avait narré toute cette histoire à travers sa vision d'enfant, je serais parvenue à me prendre au jeu.

On baigne dans une ambiance particulière, amour du prochain,la religion est très prégnante , croyances en ce que l'on mérite au point qu'au moment du drame Marianne bascule complètement dans le mystique, s'en est perturbant, avec ce sentiment de culpabilité, de victimologie trop présent.

"mon Dieu, je t'en prie, pas çà Je ne suis pas assez jeune, pas assez forte, cette fois"

Cette famille idéale, en totale immersion avec la nature, ce clan des Mulvaney n'est finalement pas ce qu'il parait , on note très vite un manque de communication, une volonté de ne pas faire de vagues et de taire l'indicible pour l'effacer complètement, comme pour se dire , non ceci n'est jamais arrivé (au point d'éloigner la responsable ,par amour? une manière de se déculpabiliser de n'avoir pu protéger cet enfant ?)

Malgré le travail de l'auteure qui s'efforce de développer la psychologie des personnages , je dois avouer, que malgré des personnalités très hautes en couleurs particulièrement Corinne, qui m'a fait assez souvent sourire (un temps, j'ai beaucoup aimé ce personnage loufoque) je n'ai pas vraiment réussi à adhérer à cette histoire, ni m'émouvoir pour cette famille, trop parfaite au prime abord qui finalement n'offre qu'une belle façade, parce malgré tous ces parfaits liens qui semblent indéfectibles , Marianne se retrouve totalement isolée, rejetée, subissant les décisions arbitraires de ces parents, et les acceptant, attendant l'heure du pardon.

Quel pardon bon sang ?

De ce fait ces parents m'ont un peu inspiré du dégout, (peut être autant que les vrais responsables )est-ce comme çà que se traduit l'amour que l'on porte à ses enfants ?

Oui l'auteur nous conte le délitement d'un clan, d'un esprit de famille dans une petite communauté rurale, régie par ses propres règles , dans le contexte social d'une époque, mise à ban d'un groupe, (à moins que ce ne soit le groupe lui même qui s'y soit mis ?) au point de le détruire et ce jusqu'à ce que bien des années plus tard il rebondisse. Pourra-t-il un jour relever la tête et ses membres et descendants se reconnaitre et dire: nous sommes les Mulvaney ?

C'est le final de cette histoire, un sujet très intéressant, tout comme ce besoin d'appartenance à un clan ... ce besoin de se reconnaitre dans une une même fratrie

Un résumé prometteur et une superbe couverture, mais pour autant ce fut une lecture laborieuse et chaotique, à laquelle j'ai pris peu de plaisir, voire pas.

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Commentaire ajouté par bloodymarie 2014-11-02T15:26:22+01:00
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Comment les non dits peuvent ruiner les relations entre des gens particulièrement unis...cette question est bien traitée , mais j'ai trouvé le style parfois difficile à suivre . Peut être cela tient il à la traduction.

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Commentaire ajouté par stephanius 2014-08-22T16:50:59+02:00
Bronze

C'est l'histoire de la vie. La vie qui passe pas toujours comme elle devrait. C'est aussi l'histoire de vies, celles des différents membres d'une famille autrefois unie.

Mais c'est l'histoire de la vie dure, cruelle,...

http://passion-des-livres.blog4ever.com/nous-etions-les-mulvaney

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Commentaire ajouté par Audreyy 2013-04-07T14:04:32+02:00
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On découvre une famille américaine unie et heureuse vivant dans une ferme à Mont Ephraim. Chaque personnage, chaque tableau de ce qu’ils ont vécu nous sont peints avec beaucoup de précision. Tellement que l’on a l’impression de se trouver là bas avec eux, de faire partie d’eux. Nous sommes dans les années 70 et une famille heureuse vit dans une ferme. Nous comptons six membres : Le père, la mère, Mike l’aîné, Patrick, Marianne et le petit dernier, Judd. Six membres sans compter les animaux : Chevaux, chiens, chats… On découvre pour commencer le tableau entier de la famille raconté par Judd qui est le narrateur de l’histoire. On découvre plusieurs bons souvenirs, de la vie qu’ils avaient avant. Avant le drame, avant l’évènement qui a chamboulé cette famille. C’est arrivé un soir en 1976. Le soir d’une Saint Valentin où Marianne s’est fait violer…

On assiste ensuite à la réaction de chacun des personnages. A la perte de cette famille si aimante. Chaque membre de la famille va réagir à sa manière. On découvre que ce drame ne touche pas uniquement Marianne. Mais c’est toute la famille qui souffre de ce qui s’est passé ce soir là. Le fils aîné fuit et ne donnera que rarement des nouvelles, Patrick le second réagit par la colère, il ne tolère pas ce que son père fait subir à Marianne, il ne tolère pas ce que Marianne a subi. En lui, née cette idée de vengeance… Et Judd, plus petit que les autres écoute, observe, tente de comprendre.. Marianne souffre à sa manière mais tente de rester forte. Envoyée loin de sa famille, elle continue d’avancer et attend le jour où on lui demandera de revenir..

C’est toute une famille qui baigne dans la souffrance que Joyce Carol Oates nous peint ici. Il ne faut pas vous attendre à un roman d’action car c’est très loin d’être le cas. Ici, c’est les personnages qui sont essentiels. Leurs sentiments face à un drame qui chamboule toute une vie. C’est un roman touchant et même bouleversant. C’est un roman qui touche par ce qu’il montre : les liens d’une famille, les liens fraternels… Tellement de choses dans un roman de presque 700 pages !

Un happy end est il possible pour la famille Mulvaney ? Il faudra le lire pour le découvrir !

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Date de sortie

Nous étions les Mulvaney

  • France : 2011-03-16 - Poche (Français)

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