Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
710 488
Membres
992 546

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

« Chaque Castien est à la recherche de son partenaire dès sa naissance. Tosk est le mien. Nous dirigeons ensemble, et nous combattons ensemble. Nous combattons dos à dos. Lorsque nous apprenons à être des guerriers, nous sommes liés à quelqu’un ; nous n’avons pas le choix. Ce n’est pas nous qui l’avons décidé, c’est notre instinct de survie. »

« Vous couchez ensemble ? » demanda-t-elle.

« Nous avons des quartiers séparés », répondit Rask.

« Non, bredouilla-t-elle, mal à l’aise. Je veux dire, est-ce que, tu sais, vous couchez ensemble ? »

Rask semblait perplexe. « Je te l’ai dit, nous dormons séparément. »

« Il n’y a pas de mal à ça », fit Grace.

« De mal à quoi ? »

« Que vous ayez des relations sexuelles ensemble », expliqua-t-elle. Rask inclina la tête de côté. « Grace, les hommes ici viennent juste d’arriver à maturité. Le mot que tu emploies, sexe, je ne suis pas sûr de savoir ce qu’il veut dire. J’imagine que c’est lié à notre masculinité. Je n’ai jamais utilisé ma masculinité. »

Afficher en entier

Rask l’entendait droit devant. Elle n’était pas très discrète. Elle ne semblait obéir à aucune tactique de repli. Elle fonçait au hasard dans tous les sens. Elle rebondit contre un arbre et dérapa sur un rocher. Puis elle trébucha et tomba face contre terre devant lui en essayant de changer de direction. Elle leva les yeux depuis l’endroit où elle était étalée à ses pieds, sa bouche forma un « O » et elle hurla avant de se relever et détaler de plus belle. Rask se gratta la tête, visiblement perplexe. Ses serres cliquetèrent contre sa cuirasse. C’était un geste qu’il avait l’habitude de faire lorsqu’il ne portait pas son armure. Il laissa retomber sa main.

Étrange petit être.

Pourquoi ne se battait-il pas comme les autres ? Il était bien plus petit que ses semblables. Peut-être sa tactique de défense consistait-elle à l’épuiser tandis qu’il le regardait s’échapper maladroitement ! Rask ralentit sa poursuite. La créature rampait devant lui. Elle haletait. Elle se retourna et se traîna à reculons. Peut-être était-ce une manœuvre différente. Peut-être allait-elle lui sauter à la gorge. Elle semblait avoir des griffes. Des griffes blanches toutes sales. Quelle étrange couleur pour une créature. N’ont-ils pas de soleil sur la planète dont ils viennent ? Et qu’est-ce donc que ces choses qui leur font office de pieds ? De petits objets les enserraient. Rask constata qu’ils étaient attachés. Comment arrivent-ils à garder l’équilibre sur la terre spongieuse ?

La créature buta contre un arbre et se redressa lentement. Ses petites griffes s’agitaient devant elle. C’étaient bien des mains, mais avec de longs ongles. Rask inclina sa tête sur le côté, curieux ; c’était décidément une petite chose bizarre et il avait envie de l’examiner avant de la tuer. Elle était si petite. La matière qu’elle portait était étrange. Les cheveux de la petite bête étaient blancs. Ils lui tombaient jusqu’au bas du dos. Les yeux étaient spéciaux, plus pâles que le ciel. Il n’avait jamais vu une telle nuance de bleu. Il pouvait y lire le désespoir et l’impuissance, et voir une telle consternation l’intriguait singulièrement. Le visage, retourné pour croiser son regard, avait des os fins. Il n’était pas désagréable à regarder et Rask décréta qu’il s’agissait d’une espèce plutôt jolie. Rask se rapprocha.

« Je vous en prie, ne me faites pas de mal. »

Rask s’arrêta net. Cela faisait des années qu’il n’avait pas entendu prononcer des mots en langue antique. Il avait appris cette langue au cours de ses études, mais elle était ancienne de plusieurs siècles et n’était enseignée que par quelques aînés. Il savait, quoi qu’il en soit, que cette créature n’était pas castienne. Elle était bien trop petite ; aucun mâle castien n’était si chétif. Peut-être une sous-espèce ? C’était probablement une forme de vie inférieure. Il n’y avait pas beaucoup de masse osseuse sous cette carapace blanche. Rask regarda l’être attentivement puis grogna. Deux bosses rondes proéminentes pointaient sous les vêtements de la créature. C’étaient certainement deux bombes qu’elle dissimulait sous sa chemise. Mission suicide ? Ça n’avait que peu d’importance puisque Rask avait son armure, et sa cuirasse l’enveloppait ; il était indestructible.

« Vas-y, fais-les sauter », la taquina Rask en langue antique.

« Faire sauter quoi ? » répondit-elle.

Comme sa voix était douce. Rask prit une profonde inspiration, ses narines palpitèrent. Il pouvait sentir sa peur. Ses oreilles perçurent un léger cliquetis. Les bombes étaient peut-être en train de s’activer.

« Je vois tes bombes. Tu ne les as pas bien cachées. À moins qu’elles ne se soient déplacées pendant que tu courais ! »

« Quoi ? »

La créature semblait gênée.

Lorsqu’elle parla, Rask put distinguer ses dents blanches régulières. Elle n’aurait vraiment pas dû rétracter ses crocs. Elle paraissait si vulnérable - ou du moins encore plus vulnérable qu’elle ne l’était déjà. Plus il la regardait et plus il comprenait que le léger cliquetis provenait de ses dents. C’est curieux, elle ne pourrait pas enclencher les bombes avec ses dents... si ? Les mâchoires de la créature tremblaient. Rask se renfrogna. Peut-être était-ce un jeune aventurier. Il avait l’air jeune ; il avait l’odeur de la jeunesse. Une autre senteur réveilla en lui des souvenirs.

Rask s’avança et attrapa l’une des bombes sur sa poitrine. Lorsqu’il la pressa pour déclencher l’explosion, la créature poussa un hurlement et lui donna une tape sur la main, avant de crier à nouveau lorsque sa main percuta sa solide armure. Rask serra à nouveau. Il faisait attention à ne pas percer la bombe avec ses serres. La créature haleta et agrippa ses poignets. La sensation était celle d’une chair souple normale. Rask caressa les bras nus de la créature du bout de ses serres. Comme c’était étrange, ce n’était pas une cuirasse ; c’était à la fois ferme et doux. S’il l’avait voulu, ses serres auraient pu la réduire en charpie. Rask déplaça sa main et vint prendre la créature à la gorge. Il pouvait envelopper son cou de ses serres jusqu’à ce que ses griffes se touchent de l’autre côté. Elle émit un gargouillement, ses yeux s’agrandirent et elle émit une forte senteur de peur, musquée et enivrante. Le petit être était terrorisé. Il pouvait sentir son pouls battre sous sa main. Il relâcha son étreinte. Il aurait pu la broyer sans le moindre problème. Il était évident pour tous les deux que Rask était supérieur ; la petite chose avait choisi la soumission. Peut-être était-ce ce que signifiait cet autre parfum étrange. Les Castiens ne se rendaient jamais ; il n’avait aucune idée de ce que pouvait être l’odeur de la soumission.

« Sers-toi de ta cuirasse, je veux tester ta force », ordonna Rask.

« Ma quoi ? »

La créature émettait des sons étranges et gutturaux. Cela ne ressemblait pas à un grognement, et les intonations semblaient indiquer la détresse. Elle aurait dû comprendre que si Rask avait voulu sa mort, ce serait déjà fait. Ne pouvait-elle pas le percevoir ?

« Ta cuirasse, montre-la », demanda Rask.

« Je n’en ai pas », répondit-elle d’une voix tremblante.

Rask fronça les sourcils. Leur navette avait une cuirasse. Les autres n’avaient pas dû avoir le temps de se servir de la leur lorsqu’il les avait surpris sans crier gare. À moins que, comme le vaisseau à bord duquel ils se trouvaient, leur protection ne fût si fine qu’elle ne fût d’aucune utilité contre les Castiens. Rask se montrait vraiment charitable avec la petite chose. Elle était suffisamment âgée pour avoir une cuirasse ; peut-être était-elle trop gênée pour la montrer. Il resserra sa poigne autour de son cou. La créature se remit à suffoquer. Rask se pencha pour lui donner une meilleure vue sur ses crocs tranchants comme des rasoirs. Il sentait les tentatives désespérées que faisait la créature pour respirer. Et pourtant, elle refusait toujours de montrer son armure. Il serra encore plus fort, coupant intégralement son arrivée d’air. Soudain, Rask haussa les sourcils de surprise. Les yeux de la créature coulaient. Grand Dieu de Dargon, il était en train de faire jaillir son fluide ! Le liquide coula le long de son visage et sur son menton avant d’atteindre ses serres. Rask relâcha sa poigne. C’était forcément un piège. La créature haleta.

« Ton piège ne fonctionne pas avec moi, fit Rask en souriant. Ce fluide, c’est un dissolveur de substance. N’est-ce pas ? » demanda-t-il.

« Je vous en prie, laissez-moi partir. »

Rask se renfrogna. Le ton de sa voix était implorant et rauque.

« Dis-moi ce qu’est ce fluide », demanda-t-il à nouveau.

« Des larmes. Je pleure parce que j’ai peur de vous. Je n’y peux rien. »

Des larmes ? Rask n’avait jamais entendu un tel mot. « De quoi est-ce composé ? »

« D’eau et de sel. »

Sa peur produisait des larmes dont elle se servait comme arme ? L’armure de Rask réagissait parfois de façon autonome pour le protéger, alors après tout pourquoi pas. Rask savait que la créature avait peur. Sa cuirasse ne détecta aucune menace lorsqu’il tendit une serre vers les gouttes sur le visage de la créature. Sa griffe acérée en recueillit une. La substance avait la texture de l’eau, elle en avait l’odeur et elle était tiède. C’était inoffensif. Mais quels sont donc les moyens de défense de cette créature ? Elle doit bien en avoir, n’importe quoi. Les larmes du petit être se mirent à couler de plus belle. Il avait l’air si faible et si fragile. Il tremblait devant lui et Rask eut une idée. Sa main remonta sur sa gorge et il se remit à serrer.

« Non, je vous en prie, non », haleta la créature.

L’odeur musquée de la terreur monta à ses narines.

Ah, il comprenait à présent. Rask desserra les griffes. Quel dommage d’avoir tué les deux autres. Leur forme de défense était leur impuissance. Et pourtant, il avait vu la plus grosse des créatures tuer son propre compagnon. Cette idée lui laissait penser qu’ils étaient dangereux. Quelle curieuse créature fallait-il être pour utiliser l’impuissance comme arme ? Mais cela fonctionnait. Il n’éprouvait soudain plus la moindre envie de lui faire du mal. Il semblait bien que ce mode de défense leur convînt. Ses hommes trouveraient cette petite chose amusante. Ils ne lui feraient pas de mal une fois qu’il leur aurait dit qu’elle était impuissante - un nouvel animal de compagnie. Il voulait cependant s’assurer qu’elle ne transportait aucun subterfuge. Rask enveloppa son bras autour de ceux de la créature, l’empêchant ainsi de bouger. Sa main fouilla dans son pantalon. La petite créature cria qu’il allait la déchirer avec ses griffes acérées, mais il abaissa la protection de ses serres pour que seuls ses doigts puissent la toucher. Elle continuait pourtant à se débattre. C’était vraiment comique. Son doigt fouillait dans son derrière d’éventuelles armes cachées. Comme il s’enfonçait plus profondément, ses cris cessèrent pour se transformer en supplications. C’était trop serré, aucune arme ne pourrait y rentrer.

Lorsque Rask retira son doigt et la relâcha, la créature s’effondra sur le sol. Elle était hystérique et lui hurlait quelque chose. Rask la releva et inclina la tête. Viol ? Qu’est-ce que c’est ? La créature ne voulait pas qu’il la viole.

« Je ne comprends pas ce mot », fit Rask.

Voilà une autre information qu’il aurait à chercher. À présent, la créature était presque sans résistance contre son bras. Elle ne pesait pratiquement rien. Rask la saisit à nouveau fermement. Sa main se glissa à l’avant de son pantalon pour vérifier sous le sexe mâle de la créature. Une fois de plus, il abaissa la protection de ses doigts et de sa main pour ne pas lui arracher ses organes avec ses griffes. La créature se mit à se débattre violemment. Rask en déduisit qu’elle devait dissimuler quelque chose. Ses doigts tâtonnèrent à la recherche d’une arme. Il ne trouva rien et en resta abasourdi. Il n’y avait rien, absolument rien. Où range-t-il son sexe ? Puis son doigt pénétra dans un autre trou. Deux trous ?

Mais qu’est-ce que c’est que cette foutue chose ?

« Qu’es-tu donc ? » demanda Rask.

La créature haletait et gémissait, des larmes dévalant ses joues avec l’impétuosité de certaines rivières que Rask avait déjà vues. C’était chaud et humide à l’intérieur du corps du petit être. Les parois se contractaient autour de son doigt et se relâchaient. C’était une sensation agréable bien qu’étrange. L’odeur inhabituelle de la créature se fit plus forte et Rask eut l’étrange impression de ressentir un besoin soudain de prédateur. La sensation s’accrut lorsque la créature devint plus chaude et mouillée. Rask enleva ses doigts et secoua la tête. Il pouvait sentir une nouvelle odeur sur son doigt et elle semblait lui envahir tous les sens. Une autre forme de défense ?

« Je suis humaine », s’écria-t-elle.

Rask avait entendu parler des humains. On disait que c’était des créatures atroces sans aucun sens de la vie en société, assoiffées de sang et sans véritable gouvernement. Son peuple cherchait à rester aussi éloigné de leur coin de galaxie que possible.

« Où est ton sexe humain ? » demanda Rask avec curiosité.

« Là où tu m’as touchée », répliqua l’humaine.

Ses petits bras se croisèrent sur ce qu’il avait pris pour des bombes. Elle se recroquevilla en tremblant piteusement. Cet être était inoffensif. Il semblait si mignon qu’il ne pouvait pas créer de problèmes.

« Mais il n’y avait rien là », dit-il sur un ton exaspéré.

« Mon sexe est à l’intérieur, comme celui des autres femmes », s’écria-telle d’un air furieux. Elle s’essuya les yeux du revers de la main.

Les yeux de Rask s’écarquillèrent de surprise ; il vacilla en arrière comme s’il était choqué, sidéré. Femme ? La race des femmes était éteinte ; elle n’existait plus depuis presque quatre cents ans. Rask ne se souvenait même pas de sa mère. C’était impossible. Était-ce possible ? Mais elle devait avoir dit la vérité, soit son sexe avait été enlevé, soit il était à l’intérieur, à l’envers. Aucune créature n’enlèverait son sexe pour se battre et si c’était le cas il n’y aurait pas de trou, juste une zone lisse. Rask sentit son coeur s’emballer. Un surplus d’oxygène envahit ses narines et il s’apaisa. Les astres leur seraient particulièrement favorables s’il existait une probabilité que les humains et les Castiens puissent s’accoupler. Si c’était bien une créature femelle. Peut-être était-ce la raison pour laquelle elle était si petite, sans défense. Grand Seigneur de Dargon, elle est absolument sans défense !

Afficher en entier

Grace se mit soudain à hurler en voyant un serpent d’eau se diriger vers eux. Un champ magnétique s’activa et Rask fit un vol plané à travers l’étang. Le temps qu’il atterrît, son armure s’était dressée. Il se rua dans la mare et décapita le reptile. Grace le regardait bouche bée, les yeux écarquillés.

« Notre bébé peut aussi t’envoyer mordre la poussière ! » s’exclama-t-elle.

Rask se rapprocha, mais ne parvint pas à les atteindre. Il leva la main et toqua contre la cuirasse invisible.

« Bébé, laisse entrer ton père. »

Grace se mit à rire.

Afficher en entier

(p.54 à 56)

Elle était bien trop petite ; aucun mâle castien n’était si chétif. Peut-être une sous-espèce ? C’était probablement une forme de vie inférieure. Il n’y avait pas beaucoup de masse osseuse sous cette carapace blanche. Rask regarda l’être attentivement puis grogna. Deux bosses rondes proéminentes pointaient sous les vêtements de la créature. C’étaient certainement deux bombes qu’elle dissimulait sous sa chemise. Mission suicide ? Ça n’avait que peu d’importance puisque Rask avait son armure, et sa cuirasse l’enveloppait ; il était indestructible.

« Vas-y, fais-les sauter », la taquina Rask en langue antique.

« Faire sauter quoi ? » répondit-elle.

Comme sa voix était douce. Rask prit une profonde inspiration, ses narines palpitèrent. Il pouvait sentir sa peur. Ses oreilles perçurent un léger cliquetis. Les bombes étaient peut-être en train de s’activer. « Je vois tes bombes. Tu ne les as pas bien cachées. À moins qu’elles ne se soient déplacées pendant que tu courais ! »

« Quoi ? »

La créature semblait gênée.

Afficher en entier

Elle crut que son cœur allait s’arrêter de battre. Grace se mit à hurler et détala, dans une ultime tentative pour sauver sa peau.

Chapitre 2

La petite chose en avait-elle assez vu ? Croyait-elle réellement pouvoir lui échapper ? Rask émit un profond bruit de gorge avant de s’élancer à sa poursuite. Ses griffes s’enfoncèrent dans le sol et il sauta sur un arbre. Les serres de ses pieds s’agrippèrent un instant au gros tronc spongieux, le temps de déterminer dans quelle direction fuyait la créature, puis il bondit à nouveau, aussi rapide que l’éclair. Il coupa la route de la créature et se tapit devant elle à quatre pattes. [...] Elle n’irait pas bien loin. Elle n’était ni très rapide ni très adroite. De toute évidence l’agilité n’était pas son point fort. Comment diable osaient-ils tenter de coloniser cette planète ? Leur invasion

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode