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Un jeune noble italien, Vittorio, cultive auprès de son père son goût et sa connaissance des arts. Bien qu'un cauchemar prémonitoire hante ses nuits, Vittorio vit une adolescence gaie et paisible entre la Toscane et la ville de Florence qui subit l'influence de la Renaissance. Seul survivant d'un massacre dont est victime toute sa famille, il n'aura de cesse de poursuivre la confrérie démoniaque qui s'est rendue coupable de ce crime, afin de venger les siens. Il sait pourtant que lui même ne doit sa survie qu'à l'intervention d'Ursula, une vampire éblouissante de beauté.
"Oui, murmura Mastema à mon oreille. Oui. A tout jamais, et chaque fois que tu te nourriras, chaque fois que tu porteras l'un de leurs tendres cous à tes crocs maudits, chaque fois que tu suceras le sang vermillon qui t'est nécessaire, comme aux pires des animaux de la Création, tu verras cette lumière vaciller et lutter, et quand le coeur s'arrêtera par l'effet de ta faim, tu verras cette lumière s'éteindre !"
Vittorio est un jeune seigneur épanoui qui a une famille heureuse, riche et qui a l'amitié des Médicis. Il se passionne pour ce nouvel âge d'or de l'art qu'est la Renaissance et préfère s'émouvoir devant une toile de maître qu'aller faire la guerre. Mais un jour toute sa famille est massacrée par des vampires. Il n'a alors plus qu'une idée en tête : venger sa famille en massacrant à son tour ces créatures de la nuit. Mais l'histoire nous est racontée 500 ans après par un Vittorio lui-même vampire. Que s'est-il donc passé ?
J'ai adoré environ jusqu'à la moitié du roman. Le récit était certes très lent mais c'était beau. L'auteur nous décrit tous les fastes de la Renaissance et comme j'ai fait mon master et mon mémoire dessus, j'ai aimé à la folie 😍 Mais (et là je n'ai pas trop compris) tout a basculé par la suite sur une réflexion religieuse sur les anges, le pardon, et le salut de l'âme. Je n'étais pas contre, car ces thèmes sont dans la suite logique de l'histoire. Mais là c'était trop présent et j'ai eu l'impression que ça occultait le reste de l'intrigue.
Une nouvelle histoire bien écrite mais j'ai trouvé que la relation amoureuse de Vivacio s'est déroulé trop raidement Spoiler(cliquez pour révéler)surtout après avoir participé au meurtre de sa famille.
Une sorte de "spin-off" de la saga des vampires d'Anne Rice, qui permet de se replonger un peu dans cet univers.
Néanmoins, je ne trouve pas que l'histoire de Vittorio ait le même souffle que celles de Louis et de Lestat, et je trouve que certains éléments "ne collent pas", ne sont pas bien expliqués, ou pas du tout...
Spoiler(cliquez pour révéler) Pourquoi n'est-il pas devenu irrémédiablement fou, selon le traitement que les vampires lui ont infligé ? Pourquoi peut-il voir des anges ? Pourquoi cette étrange relation avec Ursula ? Comment se fait-il qu'il n'ait été brutalisé et volé par personne, si ce n'est qu'un gamin de seize ans qui porte toute la fortune de sa famille, bien visible, sur lui ? Et je dois en oublier d'autres...
J'aurais apprécié que Vittorio soit capable de prendre de la distance par rapport à lui-même et à ses actes, cela fait sans doute partie de son personnage d' "éternel adolescent", mais quand même, cela fait près de 500 ans qu'il est un vampire, l'on pourrait s'attendre à ce qu'il ait gagné en maturité ou simplement changé, comme les autres !
Le livre reste "pas mal" selon moi, notamment pour le plaisir de retrouver Anne Rice et son style, et pour les éléments historiques très intéressants, complétés en fin d'ouvrage par une bibliographie qui me semble assez riche, si l'on veut aller plus loin.
Lu en anglais, assez abordable (ce n'est pas du vieil anglais), même si j'ai dû passer sur certains mots, que je ne comprenais pas, mais que j'ai déduit du contexte.
Donc du bon et du moins bon, mais je ne regrette absolument pas ma lecture !
Tout d’abord, un grand merci à Louve du forum Mort-Sûre et aux éditions Pocket pour ce roman ^-^
Ayant lu plusieurs romans de Anne Rice, j’étais vraiment curieuse de lire celui-ci, dont le résumé me faisait très envie. Je m’attendais pourtant à autre chose et je n’ai pas réussi à m’attacher à Vittorio. Ses pensées partent un peu dans tous les sens et je suis restée perplexes quant à tous les passages sur la religion, très très nombreux.
Au-delà de cela, l’intrigue est intéressante et le début extrêmement intriguant. On s’émeut du sort de la famille de Vittorio et de son désir de vengeance et j’ai pris beaucoup de plaisir à la lecture des premiers chapitres. Puis je me suis un peu perdue dans les méandres des pensées de Vittorio qui réagit étrangement entre amour pour Ursula et horreur pour ceux qui l’accompagnent.
Le fameux amour sort d’ailleurs un peu de nul part et, s’il y aurait pu y avoir un côté très romantique à l’histoire, il est totalement absent de part la manière dont se déroule le récrit et il y a beaucoup de passages dont je n’ai pas réellement compris le pourquoi.
Les vampires sont finalement assez peu présents, ce que j’ai trouvé dommage alors que les personnages présentés paraissaient intéressants. On en sait un peu plus sur certains à la fin du roman et il aurait peut-être été plus agréable de suivre alternativement Vittorio et Ursula peut-être (ce qui n’est pas possible ici étant donné que l’histoire est racontée par Vittorio lui-même).
Au final un roman qui promettait beaucoup et dont l’intrigue aurait pu être très prenant si le personnage principal ne m’avait pas perdu dans ses digressions tout au long de l’histoire.
Très très déçue par ce tome qui m'a extrêmement ennuyé ... Je n'ai pas su accrocher au héros, Vittorio, que j'ai trouvé assez fade. De plus, beaucoup trop de références à la religion, aux anges, au démon, aux croyances religieuses, etc. à mon gout. Je trouve cela vraiment dommage car l'histoire aurait pu être bien mais au final on se tape environ 50-70 pages de blabla religieux lorsque Vittorio voit les anges et discute avec eux. Enfin, je ne suis pas particulièrement intéressée par l'Italie et encore moins par l'age d'or italien, ce qui ne m'a pas aidé à apprécier ce livre à sa juste valeur.
Bref, je suis déçue qu'Anne Rice donne tant de place à la religion dans (certains de) ses livres -je peux comprendre qu'elle soit croyante mais c'est pas la cas de tout le monde - car c'est pas la première fois que ma lecture d'un de ses livres et "gâchée" par l'aspect religieux trop présent.
Les chroniques nous permettent de voyager dans le temps, ici nous rencontrons Vittorio, jeune homme de la Renaissance Italienne qui nous conte comment après le massacre de sa famille il est devenu vampire et ce qu'il advint de lui. Un tome passionnant, on apprend autant sur cette époque que sur ce jeune homme; comme déjà dit l'originalité de ce tome est qu'il ne rencontre aucun de nos vampires connus et que lui aussi c'est fait tout seul et il appris sur le "tas" un peu comme notre cher Lestat, mais la ressemblance s'arrête là! a lire sans déplaisir
Résumé
Un jeune noble italien, Vittorio, cultive auprès de son père son goût et sa connaissance des arts. Bien qu'un cauchemar prémonitoire hante ses nuits, Vittorio vit une adolescence gaie et paisible entre la Toscane et la ville de Florence qui subit l'influence de la Renaissance. Seul survivant d'un massacre dont est victime toute sa famille, il n'aura de cesse de poursuivre la confrérie démoniaque qui s'est rendue coupable de ce crime, afin de venger les siens. Il sait pourtant que lui même ne doit sa survie qu'à l'intervention d'Ursula, une vampire éblouissante de beauté.
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