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Tarik dévalait si vite les ruelles étroites de la vieille ville qu’il lui semblait parfois que son ombre s’attardait sur les murs en pisé et les volets. Plus rapide que tout autre, plus habile, plus expérimenté. Sûr de sa victoire, sans penser une seule fois à la victoire. Calculateur, sans égard envers ses poursuivants. Fuyant devant des souvenirs auxquels il ne parvenait pas à échapper, notamment au petit matin, lorsque le triomphe de la victoire s’était estompé, lorsque les effets du mauvais vin commençaient à s’atténuer. Encore une autre course. Une autre victoire. Une autre nuit de beuveries.
La lune brillait au-dessus des coupoles des mosquées et du temple d’Arthus, s’étendait sur les toits plats des maisons et tissait une fine toile de poussière et de fumée. Les torches feulaient sous le vent de la course au passage de Tarik. Sous son corps, le tapis semblait un être vivant. Encore trois ou quatre virages et le palais de l’émir s’éléverait devant lui, le passage le plus dangereux de cette course de tapis interdite.
Discours entre l'Archidruide et son secrétaire Ernan :
— Je pensais qu'une femme ne pouvait être Samildanach !
— Et pourtant, si. Et sa venue marquera la fin du Saîman, dit la légende !
— Je… Je ne vois toujours pas pourquoi vous avez mis Phelim dans cette position, Archidruide, même si la petite est le Samildanach.
Elle fut d'abord surprise de constater que la main qui dépassait du sable n'était pas aussi froide qu'elle s'y attendait : on disait toujours que les morts étaient glacials, celui-là avait dû être réchauffé par le soleil et le sable. Elle prit sa respiration et commença à tirer sur la bague. L'anneau avait du mal à glisser sur le doigt sec. La peau se plissait et retenait la bague. Aléa tira plus fort. Elle tremblait.
L'anneau céda enfin. Au L'anneau céda enfin. Au même instant, le poing se referma sur la main d'Aléa.
La lune brillait au-dessus des coupoles des mosquées et du temple d’Arthus, s’étendait sur les toits plats des maisons et tissait une fine toile de poussière et de fumée. Les torches feulaient sous le vent de la course au passage de Tarik. Sous son corps, le tapis semblait un être vivant. Encore trois ou quatre virages et le palais de l’émir s’éléverait devant lui, le passage le plus dangereux de cette course de tapis interdite.