Commentaires

Oula. Mais où va Minier? J'ai été déçue par ce tome. Je trouve que l'histoire part vraiment dans tous les sens. Beaucoup de choses sont totalement surréalistes. Je n'ai pas apprécié ce Servaz ci. Le personnage est totalement chamboulé.

Les personnages secondaires que l'on aimait retrouver ont quasiment disparu au profit d'une enquêtrice Norvégienne sans aucun charisme et énervante au possible.

L'histoire en elle même est brouillon. Il y a énormément de longueurs. J'avais même l'impression que c'était quelqu'un d'autre que Minier qui avait écrit ce tome.

Je lirai le suivant pour savoir ce qu'il en est mais j'espère que mon entrain pour cette histoire repartira.

Je retrouve avec un énorme plaisir Martin. J'ai longtemps attendu avant de lire ce dernier opus de Bernard Minier, après "Une putain d'histoire" qui malheureusement ne m'a pas accrochée. Bien sûr, "Nuit" m'a replongée dans les thrillers comme je les aime. A aucun moments je ne me suis ennuyée, je tournais les pages avec cette envie d'en savoir plus. Une nuit moi aussi à passer accrochée à mon livre pour suivre pas à pas tous les protagonistes. J'ai eu plaisir à suivre Hirtmann, Kirsten, Martin et les autres, tous ont joué leur rôle. Je me suis laissée entraîner dans cette spirale où tout arrivait vite, sans temps mort, sans explications inutiles. Et la fin, et oui bien sûr, on attend de retrouver notre cher capitaine pour la suite de ses aventures, une nouvelle quête, un "Grâal" a chercher sur les traces laissées par le terrible Julian. Bravo M Minier, l'attente sera longue.

Décevant et peu crédible. Beaucoup de remplissage, peu d'actions (ou alors invraisemblables). Les personnages finissent par agacer. Les réactions sont peu rationnelles, le réseau et l'influence d'hirtman incomprehensibles' le final... alors oui, on a envie de connaître la fin, et on continue sa lecture, mais bon, au final, plus d'agacement que de plaisir.

J'ai été surprise par ce tome, il est beaucoup moins dans le style du thriller que les 3 premiers. Si dans le tome 3, Minier avait clairement laissé l'histoire avec Hirtmann de coté, il se rattrape dans celui-ci, laissant sa relation avec Servaz prendre toute la place du récit.

J'ai également été surprise quant au choix de suite de l'histoire mais pourquoi pas.

Ma petite déception c'est qu'il ai laissé Vincent et Samira de côté. Le lien Hirtmann-Servaz est bien sur le point névralgique, mais les personnages qui gravitent autour méritent aussi un peu d'attention !

Un peu déçue par ce tome, un cran en-dessous des autres. Je trouve un peu dommage d'avoir tout centré sur Servaz et Hirtmann et d'avoir laissé de côté les personnages secondaires.

Pour commencer je tiens à rassurer les lecteurs, ce roman est un tome 4 mais peut parfaitement se lire sans avoir lu les tomes précédents. Il y a quelques rappels aux mais rien de méchants, au contraire ça m’a donnée encore plus envie de commencer les autres tomes.

Mon premier roman de Bernard Minier et je suis ravie, l’écriture est fluide, moi qui avait peur de traîner le roman sur une trop longue durée, je l’ai dévorée, les pages défilent à une très bonne allure. Je me suis laissée happer par l’histoire et ses personnages plus attachants les uns les autres, le commissaire Martin Servaz est un personnage qui m’a marqué et je vais vite me plonger dans le premier tome qui m’attend déjà dans ma bibliothèque.

Parlons un peu du roman, Je découvre le personnage du commissaire Martin Servaz, un flic à l’ancienne, qui court à pieds après les suspects, en laissant son arme dans sa voiture, ne faisant appel qu’à son esprit de déduction et laissant les recherches internet à ses collègues. Une enquête de routine qui le plonge dans le coma, une expérience qui le changera dans sa perception du monde, du réel et dans celle de son esprit. Un passé très lourd, qui refait surface, la poursuite de Son ennemi, celui qu’il n’a jamais réussi à attraper.

Un nouveau personnage, Kirsten, une policière de Norvège qui lors d’une enquête pour meurtre sordide se retrouve sur une plateforme pétrolière, le tueur n’est autre que l’ennemi juré de Martin Servaz. Elle sera envoyée à Toulouse pour mener l’enquête au côté de Servaz.

Un indice laissé par Le tueur va totalement chambouler notre commissaire et cette enquête va avoir le gout d’un jeu de piste dont le tueur aura déjà placé toutes les pièces du puzzle et anticipé chaque réaction de notre nouveau duo.

Quelques scènes m’ont troublées, pas tant dans le texte mais surtout dans l’utilité, je ne cessai de repenser à ces quelques scènes en me disant que c’était important pour la suite. Difficile de vous en dire plus sans vous Spoiler mais je pense surtout au premier chapitre et à la scène du train.

Un fin surprenante, pleine de rebondissements et de retournement de situation mais qui m’a laissée un gout amer, ce tome n’est à priori pas le dernier et les questions dernières questions soulevées à la dernière page sont juste à rendre dingue.

Comment ne pas attendre avec impatience la sortie du nouveau tome après ça !

Un livre énorme ! je le conseil vraiment, il se lit vraiment bien, n’ayez pas peur du pavé de 528 pages elles se tournent à une vitesse folle !

Bon, ben je ne peux pas.

(excitation des petits pouces rouge qui s’insurgent)

J’ai attentivement lu des avis ici et là pour tenter de me convaincre que ce bouquin était génial, ce n’était qu’une question de persévérance mais arrivé au tiers, je jette l’éponge, considère l’avoir lu et ne pas l’avoir apprécié, tant pis.

(frénésie des petits pouces rouge qui frisent l’apoplexie)

J’ai trouvé deux raisons à ça…

D’abord, commencer par Nuit n’est pas une bonne idée…

A ma décharge, c’était le seul dispo à la bibliothèque et rien n’indiquait derrière, dans le résumé que c’était une suite (ok, dans la bio de l’auteur mais je l’ai pas lue, sans préciser à combien on était).

Arriver au quatrième tome, « retrouver » Servaz, le médecin devenu ami, surtout quand il a failli mourir dans les Pyrénées, aha, vous vous souvenez, rho pis Marianne qu’on croyait que mais non, et c’est pas vrai que Hirtmann revient !!!

Ben moi, ça me paume.

J’ai eu le sentiment d’arriver dans une conversation dont je saisissais l’essentiel mais qui avait démarré sans moi et pouvait se poursuivre tout aussi bien…

Alors j’ai tenté de m’immerger.

Mais deux pages pour dire qu’il n’a rien trouvé !! Deux autres pour dire qu’il fouille sans rien trouver !! Deux autres pour dire qu’ils ont cherché cinq ans mais n’ont rien trouvé !!!

Je n’ai jamais lu autant de pages pour me dire qu’il ne se passait rien…

Avec, de l’autre côté, un aspect pédagogico-statistique qui m’a pesé… On peut pas se prendre une balle sans avoir une trajectoire chirurgicale précise. On peut pas sortir un flingue sans avoir les stats du nombre d’arme à Toulouse, le genre, la catégorie majeure des assassins (82% de proche, 10% d’alcoolisé). On peut pas entrer le nom d’un enfant dans un ordi sans qu’il nous explique l’historique de la loi sur la recherche de nom d’enfant depuis 2010, qui s’est plaint de quoi, qui a accès entre le rectorat, le maire, à quel info…

J’ai eu le sentiment de suivre un cours de loi et d’anatomie, de psychologie et de statistiques, vaguement enrobé dans un scénario où il ne se passe pas grand-chose…

(immobilité des petits pouces rouges qui ont fait une crise cardiaque ou n’ont pas pris la peine d’aller jusque là)

Pas la force de me forcer car je n’ai aucune envie de savoir ce qu’il adviendra de Servaz, Hirtmann, Jensen ou la foule innombrable de personnages qui peuplent ce livre…

C'est toujours un plaisir pour moi de lire un roman de Bernard Minier. Depuis le tout premier, j'aime son univers. J'aime ses personnages et les intrigues qu'il tisse. J'aime cette écriture fluide où l'on dévore les chapitres les uns après les autres sans s'en lasser. Où l'on tient à savoir comment ça va se terminer, qui sera encore en vie, comment Servaz va s'en tirer une fois de plus.

Déception est le premier mot qui me vient pour ce tome des enquêtes du commandant Servaz. Il se laisse lire bien entendu et je l'ai apprécié mais il était loin d'être aussi addictif que les tomes précédents de la série.

L'enquête part un peu dans tous les sens, le personnage de Servaz que j'adore découvrir au fur et à mesure de la série est aussi décevant par son comportement même si c'est du à ce qui lui arrive au début de ce roman.

Les évènements sont tordus et parfois improbables, le suspens quasi absent (même si la fin du roman est tout autre). En revanche, j'ai été heureuse de retrouver Hirtmann et son duo avec Servaz mais trouve dommage que Vincent et Samira aient été quasiment totalement éclipsés de cette enquête malgré la présence de la nouvelle venue du nord Kirsten.

L'écriture reste fluide mais des longueurs existent et on pourrait presque s'ennuyer par moment...

Une déception donc, et j'espere retrouver le commandant Servaz et Bernard Minier comme je les aime dans le prochain tome.

Mon premier Minier qui me laisse une petite déception après ma lecture.

C'est une sorte de rappel de tous les précédents livres de l'auteur avec un Servaz larmoyant tout du long et complètement dans la lune ou perdu dans les nimbes.

Je n'avais pas imaginé que Spoiler(cliquez pour révéler)la flic norvégienne puisse être une tarée de première mais je me doutais que son collègue norvégien n'était pas forcément en lien avec les anti Julian. Par contre, Servaz qui continue encore et encore à faire cavalier solitaire sans rien dire à personne, qui laisse son arme trainer dans sa voiture sans arrêt et qui ne se doute de rien, qui perd tous moyens à la simple évocation de son probable fils, c'est franchement fatiguant.

J'ai bon espoir que la prochaine rencontre entre le héro et son némésis se fasse dans de meilleures conditions et conclut enfin cette histoire.