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II
Nuit maudite à jamais interdite entre toutes
Nuit où le feu sanglant de mon regard troua
Ce lac de boue obscure absurde et verticale
Et tout voyant vacillera sur ce spectacle
Au fond des yeux que je croyais d'un frère pas trace d'âme
Ni le stigmate saint ni le sacré infamant
Qui marquèrent jadis l'homme des origines
En place un trou vorace
Une abîme aux gueules béantes
Une absence ventouse aveugle soif de proie
La rapacité nue
La folie et l'horreur du chaos qui foisonne et ravage alentour
La contagion bestiale de l'informe
L'avidité de qui n'est pas
La succion du vide bouche d'ombres morts
La pourriture noire aux éclairs du phosohore
Le vertige sans fond du néant qui dévore
Qui jamais comblera la soif du trou béant
Un regard de plein ciel brûlant de désespoir
Le feu d'un œil où tout le ciel se désespère
Mystère de l'amour trop semblable à la mort
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