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QUOI ? s’exclame mon cerveau.
Afficher en entierTuck et moi lui faisons un doigt d’honneur.
– Oh, maman et papa sont en colère contre moi ? Mince, est-ce que vous allez divorcer ?
Afficher en entierPetite question, je dis lorsque Tucker entre dans la cuisine.
– Réponse, rétorque-t-il du tac au tac.
– Je n’ai pas encore posé la question, abruti.
Il sourit jusqu’aux oreilles avant d’aller se laver les mains, puis il noue son tablier rose dans son dos. Logan, Dean et moi lui avons offert cette chose à froufrous horrible pour son anniversaire en lui annonçant que s’il devait endosser le rôle de mère poule, ce tablier lui
était indispensable. C’était une blague, mais Tucker a trouvé qu’il était suffisamment viril pour se permettre de porter n’importe quel vêtement.
– Allez, je mords à l’hameçon, dit-il en ouvrant le congélateur. Quelle est ta question ?
– Alors… imaginons que tu sois un nazi…
– C’est mort, mec !
– Laisse-moi finir, tu veux ? Donc, tu es un nazi et Hitler vient de t’ordonner de commettre un crime qui va à l’encontre de tout ce en quoi tu crois. Est-ce que tu lui dis
« c’est cool mec, je vais tuer tous ces gens pour toi », ou est-ce que tu lui dis « va te faire foutre » en risquant de mourir ?
Afficher en entierJ’ai toujours été clair, Kendall. Je ne cherche pas une histoire sérieuse. Je te l’ai dit dès le début.
Son visage s’adoucit et elle se mord la lèvre.
– Je sais, mais… je pensais que…
Je sais précisément ce qu’elle a pensé, que je tomberais éperdument amoureux d’elle et que ce plan cul deviendrait une histoire d’amour merveilleuse. Honnêtement, je ne sais pas pourquoi je prends la peine de poser mes conditions. Aucune femme n’accepte un plan cul en pensant que cela va rester un plan cul. Elle dit peut-être le contraire, et peut-être même qu’elle arrive à se persuader que la situation lui convient parfaitement ; mais au fond, elle espère que cela deviendra sérieux. Du coup, je passe pour le méchant lorsque j’anéantis ses espoirs, alors que j’ai toujours été clair quant au fait que je ne voulais pas une copine sérieuse.
Afficher en entierJe devrais partir, mais je m'avance pour un second baiser qui est aussi incroyable que le premier. Sa langue caresse la mienne tandis que ma main caresse sa joue, un geste que je regrette immédiatement car la sensation de sa barbe de trois jours sur ma paume rend plus intense encore le plaisir qui sème déjà la zizanie partout dans mon corps. Son visage est fort, viril et sexy. Il est tellement viril, en fait, que c'est impossible de ne pas le désirer. Il m'en faut plus, même. Je ne m'y attendais pas, mais j'en veux plus.
Je gémis et penche la tête pour approfondir le baiser, ma langue explorant frénétiquement sa bouche. Non, pas frénétiquement - sauvagement.
Afficher en entier" Qui veut une chorale ?
- Celui avec qui je chante un duo, la plaie que si je n'avais pas peur de me casser les os, je collerais volontiers mon poing dans sa petite tronche arrogante.
- Tu veux que je t'apprenne à frapper sans faire mal ? demande Garrett en se retenant de rire."
Afficher en entier"- J'ai entendu, dit Garrett. Et on n'est pas plus ou moins amis, on est meilleurs amis, Nelly. N'écoute pas ce que dit Wellsy."
Afficher en entier"Ce n'est que lorsque je suis dans ma chambre, quinze minutes plus tard, que je découvre que j'avais raison de le soupçonner. Le message de Garett me laisse abasourdie.
Lui : Je viens aux aveux : j'ai supprimé les One Direction de ton iPod quand t'étais aux toilettes. Tu me remercieras plus tard.
Moi : QUOI ?? Attends-toi à un léchage !
Lui : Partout ?
Il me faut quelques secondes pour comprendre ce qu'il s'est passé, et je suis morte de honte.
Moi : Lynchage ! je voulais écrire LYNCHAGE ! Foutu correcteur.
Lui : Mais bien sûûûûûr. Rejetons la faute sur le correcteur.
Moi : Tais-toi.
Lui : Alors comme ça, tu veux me lécher ?
Moi : Bonne nuit, Graham.
Lui : Tu es sûre que tu veux pas revenir pour échauffer nos langues ?
Moi : Beurk. Jamais de la vie.
Lui : C'est ça ouais. PS : regarde tes mails. Je t'ai envoyé un fichier de musique.
Moi : Ton fichier va finir dans les SPASM."
Afficher en entier– Est–ce qu'on peut rentrer maintenant ? Je me gèle les fesses et j'aimerais que mon dérameur me réchauffe.
– Je te demande pardon ?
– Oh, pardon, j'ai dit dérameur ? demanda–t–elle en souriant si fort que tout son visage s'illumine. Je voulais dire mon mec.
Jamais je n'ai entendu de paroles si douces.
Afficher en entier– Mon Dieu, ce truc est trop trop bon, dit Hannah en buvant trois gorgées d'affilée. J'en veux une autre.
– Et si tu finissais déjà la première ? je dis en riant.
– Très bien, répond–elle en haussant les épaules.
Elle lève son verre et le vide cul sec, puis elle me regarde en souriant.
– Je peux en avoir une autre, maintenant ?
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