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Extrait ajouté par Asteribooks 2022-01-22T12:58:30+01:00

Spoiler(cliquez pour révéler)Deux ans plus tard. Waouh. La loge VIP au TD Garden est super chic. Lorsque je me penche pour balayer la patinoire du regard, j'ai l'impression d'être une reine surveillant son royaume. Des milliers de fans de hockey surexcités crient sur leur siège, formant un océan de visages aux couleurs noires et jaunes qui est parfois rompu par le bleu et blanc des fans des Sharks.

-C'est intense ! chuchote Hannah dans mon oreille.

Je sais qu'elle essaie de ne pas être entendue par les femmes à quelques mètres de nous, qui se sont déjà moquées de notre statut de nouvelles. C'est la première saison de Logan à Boston. Il a joué avec les Providence pendant un an jusqu'à ce que les Bruins décident qu'il était prêt.

Quant à Garrett, c'est sa deuxième saison, la première a été phénoménale. Je pensais qu'Hannah serait habituée au bout d'un an, mais elle m'a avoué, lorsqu'on nous accompagnait à notre loge, qu'elle s'asseyait dans les loges du club, l'an dernier, parce qu'elle était trop intimidée pour venir ici toute seule.

Nous n'avons pas cessé de nous émerveiller depuis que nous sommes arrivées. À chaque fois, les autres personnes présentes ont tourné la tête en direction de nos ooooh et nos aaaah : le bar privé de l'autre côté de la pièce ; le buffet gastronomique sur le plan de travail en granit ; les sièges ; la vue. Aucun détail ne nous a laissées insensibles. J'espère que nous apprendrons à nous calmer une fois que nous aurons assisté à quelques matchs, mais je sais pas je m'habituerai un jour à ce genre de luxe.

-Une part de moi s'attend à ce que la sécurité nous mette dehors, je réponds à voix basse. Je ne me suis jamais sentie aussi peu à ma place.

-Moi non plus répond-elle en riant. Mais je suis sûre qu'on finira par s'y faire.

Ses yeux verts se posent sur la patinoire en contrebas, où les joueurs s'échauffent toujours, et je sais l'instant où elle repère Garrett, parce que tout son visage s'illumine.

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Extrait ajouté par Maryann7002 2021-03-03T03:20:36+01:00

LOGAN

 – Coucou Maman, dit Grace. Pourquoi tu es réveillée à cinq heures et demie du matin ?

Le sourire de sa mère est diabolique.

– Qu’est-ce qui te fait penser que je me suis couchée ?

Grace m’a dit que sa mère était pétillante et impulsive, et qu’en gros elle se comportait comme une ado. Je constate à présent qu’elle n’avait pas exagéré.

– Dis-moi que tu as passé la nuit à peindre et pas à… faire autre chose.

– Alors, je ne dis rien.

– Maman !

– J’ai quarante-quatre ans, ma chérie. Tu t’attends à ce que je vive comme une nonne ? 

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Extrait ajouté par Camille-297 2020-03-27T16:47:38+01:00

 Et je ne parle même pas de toutes les meufs que tu te tapes, marmonne Tucker. Tu as toujours été un chaud lapin, mais bon sang, mec, tu as couché avec cinq meufs cette semaine.

– Et alors ?

 Et alors, on est jeudi !

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Extrait ajouté par leclipsa 2019-05-22T15:02:12+02:00

– J’étais convaincu que j’avais le béguin pour elle, mais en fait, ce n’était pas elle que je voulais. Je voulais ce qu’elle partage avec Garrett. Une relation.

Grace me regarde d’un air douteux.

– Euh, ouais. Désolée, mais je n’y crois pas une seule seconde.

– C’est vrai pourtant. J’étais jaloux de leur couple et j’étais stressé par d’autres trucs aussi, des trucs de famille, et le hockey. Je sais que j’ai l’air de me trouver des excuses, mais c’est la vérité. J’étais paumé et j’étais trop rongé par l’amertume pour apprécier ce que j’avais. Tu me plaisais vraiment. Tu me plais toujours.

Mon Dieu, j’ai l’impression d’avoir treize ans. Si seulement elle montrait un signe d’encouragement, un indice qu’elle comprend ce que je lui dis, mais son expression reste neutre.

– J’ai passé tout l’été à penser à toi, à me détester d’avoir réagi comme ça, à espérer pouvoir arranger les choses.

– Il n’y a rien à arranger. On se connaît à peine, Logan. On s’amusait, c’est tout, et honnêtement, je n’ai aucune envie de recommencer.

– Mais je ne veux pas juste m’amuser. Je veux sortir avec toi.

Elle semble amusée. Amusée, putain. Comme si je venais de lui raconter une blague.

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– Je n’arrive pas à croire que tu aies fait ça !

– Je me suis dit qu’il fallait que je fasse un grand geste romantique qui te prouverait à quel point je regrette de m’être comporté comme un débile.

Je recule et je penche la tête pour plonger mon regard dans le sien.

– Tu as raison de te sentir débile. J’ai toujours du mal à croire ce que tu as dit. J’ai l’intention de ne jamais rompre avec toi, Logan.

– Tant mieux, parce que je ne vais jamais rompre avec toi, moi non plus, dit-il en caressant tendrement ma joue. D’ailleurs, je sais que je vais t’épouser, un jour.

– Quoi ? je m’exclame en écarquillant les yeux.

– Un jour, répète-t-il. Je suis sérieux, Grace. Je veux que ça dure. Il te reste encore deux ans à Briar. Je serai à Munsen, mais je promets que je viendrai te voir dès que je pourrai. Tout mon temps libre sera pour toi. Je suis à toi.

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– Tu penses vraiment que je vais rompre avec toi parce que tu vas être en retard deux ou trois fois ?

Logan ne répond pas, mais la froideur de son expression me dit que c’est bien ce qu’il croit.

– Ton frère n’a pas une copine avec qui il est depuis mille ans ?

– Kylie, marmonne-t-il.

– Eh bien, est-ce que Kylie a rompu avec lui ? Non. Parce qu’elle aime ton frère et qu’elle veut rester à ses côtés coûte que coûte, je réponds en haussant le ton.

Je suis tellement en colère, en fait, que je me retiens de le gifler pour qu’il se ressaisisse.

– Alors qu’est-ce qui te fait penser que moi je ne resterai pas avec toi ?

Son silence me fout la trouille autant qu’il m’énerve.

– Tu sais quoi, John ? Va te faire foutre. À l’évidence, tu ne me connais pas du tout si tu penses que je suis le genre de fille qui met fin à une relation dès qu’elle rencontre quelques obstacles.

Il répond enfin, d’une voix lugubre et résignée.

– Est-ce qu’on peut arrêter de parler de ça, maintenant ?

Je n’en reviens pas. Je le dévisage, choquée par ce que je viens d’entendre. Je n’ai plus l’énergie d’écouter ces absurdités.

– Tu as raison. On ne va plus en parler, je dis en prenant mon sac par terre, là où je l’avais posé. Parce que je m’en vais !

Tiens, ça a le mérite d’attirer son attention. Il fronce les sourcils en se levant du lit.

– Grace…

– Non. Je ne veux plus écouter tes conneries. Je te laisse bouder tout seul. Peut-être que quand tu auras fini de t’apitoyer sur ton sort, on pourra avoir une conversation rationnelle. Et au cas où ma réaction ne serait pas claire quant à ce que je ressens, laisse-moi te l’épeler, je dis en me tournant vers lui. Je t’aime, espèce d’abruti !

Je quitte sa chambre en claquant la porte derrière moi.

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– Quoi ? je m’exclame. Qu’est-ce qui te fait penser que tu vas me perdre ?

Il essaie de tourner la tête, mais j’ai vu la tristesse dans son regard.

– Parce que tu te réveilleras un jour et tu te rendras compte que tu mérites mieux. Tu ne comprends pas qu’hier soir était un aperçu de comment seront les choses en mai prochain ? On fera des projets pour se voir, mais il faudra que je travaille tard, ou alors mon père sera bourré et je devrai le ramasser par terre et annuler notre rendez-vous, ou pire, je te ferai attendre sans nouvelles comme hier soir. Combien de temps tu crois que tu vas supporter ça ?

Je n’en reviens pas d’entendre ça.

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– Je comprends pourquoi elle te plaisait, chuchote Grace d’une voix pensive qui me met sur mes gardes.

Je me sens coupable lorsque je réalise qu’elle regarde Hannah. Je n’avais pas cité son prénom en avril, mais je lui avais dit que la copine de mon meilleur ami me plaisait, et Grace a clairement fait le lien.

– Elle est drôle. Et super-jolie.

Je me sèche les mains sur un torchon et je lui prends le menton pour la regarder dans les yeux.

– Ce n’est pas elle qui me plaisait. C’était ça, je réponds en tournant la tête de Grace vers la table.

Garrett vient d’attirer Hannah sur ses genoux et il l’embrasse sur le bout du nez en passant sa main dans ses cheveux. Elle se penche pour murmurer quelque chose à son oreille et il rit doucement. Il suffit d’observer leurs regards, la révérence avec laquelle il la touche, pour savoir qu’ils sont terriblement amoureux, et Grace le voit aussi.

– Ouais. Qui ne voudrait pas ça ?

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– Je suis désolé. Je ne peux pas faire ça. C’est ta première fois, et tu mérites quelque chose, quelqu’un, de bien mieux que moi.

Elle ne dit pas un mot, mais même dans la pénombre, je la vois rougir et se mordre la lèvre comme si elle essayait de ne pas pleurer. Son silence décuple la culpabilité qui me noue la gorge.

– Je suis vraiment perturbé en ce moment. Je passe de super-moments avec toi, mais… je ne peux rien t’offrir de sérieux.

– Je ne te demande pas de m’épouser, Logan, dit-elle d’une voix gênée.

– Je sais. Mais le sexe… le sexe… c’est sérieux, d’accord ? Surtout… surtout pour une vierge, je bégaie. Crois-moi Grace, tu ne veux pas faire ça avec moi.

J’essaie de fuir tout ce qui ne va pas dans ma vie et d’oublier une fille et…

– Une fille ? s’exclame-t-elle d’un ton outré. Tu as le béguin pour une autre fille ?

– Oui. Non, je rectifie. Je pensais que oui, et peut-être que c’est encore le cas. Je ne sais pas, d’accord ? Tout ce que je sais, c’est que ça fait des mois que cette fille me plaît, et ce n’est pas juste envers toi si… on… fait ça. Alors que…

Je ne finis pas ma phrase, trop perturbé et mal à l’aise pour trouver mes mots.

– Tu te servais de moi pour oublier quelqu’un ? s’exclame- t-elle en se levant et en enfilant son t-shirt. J’étais une distraction ?

– Non, je te promets que non. Je t’apprécie beaucoup. Je n’ai pas fait exprès de me servir de toi. Tu es une fille géniale, mais je…

– Mon Dieu stop, tranche-t-elle. Tais-toi Logan, s’il te plaît. Ne me sors pas l’excuse du ce-n’est-pas-toi-c’est-moi, crache-t-elle en secouant la tête. Quelle horreur ! C’était une énorme erreur.

– Grace…

– Tu me rendrais un service ? demande-t-elle en me fusillant du regard.

J’ai du mal à parler avec le nœud dans ma gorge.

– Tout ce que tu voudras.

– Va-t’en.

J’inspire calmement, ignorant la douleur dans ma poitrine.

– Je suis sérieuse. Va-t’en, répète-t-elle en plongeant son regard dans le mien. J’ai vraiment, vraiment envie que tu partes.

Je devrais dire quelque chose. M’excuser de nouveau. La rassurer, la réconforter. Cependant, j’ai peur qu’elle me mette une gifle ou qu’elle s’effondre si je m’approche d’elle. Mais elle est déjà en train d’ouvrir la porte, les yeux rivés par terre.

J’ai vraiment tout gâché.

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Extrait ajouté par lady-chat 2017-11-27T07:46:54+01:00

J’insiste :

– Sérieusement, c’est quoi ton problème ?

– Le mien ? Rien. Mais le tien ? Je ne sais même pas par où commencer, crache-t-il.

Va falloir que tu arrêtes, mec.

Alors là, je ne comprends rien. En ce qui me concerne, tout ce que j’ai fait durant les dix dernières minutes c’est avoir hâte d’arriver à la soirée.

Tucker remarque ma confusion et clarifie le fond de sa pensée.

– Je parle de ce truc avec Hannah.

Je me crispe, mais je fais de mon mieux pour garder une expression neutre.

– Je ne vois pas de quoi tu parles.

Ouaip, j’ai choisi de mentir, ce qui n’a rien de nouveau, d’ailleurs, car je n’ai pas cessé

de le faire depuis que je suis arrivé à Briar.

Mais oui, je suis fait pour la NHL 2. Bien sûr que je veux être hockeyeur professionnel !

J’adore passer mes étés couvert d’huile de moteur dans le garage de mon père. C’est un super-moyen de gagner de l’argent de poche !

Je ne convoite pas Hannah, voyons. C’est la meuf de mon meilleur ami !

Des mensonges, des mensonges et encore des mensonges. Or c’est seulement parce que sur ces trois aspects de ma vie, la vérité est déprimante. La dernière chose que je souhaite, c’est que mes amis et mes coéquipiers aient pitié de moi.

– Garde ces conneries pour G, rétorque Tucker. Et au fait, tu as de la chance qu’il soit distrait pas ses gouzigouzis avec Hannah parce que, si ce n’était pas le cas, ça fait longtemps qu’il aurait remarqué ton comportement.

– Ah ouais, et comment je me comporte ? Vas-y, explique-moi ! je m’exclame sur un ton défensif.

Je suis dégoûté que Tuck ait compris que j’ai des sentiments pour Hannah. Je suis encore plus dégoûté qu’il ait décidé de m’en parler après tout ce temps.

– Tu es sérieux ? Tu veux une liste ? demande-t-il. Tu quittes la pièce dès qu’ils y entrent, tu te caches dans ta chambre quand elle passe la nuit à la maison et quand tu daignes supporter sa présence, tu la reluques en pensant que personne ne te voit, tu…

– Ok, ça va j’ai compris.

– Et je ne parle même pas de toutes les meufs que tu te tapes, marmonne Tucker. Tu as toujours été un chaud lapin, mais bon sang, mec, tu as couché avec cinq meufs cette semaine.

– Et alors ?

– Et alors, on est jeudi ! Cinq meufs en quatre jours ! C’est abusé, John.

Merde, il m’appelle par mon prénom, ce qu’il ne fait que lorsqu’il est vraiment en colère. Sauf que maintenant, c’est moi qui suis énervé.

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